La toxicomanie est une consommation abusive de substances, par exemple l'alcool, le tabac, les amphétamines, la caféine, le cannabis, la cocaïne, l'ecstasy, l'héroïne, les hallucinogènes, le LSD, la méthadone, etc., ou une dépendance physique ou psychologique à ces substances.
On peut également décrire la toxicomanie et la dépendance comme suit : état de besoin intense. perte de contrôle à l'égard de la consommation ou de sa fréquence. compulsion.
La toxicomanie est la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne... La prise en charge médicale peut se faire soit à l'initiative de la personne toxicomane elle-même, soit à la suite d'un signalement. Un(e) toxicomane peut bénéficier d'une cure de désintoxication.
Elle se caractérise par un ou plusieurs des comportements suivants : perte de contrôle à l'égard de la consommation de drogues, usage compulsif, maintien de la consommation malgré ses méfaits et état de besoin intense (Savage et coll., 2003).
Une chose est certaine : il n'y a pas de cause unique de la toxicomanie. Ainsi, le développement de la toxicomanie chez une personne est attribuable à tout un ensemble de facteurs. Il se peut que certaines personnes soient génétiquement plus vul- nérables aux propriétés toxicomanogènes des drogues.
Le THC, le principe actif contenu dans la marijuana, est le principal responsable de ses dommages buccaux. Les dentistes estiment que cette substance modifie la flore buccale, diminue la production de salive, épaissit et rend la plaque dentaire plus collante et difficile à éliminer.
Le terme toxicomanie renvoie à une dépendance et à une recherche active de produits toxiques, à la différence de quelqu'un qui serait dépendant au sport ou à un jeu vidéo par exemple. Aujourd'hui on a plutôt tendance à parler d'addiction car la toxicomanie a une connotation très péjorative.
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
Comprendre les conséquences de sa dépendance sur sa vie et sur celle de son entourage. Élaborer un plan d'abstinence et un plan de prévention des rechutes selon sa situation. Apprendre à gérer les signes avant-coureurs et les éléments déclencheurs d'une rechute.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Le diagnostic de toxicomanie se fonde sur un ensemble de comportements ou de critères liés à l'usage de la substance en cause. Les critères concernent la consommation immodérée de drogue ou d'alcool, le dysfonctionnement social qui en résulte et les effets pharmacologiques.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Les signes de manque apparaissent le plus souvent dès l'arrêt, leur intensité est maximale pendant les trois premiers jours, ils diminuent ensuite pendant trois semaines en moyenne et disparaissent généralement après 6 à 8 semaines en fonction de l'importance de votre dépendance.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Dans la majorité des cas, les cures de désintoxication peuvent durer 2 à 4 semaines, mais cela peut aller au-delà lorsque cela est nécessaire. À l'issue de la cure désintoxication alcool ou drogue, le patient continue d'être suivi et accompagné, grâce à des rendez-vous réguliers et un suivi psycho-social.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.
Avec le “crystal meth” les dégâts sont impressionnants: les dents deviennent fragiles et cassantes et des cavités noires se forment le long de la gencive.
La consommation de MDMA est souvent associée un effort physique prolongé comme la danse dans les milieux festifs. C'est pourquoi il est très important de bien penser à s'hydrater régulièrement en buvant de l'eau et en gardant une bouteille avec soi, même si la sensation de soif n'est pas présente.
Habituellement, ils sont censés envoyer un message de faim au cerveau quand l'organisme est en manque. Autrement dit, ce sont ces cellules nerveuses qui contrôlent notre appétit. Mais avec le cannabis, les neurones POMC sont troublés. Avec la marijuana, ils envoient un message de faim, même quand l'organisme est repu.
À fortes doses, la drogue peut aussi occasionner des maladies mentales, telles que la schizophrénie, la paranoïa et la psychose. Elle rend aussi les personnes qui en consomment plus agressives, en plus de détruire un nombre considérable de neurones dans leur cerveau.