Ce mot désignait la jeune fille noble. La « demoiselle » est d'abord un équivalent de « dame », il désigne une jeune femme noble, même si on lui préfère le mot « dame ». Le sens change, une « demoiselle » devient une jeune femme de rang inférieur à la « dame ».
Le suzerain devait protection et justice à ses vassaux. adjectif Dame suzeraine. déf.
Feudataire : Personne qui possède un fief et doit foi et hommage au seigneur qui le lui a concédé. Fief : chose tenue (bien, droit ou revenu, le plus souvent une terre) concédée par un seigneur à son vassal à la suite de l'hommage de celui-ci, et en échange de services (le plus souvent militaires).
Étiquette[modifier]
Il convient généralement de s'adresser à un lord par « Messire », « Monseigneur », ou « Votre Seigneurie » et de le désigner par « Sa Seigneurie ». Les lords portent le titre de « seigneur » de leur maison et de « sire » ou de « seigneur et maître » [N 8] de leur fief.
Pour les personnes jouissant du titre nobiliaire d' écuyer, chevalier, baron, vicomte, comte, marquis (classés en ordre croissant) et leurs épouses, il est conseillé de s'adresser à eux, de manière orale ou épistolaire, en usant tout simplement du qualificatif Monsieur et Madame.
la cérémonie au cours de laquelle le vassal jure fidélité à son seigneur.
Au Moyen Âge, un vassal est un homme libre qui se met sous la protection et au service d'un homme plus puissant appelé « seigneur » ou suzerain. Un homme devient vassal d'un autre par la cérémonie de l'hommage.
Le roi construit son pouvoir royal en se plaçant à la tête de la pyramide féodale (doc. 2). Le roi de France peut affirmer au XIII' siècle qu'il n'est le vassal de personne et il impose à tous les grands seigneurs de lui prêter hommage (doc.
Dans la pensée médiévale, toutes les femmes sont des « filles d'Ève ». Elles sont donc réputées faibles – dans le droit, on utilise les concepts de « sexe faible » (fragilitas sexus ou infirmitas sexus) –, versatiles, excessives – en particulier, elles parlent trop –, lascives et portées à la luxure.
Les femmes étaient strictement astreintes à la monogamie, l'adultère sévèrement réprouvé. Seul le rôle de mère était valorisé, et l'exercice de toute profession constituait une forme de déchéance sociale, à l'exception de fonctions religieuses ou honorifiques.
Au Moyen Âge, si l'on remonte la pyramide du vassal en suzerain, le roi est au sommet : suzerain des suzerains, il est le « seigneur suprême ». Mais son pouvoir va mettre plusieurs siècles à s'affirmer.
Personne liée à un seigneur par l'obligation de foi et hommage.
Le roi, seigneur suprême, est au sommet de la pyramide. En-dessous se trouvent les grands seigneurs, les ducs et comtes. Plus bas se situent les petits seigneurs, les barons et châtelains.
Cérémonie au cours de laquelle un homme était armé chevalier. La cérémonie de l'adoubement débutait par la remise des armes au postulant par un chevalier qui lui servait de parrain.
Chaque suzerain, qui possède souvent un château avec des terres, réunit autour de lui un groupe de fidèles, moins puissants, qui lui doivent des services en échange de sa protection : ce sont ses vassaux.
Qui est soumis, dépendant.
Choses en désordre. Synonyme : amoncellement, bric-à-brac, capharnaüm, enchevêtrement, entassement, fatras, montagne. – Familier : bazar, chantier, méli-mélo, souk.
amène adj. Qui est agréable, qui charme par sa douceur.
L'entité la plus puissante dans la relation de suzeraineté, ou à la tête de l'État de l'entité plus puissante, s'appelle le suzerain. Dans un système féodal, le suzerain est un seigneur qui octroie un fief à son vassal lors de la cérémonie de l'hommage.
Dans le vocabulaire du droit féodo-vassalique, le suzerain est le seigneur du seigneur (antonyme : arrière-vassal). Ce terme désigne par excellence la personne qui se trouve au sommet d'une pyramide hiérarchique : l'empereur, le roi, dans la société féodale, sont des suzerains.