Belle-mère : nom d'alliance entre un mari et la mère de sa femme, ou entre une femme et la mère de son mari, ou entre des enfants et la seconde femme de leur père.
Comment devrais-je appeler la fille de la femme de mon père ? Si la femme de votre père est votre mère, alors dans ce cas, c'est votre sœur, tandis que dans le cas où c'est la fille de l'autre femme de votre père, alors, c'est votre demi-sœur.
Les beaux-parents, eux, sont le père et la mère de l'autre conjoint, tandis que la belle-famille est celle du conjoint. Un beau-petit-fils et une belle-petite-fille sont les enfants d'un gendre (beau-fils) ou d'une bru (belle-fille).
Georges, le mari de ma mère (mon beau-père), était [...]
Définition - belle-soeur.
Belle-soeur Epouse du frère ou du beau-frère.
Beau-fils : Fils de la personne qu'on a épousée ou le fils né d'un mariage antérieur de l'un ou de l'autre des deux époux. Beau-frère : Mari de la sœur ou de la belle-sœur. Frère du mari ou de la femme. Beau-père : Père de la femme par rapport au mari.
Étymologie de « belle-sœur »
(Date à préciser) Composé de belle, terme de courtoisie et d'affection, féminin de beau, et de sœur.
Le beau-père et la belle-mère et leur gendre ou bru sont alliés en ligne directe. Il existe aussi un lien d'alliance entre les enfants d'une précédente union et le nouveau conjoint du père ou de la mère. Ils sont appelés le parâtre ou la marâtre et le beau-fils ou la belle-fille.
En France, on estime à 1,5 millions le nombre d'enfants qui vivent en famille recomposée. Ainsi, beaucoup sont ce que l'on appelle des demi-frères ou des quasi-frères. On emploie le terme de demi-frères ou sœurs lorsque les enfants ont un seul des 2 parents en commun.
Beau et belle étaient des préfixes affectueux utilisés au Moyen Age au sein d'une famille, entre père et fils par exemple.
Le 'beau' était l'équivalent de 'cher', comme lorsque l'on dit aujourd'hui 'cher monsieur' ou 'cher ami'. Au 13ème siècle déjà, quand Saint-Louis s'adressait à son fils, il disait mon "biau fils". Au 14ème siècle, on emploie facilement le terme de 'bon père' et 'bonne mère' pour désigner ses parents.
Mari de la sœur ou du frère. (Par extension) Tout parent masculin rejoignable généalogiquement par une séquence quelconque de liens de fraternité et d'alliance, comme par exemple le mari de la belle-sœur ou du beau-frère (c'est-à-dire le mari de la sœur ou du frère du conjoint), ou même les demi-frères et demi-sœurs.
Mère du conjoint ou de la conjointe. 2. Conjointe du père ou de la mère, pour les enfants issus d'un autre mariage, d'une autre union de l'un ou de l'autre.
(Nom commun 1) ( XII e siècle) Du bas latin des Balkans brutis, (« belle-fille »), introduit par les Goths au III e siècle, supplantant le latin nurus. Apparenté au gotique ????? bruþs, (« jeune mariée »), ainsi qu'à l'anglais bride et à l'allemand Braut (« fiancée, mariée »).
nouvelle femme du père ou de la mère, pour les enfants d'un mariage antérieur. On dit aussi, avec une connotation péjorative, « marâtre », ou à l'opposé avec une appellation affectueuse « belle-maman ».
bru. Par rapport à un père, ou à une mère, la femme de leur fils.
La sœur de ma mère n'est nulle autre que ma tante. Tout comme le frère de ma mère est mon oncle, la sœur de ma mère est ma tante. Que cette sœur soit née avant ma mère ou après ma mère, elle demeure ma tante.
Comme les parents dénommeront l'épouse de leur fils belle-fille, la conjointe du neveu peut s'appeler belle-nièce. Il en est de même pour le conjoint d'une nièce, qui se dénommera comme le beau-neveu.
Le choix de l'un ou l'autre de ces deux termes se fait en fonction d'un aspect légal. Si un contrat de mariage a été conclu, on utilisera « mon épouse », « mon époux ». En l'absence de contrat de mariage, on utilisera « ma femme », « mon mari ».
Locution nominale
Personne que l'on considère comme sa sœur sans avoir de lien biologique avec elle.
Le mari de ma nièce est bien mon neveu par alliance, et ce lien tante-neveu ou oncle-neveu dure le temps de l'engagement de l'alliance qui nous lie, normalement pour la vie.
Nom commun. Petite-fille du frère ou de la sœur. Autrement dit, fille du neveu ou de la nièce. On est pour sa petite-nièce un grand-oncle ou une grand-tante.