La chouette hulotte aime se percher en haut d'un vieil arbre ou dans les cavités des vieux troncs d'arbres. Il est donc plus que nécessaire de les préserver au jardin. Si, cependant, vous n'avez pas de vieux arbres au jardin, vous pouvez confectionner un nichoir en bois pour accueillir la chouette hulotte.
En France, la chouette et le hibou sont des espèces protégées. Il est donc illégal d'en acheter ou d'en recueillir chez soi. Si vous trouvez un animal blessé, vous devez contacter le centre de sauvetage UFCS (Union Française des Centres de Sauvegarde de la Faune Sauvage) de votre région.
On parle ici de 1000 à 10 000 dollars pour l'oiseau, même chose pour la volière, et entre 1500 et 3000 dollars pour l'équipement de base.
Les hiboux ne construisent pas leurs propres nids, mais essaient de trouver des nids abandonnés ou des sites avec la structure appropriée pour se reproduire. Mais malheureusement, ces sites disparaissent. C'est pourquoi la meilleure façon d'attirer les hiboux dans notre jardin est de placer des nichoirs.
Le lierre, avec son feuillage permanent, offre en effet aux chouettes des cachettes bien opaques pour passer la journée en toute discrétion, été comme hiver, à l'abri des regards des oiseaux diurnes qui peuvent lui être hostiles comme les corneilles, les pies ou les geais... »
Alimentation de la chouette hulotte
Les petits rongeurs : campagnols, mulots, souris, musaraignes. Hérissons, oiseaux, poissons, vers de terre et gros insectes. La chouette hulotte avale ses proies entières et rejette des "pelotes" mesurant de 2 à 6 cm.
Il vit dans les forêts, les bosquets ou même les parcs urbains. La chouette effraie est très répandue dans le monde, même si une seule espèce vit en Europe : l'effraie des clochers. Elle aime nicher dans de vieux bâtiments, les granges, les combles… et les clochers.
Le renard roux, le hibou Grand-duc et autres oiseaux de proie comptent parmi les principaux prédateurs de la chouette hulotte. Rapace nocturne le plus commun en Europe, il n'est pas considéré comme une espèce menacée.
Elles nichent essentiellement dans les troncs d'arbres, des bosquets, des vieilles granges ou encore dans les clochers.
Dans l'immense majorité des cas, il ne faut pas intervenir : les parents, alertés par leurs cris, viendront les nourrir à l'endroit où ils se trouvent, la nuit venue. Ils ne sont pas abandonnés. Eventuellement il faut remettre le poussin sur une branche à proximité du point de chute.
En France, la capture et la détention d'animaux sauvages sont interdites, surtout quand il s'agit d'espèces protégées comme les rapaces. La seule possibilité, pour qu'un particulier en possède un, est qu'il pratique la fauconnerie.
Le repas d'une bébé chouette est essentiellement composé de viande mais comme le chat, dans le cas d'une alimentation maison, du riz, du lait en poudre, de l'oeuf cuit et une grande variété de viandes sont nécessaires si on ne veut pas créer de carences à l'âge adulte.
Les rapaces de campagne (buse variable, faucon crécerelle, effraie des clochers…) sont de gros consommateurs de petits mammifères, surtout de campagnols, musaraignes et mulots. En posant des perchoirs, vous favoriserez la présence de ces auxiliaires des cultures.
Leurs différences
Selon les critères scientifiques, c'est bien simple, il n'y en a qu'une ! Les hiboux ont des aigrettes sur le dessus de la tête, contrairement aux chouettes. Les aigrettes sont deux petites touffes de plumes qui ressemblent à des oreilles. Elles ne servent pourtant pas du tout à entendre.
Les chouettes, dont les effraies des clochers et les hulottes, sont désormais obligées de chasser durant la journée. La raison ? Après un hiver rude et un début de printemps encore froid, elles ont du mal à se nourrir. Les chouettes effraies sont avant tout des animaux nocturnes.
Ainsi, contrairement à ce que pensent nombre de personnes, la chouette n'est pas la femelle du hibou. Leur espérance de vie varie de neuf à treize années en fonction des espèces, mais elle est écourtée aujourd'hui pour bon nombre de ces oiseaux nocturnes, victimes de la pollution et du trafic routier.
Même si les chouettes peuvent attaquer les humains ou les animaux de compagnie, il est rare qu'elles le fassent. La chouette rayée est l'une des espèces de chouettes les plus grosses et les plus bruyantes d'Amérique du Nord, selon l'organisme environnemental Audubon.
Son nid est généralement dans un trou dans le tronc d'un arbre et il permet de protéger les œufs et les jeunes contre les prédateurs potentiels. Cette chouette ne migre pas et attache beaucoup d'importance à son territoire.
Bien qu'ils soient de la même famille (rapaces nocturnes ou Strigiformes), la chouette et le hibou sont deux espèces bien différentes. Il n'y a donc aucune chance pour que ces deux rapaces forment un couple. La femelle du hibou est donc le hibou femelle, tandis que le mâle de la chouette est la chouette mâle. »
ORIENTATION : le nichoir doit être orienté idéalement au sud-est, c'est-à-dire à l'opposé des vents dominants pour protéger les chouettes des intempéries. PÉRIODE IDÉALE POUR FIXER LE NICHOIR : le nichoir peut être installé dès le début de l'automne.
Nid : la chouette hulotte niche dans des trous d'arbres ou de bâtiments. Elle peut aussi nicher dans les nids de corbeau, de héron et de faucon abandonnés, les nids d'écureuil. Quelquefois dans les granges ou sur des corniches rocheuses.
Son cri est un « khrûh » ou « khraikh » rauque, strident et répétitif qu'on compare souvent au ronflement d'un dormeur, ponctué de sonorités aiguës. Il y a aussi un deuxième cri, le chant territorial du mâle, durant environ 2 secondes, qui fait un « chhhhhh ». Elle chuinte.
D'une manière générale, si vous trouvez une jeune chouette, il ne faut pas l'apporter à la maison ou dans un centre de soin, et surtout ne pas essayer de la nourrir ou lui donner à boire. Il suffit de la placer en hauteur dans un arbre en vérifiant que le rapace n'est pas blessé et l'environnement sécurisé.
La chouette effraie n'a pas peur de vivre près des hommes. On la retrouve principalement dans les villages des campagnes françaises, aimant faire son nid dans les clochers des églises (d'où son nom d'effraie des clochers), mais également dans les hangars, les granges et toutes sortes de vieux bâtiments.