Le Némès est la coiffe la plus emblématique des pharaons qui la porteront de l'Ancien Empire jusqu'à la période ptolémaïque.
Le Pschent (skhemty) est le nom grec de la double couronne portée par les pharaons de l'Égypte antique.
Durant l'Egypte Antique, les perruques étaient utilisées pour protéger du soleil les crânes rasés ou pour les cérémonies. Elles étaient alors faites de cheveux naturels, de lin ou de fibres de palmier. Toutes les classes en portaient, mais la matière était différente suivant son rang social.
La couronne rouge symbolise le pouvoir du pharaon sur la Basse-Egypte. La double couronne (le pschent) symbolise le pouvoir du pharaon sur les deux Terres (Basse et Haute-Egypte). L'uræus et le vautour : les deux protecteurs du pharaon.
Dans l'Égypte antique, la barbe postiche (dw3-wr, lu doua-our) est l'un des attributs que partage le pharaon, qu'il soit un homme ou une femme, avec les dieux et qui le différencie du commun des mortels.
Le vautour était le symbole de la Haute-Égypte. Les pharaons portaient l'uraeus (cobra) et la tête de vautour sur le front pour symboliser la protection royale. La déesse Nekhbet était aussi représentée sous l'aspect d'un vautour.
Posez des bandes de papier ou de tissu couvertes de pâte sur le plastique. Enroulez les bandes tout autour de la momie pour en couvrir toute la surface. Ajoutez trois ou quatre couches pour créer un sarcophage épais.
Les sandales romaines ou avec rubans attachés au mollet sont très recommandées pour le déguisement d'égyptien. Pour les femmes, vous pouvez vous mettre sur la tête un diadème ou une tiare également dorée, et le maquillage sera aussi très important, il allongera le trait des yeux d'une couleur noire.
Le terme "pharaon" provient d'une expression de l'égyptien ancien, "per-aâ", qui signifie littéralement "grande maison". Il est employé pour désigner les rois et les reines, qui se sont succédé à la tête de l'Egypte antique. Officiellement, on dénombre aujourd'hui 345 pharaons.
Rarement une femme aura autant intrigué qu'Hatshepsout. Certes, d'autres femmes de pouvoir existèrent avant et après elle, mais jamais une reine n'aura autant marqué son temps et sa civilisation.
L'ultime représentant de l'institution pharaonique proprement dite est le dernier Lagide, Ptolémée XV (dit Césarion), fils de Jules César et de Cléopâtre.
Titre donné aux souverains absolus de l'Égypte ancienne.
Cléopâtre, Nefertiti, Hatchepsout... Lorsqu'on évoque l'Egypte de l'antiquité, les premières images qui viennent à l'esprit sont celles de ces femmes puissantes qui ont autant marqué leur temps et la postérité que les hommes qui furent leurs contemporains, si ce n'est plus.
Hatchepsout est la première femme qui a marqué l'histoire de l'Égypte antique. Fille, sœur et épouse de pharaon, elle a régné de 1479 à 1458 avant Jésus Christ, après la mort de son mari Thoutmôsis II. Sur les fresques, elle est représentée comme un pharaon, avec un pagne et une barbe postiche.
Ahmès-Néfertari, Hatshepsout, Néfertiti, Néfertari, Isisnefert, Touy ( la mère de Ramsès II ), Tiyi ( la mère d'Akhénaton ), les noms de ces femmes continuent de résonner dans nos mémoires malgré les siècles qui passent.
Pour l'assemblage de la robe, il faut commencer ainsi.
Faites un ourlet en bas de la robe, entre le drap et la doublure, endroit contre endroit. Il s'agit de la partie la plus large du demi-cercle. La doublure ne concerne que la jupe, il n'y a pas de doublure sous le bustier. Enlevez les épingles et retournez la jupe.
Attrapez la partie du drap qui pend derrière vous d'une main, tout en maintenant l'extrémité drapée en place avec l'autre. Tirez le tissu vers l'avant, puis rabattez-le sur la partie drapée. Enroulez le tissu autour de votre corps. Faites plusieurs fois le tour de votre torse avec la longueur de tissu libre.
Les embaumeurs enlèvaient tous les organes du corps et les mettaient dans des vases canopes qui étaient rangés près du mort. Le corps était desséché avec un sel, le natron. Puis il était bourré de tissus et recouvert de résine. Il était ensuite enveloppé de bandelettes.
Un long crochet était inséré dans les narines jusqu'au crâne et remué pour liquéfier le cerveau, qui se déversait ensuite naturellement dans un bol. Une fois le corps momifié, il était placé dans un cercueil, lui-même placé dans un sarcophage.
La première étape fondamentale est d'éviscérer le corps, après lavements. Pour cela, une incision est effectuée sur un des flancs, les intestins et autres organes sont prélevés. Après cette étape, il ne reste plus que l'enveloppe corporelle et les os. Pour éviter la putréfaction, il faut enlever un maximum d'eau.
Les dieux impliqués dans le jugement des morts peuvent posséder l'ankh. Ils la tiennent généralement par la boucle ou dans chaque main, les bras croisés sur la poitrine. Certains la placent sous le nez du défunt, comme pour lui insuffler la vie éternelle.
Trois attributs sont indiqués : en haut, (1) l'uraeus ou cobra, puis, (2) le némès coiffe royale et (3) la barbe postiche. A droite de la tête, on découvre deux insignes royaux croisés : (4) le fléau, (5) le bâton de berger. Le pharaon les portait croisés sur sa poitrine.
La crosse-héqa et le flagellum-nekhekh, aux aspects pastoralistes, démontrent que le pharaon est le berger de son peuple, le guidant et le protégeant. Parmi les autres attributs figurent la queue de taureau fixée à l'arrière du pagne, la barbe cérémonielle, les sandales et l'étui-mekes.