Parlez avec vos mots, vos expressions. Utilisez des mots simples mais justes, nommez la maladie. Expliquez la maladie simplement en partant du début, « du comment ça a commencé »…, qu'on a découvert une boule (une tumeur), que cette boule est faite de mauvaises cellules et que ça s'appelle un cancer.
Évitez de dire : « Ça va bien aller. » | Dites plutôt : « Je t'aime » ou « Je serai avec toi à chacune des étapes de cette épreuve ». Essayez de ne pas banaliser l'expérience de votre proche en lui disant que tout va s'arranger.
Attention, il est inutile de forcer quelqu'un qui se réfugie dans le déni à entendre la vérité. Mais il est toujours préférable d'adopter un langage de vérité. Si vous préférez cacher votre maladie, l'inquiétude, la tristesse, la lassitude et la fatigue finiront toujours par transparaître dans votre langage non verbal.
On peut tout à fait cacher son cancer pour des motifs positifs : conserver une identité sociale, respecter des valeurs, ne pas entraver la progression d'une carrière… Taire son cancer, c'est un droit et une liberté. Qui peut néanmoins avoir des conséquences difficiles à assumer.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...
L'annonce du diagnostic d'un cancer est toujours un choc pour celui qui le reçoit. L'angoisse, les craintes, les questions qui se bousculent dans la tête. L'accompagnement est primordial et le soutien de l'entourage et des professionnels de santé est essentiel.
Il arrive aussi que l'agressivité soit le symptôme d'un mal-être plus profond, lié à une fragilité ancienne qui n'a pas été traitée ou à des troubles émotionnels dont on s'est accommodé et que le cancer vient réactiver.
Prenez du temps pour ne rien faire (du tout !), dormir, méditer, lire, faire du yoga … Pratiquer des activités calmes qui vous apportent de la sérénité. Le plus souvent seul. e, mais pourquoi pas aussi avec vos proches si c'est ce dont vous avez envie.
Des jolis coussins : pour mettre un peu de douceur dans un intérieur et être bien confortable à la maison. Un plaid tout doux : pour se blottir dessous, devant un bon film ou en lisant un bon livre. Des bougies pas trop parfumées : pour leur lumière douce et leur effet réconfortant.
Ne dites pas «Je ne me sens pas bien», trop faible, mais allez-y carrément avec un «Je suis affreusement mal». N'ayez pas peur des mots: il s'agit d'impressionner - sans pour autant engager le pronostic vital. Crédible, on a dit. Si vous avez des courbatures ou mal à la gorge, on vous méprisera.
Certains parents n'ont pas la force d'aborder le sujet de la maladie. Si c'est votre cas, vous pouvez demander à un proche ou à un membre de l'équipe médicale d'être présent – voire de parler à votre enfant à votre place. Vous pouvez aussi vous adresser à votre ligue cantonale contre le cancer pour vous accompagner.
Prenons l'exemple du cancer le plus fréquemment rencontré, celui du sein. Si le radiologue constate une masse étrangère et suspecte lors de l'examen, il se doit d'en informer la patiente. Bien entendu, cette annonce ne doit pas être donnée dans un couloir ou entre deux portes si j'ose dire.
L'étude « Face », menée en partenariat avec la Société Française de Psycho-Oncologie (SFPO), confirme le rôle essentiel de l'entourage : 82 % des patientes atteintes d'un cancer du sein peuvent compter sur le soutien moral de leur noyau familial qui fait bloc contre la maladie.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
La personne pleure. Elle veut parfois exprimer cette tristesse seule et parfois être accompagnée dans l'expression de cette grande peine. Les personnes en fin de vie expriment souvent qu'elles auraient voulu que cette vie se poursuive encore longtemps et comment il est difficile de laisser ceux qu'on aime.
La confusion et la somnolence peuvent survenir dans les dernières heures. Les sécrétions pharyngées ou le relâchement des muscles de la gorge entraînent parfois une respiration bruyante, parfois qualifiée de râle.
Est-ce que soins palliatifs veut dire fin de vie ? Non. Les soins palliatifs sont destinés aux personnes atteintes de maladies graves, ne sont pas forcément en fin de vie. Les soins de fin de vie font partie des soins palliatifs.
Le tabagisme, la consommation d'alcool, une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique et la pollution de l'air sont autant de facteurs de risque de cancer (et d'autres maladies non transmissibles).
Le Cancer est le signe du zodiaque le plus fidèle en amour. Il ne peut envisager une seule seconde de perdre la femme qu'il aime pour une aventure. Il porte d'ailleurs un jugement très sévère sur les infidèles. Si un Cancer vous plait, vous avez donc tout intérêt à être honnête avec lui, mais aussi entreprenante !
Toutes nos pensées vous accompagnent dans ce moment difficile, bon rétablissement, bien amicalement. Dans cette épreuve, vous pouvez compter sur notre soutien. Meilleurs vœux de rétablissement. Courage dans cette épreuve, nous vous adressons nos meilleures pensées de bon rétablissement.
Il y a des médecins qui ne veulent pas faire de tort au malade, on parle souvent dans ce cas de mensonge par humanité. D'autres mentent parce qu'ils jugent le malade incapable de comprendre l'information sur son état de santé. D'autres encore, parce qu'ils le pensent incapable de supporter la vérité.