Antagoniste. Personnage en opposition ou en conflit.
Quiproquo : erreur, malentendu consistant à prendre une personne pour une autre ; par extension, confusion portant sur un objet, une situation…
les didascalies initiales sont celles qui figurent au début du texte. Elles donnent les différents rôles, précisent la fonction des personnages et les liens qui existent entre eux.
Un monologue correspond à une prise de parole relativement longue d'un personnage seul sur scène qui se parle à lui-même.
« Corde », le mot qui peut coûter cher
Sur scène comme dans les coulisses, il est traditionnellement défendu de prononcer le mot « corde » au sein d'un théâtre.
Un monologue est une tirade prononcée par un personnage seul sur scène.
La tirade est une longue prise de parole d'un personnage, en présence d'autres personnages. Elle lui permet d'exprimer de manière explicite (et parfois argumentée) son opinion sur un problème précis.
Tirade: Longue prise de parole d'un personnage, mais qui n'est pas seul en scène. Monologue: Longue tirade d'un personnage se parlant bien souvent à lui-même. C'est ainsi qu'au théâtre on expose les pensées et sentiments des personnages.
5) une réplique : chaque prise de parole, chaque énoncé dit par un personnage aux autres. 6) un monologue : discours qu'un personnage se tient à lui-même, seul en scène.
Personnage important d'une pièce de théâtre, d'un film, d'un roman. 2. Personne qui joue le rôle principal dans une affaire, qui en est l'instigateur : Le protagoniste d'un projet.
On peut aussi identifier le personnage par son âge, son passé, sa situation sociale, professionnelle, familiale, sa culture, la langue qu'il parle, sa voix singulière, son caractère, son comportement, ses traits physiques et moraux, les lieux où il vit, etc.
énantiosémie — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Quiproquo = méprise qui fait prendre une personne, une chose pour une autre. Il y a eu un quiproquo, la lettre adressée à Claude Duval a été ouverte par Claudine Duval. Malentendu = incompréhension entre deux ou plusieurs personnes, reposant notamment sur une interprétation différente d'une parole, d'un mot.
Définition de malentendu nom masculin
➙ méprise, quiproquo. C'est un simple malentendu (le désaccord peut prendre fin).
La double énonciation correspond à une énonciation s'adressant à deux destinataires distincts. De manière générale, le théâtre est une double énonciation en ce sens qu'un personnage, sur scène, lorsqu'il s'adresse à un autre personnage, s'adresse également aux spectateurs.
Cette structure était fortement utilisée pour la tragédie, genre classique qui s'est fortement imposé dans l'histoire du théâtre. Le premier acte sert à présenter les personnages et le contexte. C'est aussi ce que l'on appelle l'exposition : on informe le spectateur de la situation, des évènements antérieurs.
Enfin, le quiproquo est un dialogue fondé au départ sur une méprise, source d'effets comiques : un personnage ou un objet est pris pour un autre, une phrase est mal interprétée, etc. Le quiproquo comporte généralement trois étapes : la méprise parfaite, l'apparition progressive du doute, la révélation de la méprise.
Réponse : L'auteur d'une pièce de théâtre est appelé « dramaturge », que la pièce soit tragique, comique ou non. On peut ainsi dire que Molière, Corneille et Racine sont trois grands dramaturges du XVIIe siècle. Le mot vient du grec « dramatourgos », lui-même formé à partir du mot « drame » qui signifie « action ».
Elvire est le personnage qui parle le plus. Elle informe Chimène de ce qu'a dit son père, elle informe également le spectateur en lui donnant les éléments nécessaires à la compréhension de l'histoire.
La double énonciation est le fait qu'au théâtre les comédiens s'adressent à la fois aux autres comédiens et aux spectateurs. Les répliques composent, dans un dialogue, la partie du rôle prononcée par chaque comédien.
L'échange de paroles entre les personnages constitue le dialogue. Lorsqu'un personnage parle seul sur scène, il s'agit d'un monologue.
32Alors que l'aparté suscite inévitablement un nouveau cadre énonciatif en sus d'une situation-support qu'il met provisoirement en suspens et par rapport à laquelle il se définit, le monologue s'inscrit dans une situation d'énonciation rigoureusement indépendante de celles qui l'entourent.