La mise en bière consiste à déposer le corps d'un défunt dans son cercueil. La « bière » étant l'autre mot qui désigne le cercueil, et plus précisément selon sa définition « une caisse plus longue que large où l'on enferme un mort ».
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Pourtant, certaines circonstances particulières obligent les services funèbres à le fermer avant les funérailles : si le défunt a subi de graves blessures ou s'il est décédé de la Covid 19 par exemple. Le cercueil est alors fermé immédiatement et la dépouille n'est ni visible lors du recueillement, ni avant.
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
Avant son inhumation ou sa crémation, le corps d'une personne décédée est "mis en bière", autrement dit, il est déposé dans un cercueil par des agents funéraires.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Tout savoir sur le cénotaphe
Ainsi, le cénotaphe est un monument funéraire vide, sans corps, destiné souvent à des fins de commémoration. Il est donc à distinguer du mausolée qui est un autre type de monument funéraire de commémoration mais abritant un corps.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
La toilette mortuaire consiste à laver le corps, maintenir la bouche et les yeux fermés, coiffer et habiller le défunt avec les vêtements choisi par ses proches. Elle est effectuée par le personnel de la chambre mortuaire si le corps séjourne à l'hôpital, ou par le personnel des pompes funèbres.
Quand on jette une fleur, un bouquet ou une rose sur le cercueil juste avant l'inhumation, on marque qu'on veut rendre au défunt moins difficile la séparation qui va suivre, on veut garder un lien. Le fait de fleurir la tombe, ensuite, prolonge également l'intention : le lien avec la personne se pérennise.
Le Coccyx est formé de 4 ou 5 vertèbres.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.
Les narines, la bouche, et l'anus peuvent être lieux d'écoulement des fluides, présents dans le système digestif ou le système respiratoire. Sous la pression des gaz, issus de la fermentation bactérienne, ces liquides peuvent refluer par ces orifices naturels.
Qu'est-ce que la crémation ? La crémation, parfois appelée incinération, consiste à incinérer le corps du défunt dans un crématorium. Les cendres sont ensuite recueillies dans une urne choisie au préalable par la famille et les proches avec le conseiller funéraire PFG.
Les porteurs chargent le cercueil sur leurs épaules et s'engagent à la suite du célébrant dans l'allée centrale. A leur passage, l'assistance se signe, et cette entrée solennelle, accompagné de musique, est une belle marque de respect et d'hommage rendu au défunt.
Les fleurs ne sont donc pas valorisées car elles sont considérées souvent comme superflues. Pour remplacer les pétales de fleurs, trois poignées de sable sont jetées sur le cercueil pour rendre un dernier hommage au défunt. Dans le rite musulman, la tradition veut que l'on n'offre pas de fleurs à la famille endeuillée.
Dès qu'il voit les veines légèrement gonfler au niveau de la main ou de la tête, c'est qu'il y a suffisamment de pression. Il reprend son trocart et vient le piquer dans le cœur côté gauche. Il vide ainsi tout le sang du corps du défunt et lui injecte à la place du formol.
Lorsque l'un des yeux du Mort ne se ferme pas, par exemple, en dépit des stratégies palliatives utilisées (coton humide sur la paupière, colle …), la croyance dit que le Mort attend la visite de quelqu'un et tant que cette personne ne sera pas venue se recueillir auprès d'elle, l'œil ne se refermera pas.
Un business lucratif et opaque. Après la crémation des défunts, les restes sont pulvérisés, pour ne remettre que des cendres aux familles. Mais tout ne brûle pas. Prothèses en titane, dents en or, stérilets en cuivre… Autant de métaux qui ne peuvent être jetés.
Changements de la respiration
On observe couramment un modèle de respiration irrégulière appelé respiration de Cheyne-Stokes chez les personnes qui se meurent : la respiration est très profonde et rapide, puis courte, et ensuite la personne ne respire plus pendant un certain temps.
La crémation n'est pas autorisée par le Coran.
Pour les Musulmans, ce qui peut blesser un vivant, peut aussi blesser un mort. La souffrance affligée au corps du défunt serait donc encore bien perçue. Cela serait vu comme une destruction ne respectant pas le corps.
On pense parfois bien faire en leur cachant le décès d'un proche, mais ils ne manqueront pas de le sentir, à notre contact. Il est donc essentiel de leur dire la vérité. Tous les spécialistes de l'enfance s'accordent sur la question. Il n'y a pas d'âge minimum pour annoncer à un enfant la mort d'un proche.
Pourquoi ce Léonard Boussarie, né à Saint Roc en 1822, est enterré debout ? 104 ans plus tard, toujours aucune réponse, que des suppositions. L'homme aurait voulu rester debout pour tenir tête à ses voisins, qui l'auraient embêté toute sa vie. C'était un original qui ne fréquentait pas grand monde.
Sépulture enterrée destinée à accueillir les urnes des défunts, la cavurne est un monument cinéraire au statut particulier. En effet, puisque l'urne contenant les cendres du défunt est placée sous terre, il s'agit d'inhumation bien que le corps du défunt ait été crématisé.
FOSSE : Un trou creusé dans le sol dans le but d'y enterrer une personne décédée.