La vie bonne est un mode d'être, une norme de l'humain, à prétentions objectives, définie à partir d'activités intrinsèquement bonnes, elle désigne le développement des talents ou encore des perfections. Bonheur et épanouissement humain renvoient à deux catégories ontologiques différentes.
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
Problématisation du sujet : Les expressions « vivre bien » et « bien vivre » n'ont aucune différence dans l'opinion commune parce qu'elle met l'accent sur le terme « vivre » et non sur le concept e « bien ». Le philosophe par contre met l'accent sur le terme « bien ».
Ainsi, selon Socrate, la philosophie comme manière de vivre – vivre la vie qu'il a lui-même menée et qu'il recommandait à ses jeunes disciples et aux autres interlocuteurs de vivre – c'est essentiellement s'engager, avec le plus de rigueur et de constance possible, et sans réserve aucune, à user de sa raison, en vue de ...
C'est une pensée optimiste où l'humanité est considérée comme un produit de l'éducation qui permet à l'homme de s'élever au niveau suprême de l'être, s'arrachant à l'animalité à laquelle il appartient par son corps et ses pulsions. Extrait de la revue Acropolis de Mars N°294.
Le but de la vie, c'est d'apprendre à être sage, joyeux et fort ; tout cela en même temps et sans compromettre ou sacrifier l'un des éléments.
Elle lui apporte des repères et une protection. A travers la société l'homme parvient à avoir des responsabilités et à développer des compétences. Si vous pensez peut-être que vous pouvez vivre seul, alors vous vous détromper car cette même société que vous rejetez est la seule source de votre joie.
Ensemble des événements et des activités qui constituent le cadre et le contenu d'une existence, sur le plan individuel ou collectif. Ensemble des éléments qui donnent de la valeur à l'existence humaine.
C'est, nous l'avons vu dans les définitions d'Aristote, la fin la plus haute : « bien vivre », c'est-à-dire vivre heureux, d'une vie parfaite, la meilleure possible.
Un être vivant est doué d'un certain degré d'autonomie au sein d'un milieu ambiant et n'a besoin que de lui-même pour se maintenir comme tel. Aristote, dans son traité intitulé De l'âme, définit ainsi la vie comme la « capacité de se nourrir, croître et dépérir par soi-même ».
Le bien vivre ensemble repose sur le respect mutuel, l'acceptation de la pluralité des opinions, des interactions dans l'ouverture et la coopération, des relations bienveillantes, ainsi que sur le refus de s'ignorer ou de se nuire.
prévenir les conflits ; respecter les cultures, les religions ; renforcer la volonté des individus à être des acteurs ; apprendre à chacun à reconnaître en l'Autre la même liberté qu'en soi même.
Pour Nietzsche, la vie n'est digne d'être vécue seulement si nous avons des buts à atteindre. Il voyait le nihilisme (« tout ce qui arrive n'a aucun sens ») comme sans but. Il n'exclut pas pour autant la possibilité que l'homme puisse faire quelque chose de sa vie, pour lui donner un sens « Qu'est-ce que le bonheur ?
La vie nous donne les amis et les ennemis qu'on mérite. Ce qui est le plus important dans la vie, c'est de donner à quelqu'un un peu de bonheur. Le sens de la vie c'est apprendre toujours, apprendre et transmettre parce que transmettre c'est donner, donner c'est aider, aider c'est avancer, avancer c'est grandir.
Définition "raison de vivre"
n. Motivation pour vivre (ex. la poterie était sa vie.)
Bien agir signifie faire le bien.
C'est donc d'abord mettre nos actions en conformité avec nos principes qui, précisément, servent à guider nos choix et donc nos actions : la morale a en effet pour vocation de nous indiquer ce que nous devons faire et donc de nous indiquer quoi faire pour bien agir.
Le bonheur est un état de satisfaction complète caractérisé par sa stabilité et sa durabilité. Il ne suffit pas de ressentir un bref contentement pour être heureux. Une joie intense n'est pas le bonheur. Un plaisir éphémère non plus.
La sagesse n'est pas le but, mais le moyen — comme perspective — de la philosophie comme fin en soi. Penser le sens consiste à perpétuellement le repenser.
Qu'est donc la vie ? Il existe une définition biologique de la vie : un organisme est dit vivant lorsqu'il échange de la matière et de l'énergie avec son environnement en conservant son autonomie, lorsqu'il se reproduit et évolue par sélection naturelle.
C'est le sentiment d'être en adéquation avec les aspirations profondes qui nous animent, et qui nous permettent de guider notre vie dans la direction que nous désirons. Les valeurs que nous choisissons comme guident sont des sources de bonheur et de satisfaction toujours disponibles.
"Il n'y a que deux façons de vivre sa vie : l'une en faisant comme si rien n'était un miracle, l'autre comme si tout était un miracle." "Le sens de la vie est la plus pressante des questions". "Nous avons autant besoin de raisons de vivre que de quoi vivre".
Et face au malheur, le bonheur nous est d'une grande aide. En effet, il nous rend capable de supporter la souffrance, l'échec, la maladie, la trahison, etc... Ainsi, le bonheur semble être davantage une nécessité qu'un but à atteindre, car il permet d'élever notre condition au-delà de la simple survie.
Chaque communauté humaine a la force intérieure d'envisager son propre avenir, d'agir pour le réaliser, de partager ses apprentissages et de cultiver sa solidarité.
En somme, le bonheur rend créatif, flexible, ouvert d'esprit, et, bien souvent, efficace. Les émotions positives engendrent aussi des changements durables et profonds. Nous nous sommes récemment demandé si la joie de vivre constituait une forme de protection contre les événements néfastes de la vie.