Par opposition, on retrouve donc les verbes personnels qui, eux, ont un sujet qui exprime bien une personne ou une chose. Il est là ==> Jacques est là. Un verbe impersonnel est un verbe qui n'existe qu'à la troisième personne du singulier. Le pronom sujet "il" ne représente rien.
L'indicatif, le conditionnel, l'impératif et le subjonctif sont des modes personnels, c'est-à-dire qu'ils admettent la distinction des personnes grammaticales (je, tu, les hommes...). L'infinitif, le participe et le gérondif sont des modes impersonnels qui n'admettent pas la distinction des personnes grammaticales.
I. Rappel de 6ème: les modes personnels
Il existe 4 modes peronnels dans la conjugaison française: l'indicatif, l'impératif, le subjonctif, le conditionnel.
On appelle mode, la manière dont le verbe exprime l'état ou l'action. En français, on distingue deux types de mode : - les modes personnels : ils sont introduits par un pronom personnel, je, tu, il etc. - les modes impersonnels : tous les modes n'ayant pas de pronom personnel : l'infinitif, le participe et le gérondif.
Un verbe impersonnel (aussi appelé verbe unipersonnel) ne s'emploie qu'à l'infinitif ou à la 3e personne du singulier avec le pronom il (ou, plus rarement, avec les pronoms ça, ce ou cela). Certains de ces verbes peuvent s'employer personnellement, mais uniquement au sens figuré : Les malheurs pleuvent sur lui.
On dit qu'un verbe est impersonnel quand il ne se conjugue qu'à la 3e personne du singulier. Il , le pronom sujet, ne renvoie à aucun antécédent et est invariable. On l'appelle le sujet apparent ou grammatical.
Afin de transformer une phrase personnelle en phrase impersonnelle, il faut : - que le sujet de la phrase devienne le complément du verbe impersonnel; - que le sujet il impersonnel soit ajouté et que le verbe soit accordé à la troisième personne du singulier.
Il y a sept (7) modes de conjugaison en français : l'indicatif, le conditionnel, l'impératif, le subjonctif, l'infinitif , le participe et le gérondif chaque mode compte nombre de temps.
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Les temps sont les formes que peut prendre un verbe pour indiquer à quel moment de la durée se situe l'action par rapport au passé, au présent et au futur. Les nuances en fonction des conditions ou d'une hypothétique réalisation sont quant à elles exprimées par le mode.
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
Les quatre temps composés de l'indicatif (passé composé, futur antérieur, plus-que-parfait et passé antérieur) sont formés de l'auxiliaire avoir ou être (conjugué aux temps simples), suivi du participe passé du verbe.
L'infinitif est la forme du verbe dite non conjuguée. Ce sont, par exemple, des verbes qui se terminent par : -ER, -IR ou -RE. Quelques exemples : manger, jouer, venir, finir, prendre, entendre, etc.
Le participe présent est un temps simple du mode participe. Il sert généralement à exprimer une action qui s'accomplit en même temps que celle exprimée par le verbe principal. Il est le noyau du groupe participial (GVPart).
Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par "nous" pour entre "ons" (futur) ou "ions". Si en remplaçant par nous "ions" sonne bien alors utilisez le conditionnel. Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire "nous mangerions du chocolat demain soir").
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Le verbe valeur n'existe pas. Il s'agit peut-être d'une faute d'orthographe. Voici une liste des verbes se rapprochant le plus : valoir.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
On emploie à l'occasion le pronom personnel « il », soit la troisième personne du singulier, sous une forme impersonnelle. Son rôle consiste alors à exprimer le temps : « Il est dix heures ». Ce pronom apparaît aussi en matière de conditions météorologiques : « Il fait beau », « Il neige », etc.
La voix impersonnelle attire l'attention sur le verbe.
Le verbe s'accorde avec lui : il est toujours à la 3e personne du singulier. verbe ne s'accorde plus avec lui. avec le pronom il. Verbe falloir : il faut, il fallait, il faudra, il a fallu, il faudrait, etc.
Phrase dans laquelle le sujet n'est pas celui qui fait l'action, mais qui se fait complément d'objet direct ou indirect. Exemple : "La souris est mangée par le chat" est à la voix passive.