Pour manger ses sushis comme il se doit, il est recommander de tremper délicatement la partie recouverte de poisson cru dans la sauce soja en tournant le sushi de 90° sur la gauche entre ses baguettes. Vous conservez ainsi toutes les saveurs de votre sushi.
Le poisson représente le principal risque d'empoisonnement pour les humains, et manger trop de sushis risquerait donc de provoquer des maux de tête et des étourdissements mais aussi des retards de développement, des lésions cérébrales ou encore des défaillances d'organes.
En effet, contrairement à ce qu'imaginent beaucoup de visiteurs, un « bon » sushi se mange « chaud » ! c'est à dire, à température de la langue. Dans un restaurant digne de ce nom, le riz tout juste cuit est façonné de la main et directement placé face au client.
Au Japon, les sushi peuvent se manger avec les mains ou avec les baguettes japonaises. Le riz ne se trempe pas dans la sauce soja, seulement le neta (tranche de poisson ou de légumes). Il ne faut pas non plus transpercer le sushi avec sa baguette, c'est une question de respect du produit.
– Manger les sushi dans un ordre précis : commencer par les poissons blancs, puis ceux argenté, enchaîné avec les rouges, puis les saumons ou autres poissons avec fortes saveurs, avant de continuer avec les plus gras, pour compléter le tout avec le « tamago sushi » (œuf).
Mangez des sushis, c'est bon pour la santé !
Et c'est un parfait compromis pour les personnes allergiques au gluten. Aussi riche en protéine que la viande, le poisson apporte de nombreux nutriments essentiels au corps humain comme le potassium, le sélénium, le phosphore, le fer, le zinc …
La tradition japonaise utilisait le wasabi dans la préparation des sushis pour sa fonction d'herbe médicinale qui agissait comme un antidote contre l'empoisonnement alimentaire.
En moyenne, on peut aisément consommer 12-16 sushis par personne lors d'un repas. Le compte en calories, gras, glucides et sodium peut grimper rapidement.
Oui! Les sushis sont des choix qui demeurent intéressants au restaurant. Faibles en gras si on ne choisit pas ceux qui sont frits, les sushis offrent une source de glucides et de protéines. Les sushis à base de poisson fournissent également des quantités d'oméga-3 intéressantes.
Extrêmement frais
De votre côté, ne laissez pas de sushis au réfrigérateur pour le consommer le lendemain. Le sushi se consomme extrêmement frais ou ne se consomme pas !
Les durée de conservation des sushis
Les sushis peuvent-être conservés pendant 2 à 3 jours s'ils ne contiennent pas trop de protéine. Ainsi, les recettes à base de riz sont idéales à conserver dans un endroit ou dans un réfrigérateur disposant d'une température ambiante.
Le fait d'être suffisamment aéré, permet de ne pas avoir l'impression de mâcher une boule de mastic de riz. Un chef de sushi a d'ailleurs dit que la boule de riz d'un bon sushi, tenue par des baguettes, doit pouvoir se désintégrer toute seule en 10 secondes…
Le wasabi est généralement servi avec les sushis, dans la soupe miso ou encore en apéritif sous forme de pois grillés. En France, on a souvent la mauvaise habitude de le mélanger à la sauce soja, ce qui dénature son goût et est considéré comme un manque de respect au Japon.
Le poisson cru étant lourd à digérer, ce n'est qu'à partir de 3 ans qu'un enfant peut commencer à goûter les sashimis, makis et autres sushis, et à condition qu'il tolère bien les poissons et fruits de mer. Comme pour le saumon fumé, leur fraîcheur ne doit faire aucun doute.
Le traitement présomptif de l'anisakiase par l'albendazole 400 mg par voie orale 2 fois/jour pendant 6 à 21 jours peut s'avérer efficace, mais les données sont peu nombreuses.
Quand on fait attention à sa ligne, il est recommandé de privilégier les sushis à base de poissons maigres comme la daurade ou de crevettes. Les sushis contenant du poisson gras comme le saumon peuvent tout de même être consommés pour leur teneur intéressante en oméga-3, mais en plus petite quantité.
5 sashimis saumon (juste le saumon cru) = 5 sashimis thon (juste le thon cru) = 140 Kcal environ. 5 sashimis daurade (juste la daurade crue) = 80 Kcal. 1 chirashi (riz vinaigré + poisson cru + graines de sésame) = 200 Kcal. 1 yakitori (brochette) bœuf au fromage = 1 yakitori thon = 1 yakitori saumon = 170 Kcal environ.
Le gari ガリ ou appelé gari shoga est un condiment à base de gingembres en lamelles marinées rosées que vous trouvez sur vos plateaux de sushi (maki, sashimi, nigiri sushi…) souvent accompagné de sauce soja et de wasabi.
Les sushis se suffisent habituellement à eux-mêmes, mais on peut les accompagner d'une salade d'algues ou de crudités. Quant aux condiments, ce sera votre maître sushi qui vous fournira les plus importants : la sauce soja, le gingembre mariné et le wasabi, à utiliser en petite quantité seulement!
Choisissez une bière légère, comme les variantes japonaises de type Asahi ou Kirin. Si vous appréciez le saké, tournez-vous vers du ginjo saké ou du daiginjou saké qui présentent peu d'arômes de riz. Les sakés avec un goût de riz prononcé se marient bien mieux avec les sashimis que les sushis.
Il suffirait de passer votre barquette de sushis 30 secondes au micro-onde avant de les déguster. « Le poisson retrouve la fraîcheur et la saveur que les conditions réfrigérées avaient sapées », explique la journaliste.
Raifort. Le raifort est de loin la meilleure alternative au wasabi authentique. Il permet de remplacer la racine pure de wasabi que l'on trouve dans les restaurants au Japon, et non la version occidentale vendue dans nos épiceries.
Les aliments de prédilection des Japonais
La viande est souvent absente des plats traditionnels : ceux-ci se composent généralement de légumes, de riz et de poisson. Le repas classique, tel qu'on le déguste au restaurant, est composé d'une soupe et d'un bol de riz généralement servi avec trois accompagnements au choix.
sur une portion classique cela apporte 10g de sucre soit l'équivalent de 2 sucres en morceaux ! Ingrédients : riz vinaigré, poisson, algues séchées, apparemment rien de grave!
Mais les sushis proprement dits ne sont apparus qu'au XIXe siècle, à Edo, la future Tokyo. Les historiens attribuent la paternité de ce plat, et surtout des nigirizushi (pressés à la main surmontés de lamelles de poisson) que nous connaissons, au marchand Hanaya Yohei (1799-1858).