La plupart des enfants pleurnichent et se plaignent de temps en temps auprès de leurs parents. Toutefois, si ce comportement est très fréquent, il est possible d'aider un tout-petit à perdre cette habitude en l'encourageant à s'exprimer autrement.
Définition de pleureur
➙ pleurard, ➙ pleurnicheur.
Si tous ses besoins de base sont satisfaits, mais qu'il continue à pleurer, votre bébé souffre peut-être de coliques. Généralement, on peut parler de coliques lorsque l'enfant pleure plus de 3 heures sur 24, au moins 3 jours sur 7, pendant plus d'une semaine.
Il ne sourit pas, ou très peu (3 mois). Il semble avoir le regard vague ou fuyant, qui ne suit pas ni ne fixe. Il semble avoir un défaut de la posture (bébé trop mou ou trop raide) et vocalise peu.
Les pleurs de décharge sont des pleurs intenses, difficiles à calmer, qui surviennent plutôt le soir, généralement autour de 18 heures. Ces pleurs apparaissent entre la naissance jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois environ, avec un pic généralement compris autour de 6 à 8 semaines.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Le "psy" est là pour accueillir vos émotions, dont vos pleurs, votre colère, vos peurs... : c'est son "job"... Ceci étant, lui parler vrai de tout ce que vous sentez et pensez, votre envie de le "préserver" inclue, est très important pour qu'il puisse vous aider à avancer et à sortir de votre dépression.
Car le psychanalyste est un être humain comme tout le monde, qui a des opinions et qui aime bien les proclamer. Il y a toutes sortes de silences. Il y a le silence de l'analyste et celui du patient. De plus, pour chaque patient, dans ce silence, il se passe quelque chose de singulier.
L'explication se trouve peut-être du côté du système nerveux. Chargé de rétablir le calme après une accumulation de tensions dans le corps, le système parasympathique déclencherait en même temps les larmes.
Pleurer soulage la douleur et améliore l'humeur
Avec des larmes émotionnelles, le corps libère deux hormones puissantes responsables de notre bien-être : l'endorphine et l'ocytocine. Ces substances soulagent l'inconfort et créent une agréable sensation de tranquilité et de calme.
Parmi ces médicaments, soulignons la fluoxétine (Prozac), le citalopram (Celexa), la sertraline (Zoloft) et l'escitalopram (Cipralex). Les ISRS agissent sur certains produits chimiques naturels (les neurotransmetteurs) du cerveau qui sont utilisés pour communiquer entre les cellules cérébrales, et ils gèrent l'humeur.
Si vous êtes au bureau ou en cours, demandez à sortir quelques minutes. Aérez-vous la tête et les yeux, sentez la brise sécher vos larmes, faites un tour du pâté de maison… secouez un peu cette tristesse comme on secoue une couverture poussiéreuse. Ça aidera un peu !
Pour quelle raison ? Pour exprimer ses sentiments, pour se libérer d'un poids et se remettre d'une émotion forte, pour montrer qu'on est vulnérables, pour créer des liens humains, et parfois, pour manipuler les autres.
Qu'est-ce que la dépression souriante ? Une dépression souriante, par définition, est une dépression qui est imperceptible pour votre entourage parce que vous semblez heureux. Toutefois, elle peut être très douloureuse car vous souffrez intérieurement en luttant pour cacher vos symptômes dépressifs.
La lypémanie, que Esquirol voulait distinguer de tous ces usages allégoriques et qui signifie en grec "éprouver du chagrin et de l'anxiété", décrit, elle, précisément, une passion triste pouvant se définir par un état dépressif de mélancolie profonde, qui va évoluer en obsession morbide.
Causes pathologiques
Si cela semble trop complexe et si l'on n'arrive pas à exprimer ses sentiments, il faut consulter un psychologue ou psychiatre afin d'en connaître la cause. Pleurer de manière régulière sans savoir pourquoi peut relever du pathologique et d'une dépression.
Laisser pleurer un nouveau-né, des conséquences graves
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
Comment savoir si mon bébé développe un lien d'attachement sécurisant? Pour le parent, les premiers signes d'attachement sont extrêmement gratifiants : À 4 semaines, votre bébé réagira à votre sourire, par exemple par une expression du visage ou un mouvement. À 3 mois, il vous sourira en retour.
On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
Cette liste incluait des antidépresseurs, des stimulants, certains médicaments du sevrage tabagique, des benzodiazépines (utilisés contre l'anxiété, les convulsions, comme relaxants musculaires ou comme somnifères), des agonistes dopaminergiques (utilisés pour traiter la maladie de Parkinson), des neuroleptiques ( ...
Ce médicament peut induire une somnolence, parfois intense chez certaines personnes. Cette somnolence peut être augmentée par la prise d'alcool ou d'autres médicaments sédatifs. La conduite et l'utilisation de machines dangereuses sont fortement déconseillées, surtout dans les heures qui suivent la prise du médicament.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
Ce sont donc les larmes d'émotions, qui provoquent le gonflement des paupières. Leur plus grande concentration en protéines et en hormones provoquerait donc ce gonflement celons les scientifiques. Mais c'est surtout leur haute teneur en sodium qui est à l'origine de ce phénomène.