Elle requiert l'actualisation des résultats prévisionnels de la SARL et de ses flux de trésorerie. Évaluer le prix d'une action par la valeur de rendement demande des calculs assez importants. La méthode simplifiée est la suivante : Valeur de rendement = (bénéfice d'exploitation durable x 100)/taux de capitalisation.
Généralement, la valeur de l'entreprise est évaluée à partir de la formule suivante : Valeur des capitaux propres + valeur de l'endettement financier net = valeur de l'entreprise.
Dans cette approche, on considère que la valeur de l'entreprise est égale à la somme des flux de trésorerie (cash-flows) prévisionnels susceptibles d′être dégagés au cours des cinq à dix prochaines années.
La valeur nominale des parts sociales est fixée librement par les statuts. En revanche, toutes les parts sociales d'une société doivent avoir la même valeur nominale. Exemple : si la société dispose d'un capital social de 2.000€ divisé en 200 parts sociales, la valeur nominale d'une part est de 10€.
Concrètement, pour déterminer un prix de vente, il suffit de multiplier le coefficient multiplicateur (très souvent un pourcentage) par la moyenne de vos trois derniers chiffres d'affaires.
VENDRE SES PARTS A UN AUTRE ASSOCIE
Faire racheter ses parts par un autre associé est donc la solution la plus simple : il suffit d'établir un acte de cession de parts, signé du vendeur et de l'acheteur, de l'enregistrer aux impôts, puis d'en adresser une copie à la société et c'est tout.
Un associé peut quitter volontairement une SARL à condition qu'une clause de départ volontaire soit prévue dans les statuts de l'entreprise ou qu'il existe un pacte d'associés. En revanche, l'associé qui souhaite quitter la SARL doit céder ses parts sociales, soit à un autre associé de la société, soit à un tiers.
La formule est la suivante : Plus-value sur cession d'action = prix de cession net — coût total d'acquisition. Prenons un exemple. Vous souhaitez céder vos actions à un prix de 800 000 euros.
Deux méthodes sont généralement appliquées pour évaluer une entreprise : l'approche patrimoniale (estimer la valeur du patrimoine de l'entreprise) et l'approche par les flux financiers (estimer la rentabilité d'une entreprise – méthode privilégiée pour les jeunes entreprises en forte croissance).
La valeur financière (BÉNÉFICE) dégagée par l'activité de l'entreprise au cours de l'année est égale à la différence entre le total des produits et le total des charges.
Il est conseillé que l'évaluation de l'entreprise soit, si possible, réalisée par un professionnel compétent et occupant une situation de neutralité par rapport au repreneur et au cédant.
L'utilisation pratique de la valeur nominale
Elle est calculée à partir du capital divisé par le nombre de titres émis. Il en va de même pour les parts sociales. Par exemple, une SARL avec une capitalisation de 10 000 € pourra émettre 1 000 parts de 10 € chacune, ou 500 parts de 20 €.
Depuis le 1er janvier 2018, les plus-values réalisées par le chef d'entreprise, lors de la cession des titres de son entreprise, sont soumises à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 12,8 % représentatif de l'impôt sur le revenu auxquels s'ajoutent 17,2 % de prélèvements sociaux.
Pour obtenir l'actif net d'une société, il suffit de déduire le montant des dettes au total des actifs de la société. Ainsi, la valeur vénale du fonds de commerce s'obtient en se basant sur les chiffres d'affaires des trois derniers bilans comptables.
Première solution : pour vendre votre entreprise sans payer d'impôts, vous pouvez passer par l'apport cession. Il s'agit là d'une stratégie d'optimisation fiscale, qui consiste à apporter les titres d'une activité à une autre, afin de réduire l'imposition et bénéficier du régime de report d'imposition des plus-values.
Les droits d'enregistrement dus à l'occasion d'une cession de fonds de commerce ou d'une acquisition de titres (actions ou parts sociales) doivent être payés par l'acquéreur.
Comment vendre une SARL ? Pour vendre une SARL, il est possible de céder le fonds de commerce ou les parts sociales détenues par les associés. Dans le cas d'une vente des parts sociales, le repreneur est tenu de reprendre l'ensemble des engagements de la SARL.
Un associé ne peut donc se retirer qu'en se faisant racheter ses parts, soit par ses coassociés, mais rien ne peut les obliger à les racheter, soit par un tiers, mais à condition dans ce cas que ce tiers soit agréé par les autres associés.
Dans les SARL, aucune faculté de retrait "direct" n'est offerte à l'associé. Ainsi, un associé de SARL qui souhaite quitter la société doit impérativement céder ses parts sociales. Il ne peut pas se retirer en sollicitant simplement le remboursement de ses titres par la société.
Les associés d'une société ont la possibilité d'intégrer dans les statuts une clause qui permet d'exclure un associé sous certaines conditions. Les textes de loi n'interdisent pas le recours à une telle clause, qui est donc utilisable à condition qu'elle soit prévue dans les statuts.
Les parts sociales sont librement cessibles entre associés. Dans ce cas, aucun agrément des associés n'est requis. Toutefois, les statuts peuvent prévoir que la cession de parts sociales entre associés est soumise à l'approbation des autres associés (la majorité, voire l'unanimité).
L'évaluation du prix de parts sociales par la valeur patrimoniale se fait en prenant en compte le passé de l'entreprise. Cette méthode se base sur les actifs nets réévalués de l'entreprise et la réévaluation de la valeur de la société au marché actuel en déduisant ses dettes.
La valeur réelle permet d'exprimer la valeur d'une variable en prix constants, c'est‑à‑dire en neutralisant les effets de l'inflation (augmentation du niveau général des prix), grâce à l'utilisation des prix d'une année de référence, appelée année de base.
Qu'est-ce qu'une valeur relative ? Une valeur relative en morale est une valeur dont la signification varie selon les circonstances et le contexte dans lesquels un individu l'applique. C'est une valeur qui n'est pas conditionnée à une structure fixe et invariable.