Définitions : épistolier - Dictionnaire de français Larousse.
Ce phénomène d'illusion d'optique est connu sous le nom savant de paréidolie.
Altocumulus avec virga. La physique des nuages est l'étude des processus physiques et dynamiques de formation des nuages et des précipitations qui les accompagnent. Les nuages chauds sont formés de microscopiques gouttelettes et les froids de cristaux de glace ou parfois des deux types.
Il faut 1 million de gouttelettes d'eau dans un nuage pour fabriquer une goutte de pluie ! De la même manière qu'on ne peut pas marcher sur la mer ou flotter dans l'air, on ne peut donc pas marcher sur les nuages, sinon on tomberait de très haut !
Ces illusions d'optique portent un nom : la paréidolie. Ce phénomène est dû au fait que le cerveau structure son environnement en permanence, quitte à transformer les informations fournies par la rétine en objets connus.
Le stratus donne au ciel un aspect gris uniforme et lourd, style nuage-déprime ! Le stratocumulus se présente en bancs ou nappes grises ou blanchâtres avec des parties sombres. Le pire est le nimbostratus : épais, gris et sombre. Prévision : nuages bas = mauvaise pioche (brouillard, brume, pluie, neige).
Une paréidolie (aussi écrit pareidolie, du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d'eidos, « apparence, forme ») est une sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.
La nuit, en absence de soleil, la terre se refroidit par rayonnement. Cette perte d'energie est associée à un refroidissement et donc une baisse des températures. Par ciel clair, il n'y a pas réémission du rayonnement énérgétique des nuages vers la terre.
Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
Les nuages jouent un rôle crucial sur le climat. D'une part, ils refroidissent la Terre, en faisant de l'ombre au rayonnement solaire. D'autre part, les nuages hauts la réchauffent, en contribuant à l'effet de serre.
D'un blanc éclatant, les cumulus sont des nuages de beau temps, malgré leur taille parfois imposante. Les cumulus ont des contours nets ; ils se développent en forme de mamelons, de dômes ou de tours, dont la partie supérieure bourgeonnante ressemble ordinairement à un chou-fleur.
Le cumulonimbus est le nuage caractéristique des phénomènes orageux. Il est également responsable de toutes les chutes de grêle. Ce nuage géant et menaçant, large de 5 à 15 km, peut s'élever jusqu'à 15 km d'altitude sous nos latitudes.
La vapeur se condense alors en gouttelettes ou en cristaux de glace qui réfractent la lumière et font apparaître le nuage. En l'absence de vent, l'air forme des strates où la température est constante sur une vaste superficie ; c'est pourquoi les nuages dont la base est plate sont souvent de beaux cumulonimbus.
Les hallucinations nocturnes se produisent typiquement au cours de la première ou de la dernière phase du sommeil. Les hallucinations hypnagogiques ont lieu au moment où la personne s'apprête à s'endormir.
Le phénomène s'appelle en fait «paréidolie». Voir des visages, même là où il n'y en a pas, c'est une opération qu'accomplit notre cerveau: une faculté, une tendance – une compulsion, si on veut. On se tourne donc vers un spécialiste de cet organe. «Pour le cerveau humain, les visages sont des objets particuliers.
L'Homme dans la Lune fait référence à l'une des nombreuses paréidolie d'un visage, d'une tête ou d'un corps humain que certaines traditions reconnaissent sur la Lune. Les images sont composées des zones sombres de la maria lunaire, ou «mers», et des hautes terres plus claires de la surface.
Lorsque la pluie arrive, elle s'annonce d'abord par des nuages d'altitude effilés, comme les cirrus. Petit à petit, ils s'épaississent, moutonnent. Les stratocumulus, nuages de basse altitude (inférieure à deux kilomètres) apparaissent alors comme ici, en rouleaux régulièrement disposés sur le ciel.
Quand il y a du vent, les petites gouttes à l'intérieur du nuage se rassemblent et se collent. Elles deviennent de plus en plus grosses et de plus en plus lourdes. Elles ne peuvent plus flotter dans l'air et elles tombent. Ce sont les gouttes de pluie !
En effet, la lumière solaire traverse une couche plus importante d'atmosphère : la plupart des couleurs de la lumière ont été dispersées, dont le bleu, et la couleur du ciel et du soleil vire alors au rose, orange ou rouge.
Le serein, qui ne saurait être mieux défini que par l'expression « pluie sans nuages », est un phénomène également assez rare se présentant surtout l'été ou dans les régions tropicales en air maritime.
Les pluies n'ont donc pas le temps de s'infiltrer correctement dans la terre. Ce phénomène est accentué par la sécheresse avec un sol qui agit comme une croute imperméable et l'eau va converger vers les points bas ou dans les cours d'eau environnants.
Inversement, les nuages disparaissent (en réalité, ils s'évaporent) lorsque la quantité de vapeur d'eau diminue ou qu'il fait un peu plus chaud. Si on reprend l'exemple du brouillard, ce dernier se dissipe en général au cours de la matinée dès que la température de l'air a assez remonté.
La raison est simple : la Lune met autant de temps à tourner sur elle-même (rotation) qu'elle met à tourner autour de la Terre (révolution), un peu plus de 27 jours. On parle de rotation synchrone. A mesure qu'elle se déplace dans le ciel, la Lune pivote pour dérober à notre regard sa face mystérieuse.
La paréidolie est une expression de la tendance du cerveau à créer du sens par l'assimilation de formes aléatoires à des formes référencées. Le siège cérébral de la fonction permettant d'identifier des formes, extrêmement importante pour la socialisation et le développement de l'espèce, se situe dans le lobe temporal.
Pas de panique, c'est parfaitement normal ! La paréidolie (c'est le nom de ce phénomène) est un mécanisme très courant chez les êtres humains. Il s'agit d'une manière qu'a notre cerveau de voir une image construite, réaliste, reconnaissable, alors même que ce qu'on observe n'est qu'une forme abstraite.