La question rhétorique (interrogation oratoire) est une "fausse question" qui n'attend pas de réponse et qui permet d'affirmer un point de vue et d'éveiller la curiosité. Elle sert à provoquer l'auditeur et a donc un effet immédiat...
Interrogation qui ne requiert pas obligatoirement de réponse, car elle est suggérée directement dans l'énoncé ou à l'avance connue par la personne qui la pose. La question a alors la plupart du temps valeur d'affirmation en dépit de sa tournure souvent négative. Exemple : Tu penses vraiment que je n'y ai pas pensé ?
Une question rhétorique est une figure de style qui consiste à poser une question dont la réponse est connue ou suggérée par la personne qui formule l'interrogation.
contre-question — Wiktionnaire.
Dans un questionnaire, on appelle question dichotomique une question fermée à laquelle le répondant doit choisir entre deux possibilités, le plus souvent Oui/Non.
Utilisé de manière plus générale et en fonction du contexte, le terme "rhétorique" a pour synonyme "éloquence", "grandiloquence" ou encore "bien-dire". Il désigne alors la qualité oratoire d'une personne.
la rhétorique est l'art de bien parler (ars bene dicendi de Quintilien) ; la rhétorique est l'exposé d'arguments ou de discours qui doivent ou qui visent à persuader (Aristote).
QUESTIONNER, verbe trans. A. − Poser une/des questions à quelqu'un.
. Elle suit un verbe tel que dire, demander, s'informer, ou un verbe exprimant l'ignorance, et est introduite par un mot interrogatif. Elle ne se termine jamais par un point d'interrogation.
L'interrogation partielle porte sur une partie, un élément ou une circonstance de l'énoncé visés par un mot interrogatif (adjectif, pronom ou adverbe interrogatif). On ne peut pas y répondre par oui ni par non. La réponse est totalement ouverte : Qui est là ?
(affirmative ou négative) en phrase interrogative directe. C'est la façon la plus simple de poser une question, très courante à l'oral. L'ordre des mots est le même que dans une phrase déclarative et, à l'écrit, le point d'interrogation est la trace de l'intonation : Vous me rappellerez ?
Le plan rhétorique le plus fréquent comporte quatre parties: l'exorde, la narration, la confirmation et la péroraison. l'exorde a pour fonction d'attirer la bienveillance de l'auditoire et d'exposer le sujet du discours. la narration expose les faits. Elle prend la forme d'un récit.
Les questions ouvertes servent à comprendre, à faciliter l'expression, à dialoguer, à échanger. Elles commencent par un adverbe (pourquoi, combien, comment, quand) ou un adjectif/pronom interrogatif (quel, quoi, qui) d'où le fameux QQOQCP (Quoi, Qui, Où, Quand, Combien voire comment, Pourquoi).
En linguistique, l'interrogation est un acte de langage par laquelle l'émetteur d'un énoncé adresse au destinataire (réel ou fictif) de celui-ci une demande d'information portant sur son contenu. Une phrase interrogative est couramment appelée « question ».
Sophiste est le nom que se sont donné un certain nombre de penseurs grecs du ve siècle av. J. -C. Longtemps, les sophistes furent considérés comme les parias de la pensée antique.
La rhétorique est traditionnellement située entre la logique (ou analytique), qui a trait au discours vrai, et la dialectique qui concerne le plus généralement l'art du discours, ce qui le conduit à travers les dédales de la conversation, de la pensée ou de l'histoire.
Figure de style basée sur l'atténuation d'un mot, d'une expression qui serait trop choquante. Exemple : Les "personnes de couleur" ou le "troisième âge" sont des euphémismes qui permettent de ne pas froisser certaines populations. Étymologie : du grec ancien euphêmismos, qui signifie l'emploi du mot approprié.
1. Art de réciter devant un public un texte de manière expressive : Ce sont des textes qui se prêtent peu à la déclamation. 2. Emphase, affectation, enflure dans l'expression orale ou écrite ; discours pompeux ; emphatique : Tomber dans la déclamation.
Qui est empreint d'emphase, qui s'exprime avec emphase ; pompeux, ampoulé, grandiloquent : Un ton emphatique.
Une question qui laisse à l'interlocuteur la liberté de répondre ce qu'il souaite est une question neutre, une question utile. Une question qui contient un début de réponse dans sa formulation est une question dirigée, une question qui n'intéresse que le coach ...
La question alternative doit permettre d'obtenir une réponse franche sur un sujet précis. Elle se construit à partir des propos partagés entre les deux protagonistes et s'inclut naturellement dans le fil de la conversation. Elle s'articule sur un modèle simple : « Préférez-vous X ou Y ? ».
Questions inductives : Il s'agit de questions qui, par leur formulation, sortent de la neutralité et orientent la réponse en fonction de ce que vous désirez entendre. Elles sont à bannir, car les réponses qui en sortent n'ont plus rien de significatif.