1. une hypothèse négative ; dans le cas contraire, autrement, sans quoi : Mettez-vous au travail, sinon vous n'aurez jamais terminé. 2.
Locution adverbiale
Oui vraiment, aussi surprenant que cela paraisse.
Pour ne plus se tromper, il faut retenir que l'expression si non (en deux mots) suit forcément l'expression si oui. En l'absence de si oui, on écrit sinon en un seul mot.
La conjonction « si », est une conjonction de subordination ou « subjonction ». On la qualifie aussi de « subordonnant », car elle est utilisée pour relier une phrase subordonnée à une phrase principale, dont elle dépend : elle marque la dépendance entre les phrases qu'elle relie.
Si, adverbe, peut modifier un adjectif, un participe passé employé comme adjectif, ou un adverbe : avec un si joli minois, elle ne manque pas de prétendants ; qui aurait pu penser cela d'un homme si estimé ? ; il écoute si attentivement qu'il ne vous a pas entendu venir.
Sinon / si non. Au sens de « autrement, sans quoi », sinon s'écrit toujours en un seul mot : il faut laisser sécher la colle, sinon la réparation ne sera pas solide ; obéis, sinon gare !
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse). Si est toujours suivi de l'indicatif. 1) Quand l'hypothèse est considérée comme réalisable, on emploie : si + présent de l'indicatif dans la subordonnée.
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
À titre d'exemple, si, outre qu'il exprime une condition, peut aussi signifier chaque fois que,à l'instar de lorsque et quand, lorsqu'il y a une idée de répétition indéfinie. De même, le HANSE précise que lorsque peut avoir un sens conditionnel, celui de dans le cas où.
si : adverbe exprimant l'intensité ou la comparaison.
On peut le remplacer par tellement ou par aussi. Il n'est pas si grand que nous le pensions. Il n'est pas aussi grand que nous le pensions. Il est si grand pour son âge !
La virgule s'emploie obligatoirement entre les mots, les syntagmes et les propositions qui sont coordonnées sans conjonction (mais, or, et, etc.). On parle alors de juxtaposition. - On monte, on descend, on crie, on s'agite en tous sens.
racli. Un raclo est un garçon, un jeune homme de cité. Il s'agit d'un terme argotique employé par les jeunes de cité pour parler d'un garçon, sans pour autant que ce soit forcément péjoratif. Exemple : Je déteste ce raclo.
Si oui, si tel est le cas.
Expression employé par les raclo exprimant leur satisfaction ou leur félicitation.
d'accord, assurément, bien sûr, évidemment, parbleu !, pardi !, parfaitement – Familier : dame !, ouais.
Le mot « il y a » : -il peut être supprimé en changeant la phrase et en utilisant un verbe plus précis. Dans cette pièce, il y avait un coffre. Dans cette pièce, se trouvait un coffre. Dans cette pièce, un coffre était posé.
On utilise SI (et pas OUI) lorsque l'on répond à une question négative de manière affirmative. Par ex.
En linguistique moderne (pragmatique), on appelle question rhétorique une question qui attend une réponse dichotomique : soit oui soit non, par opposition aux questions indirectes, qui attendent une réponse construite comme dans « Avez-vous l'heure ? ». L'interlocuteur ne répondra pas oui mais donnera l'heure.
Il est également possible de formuler une réponse négative en positivant. 'Un tout grand merci pour votre proposition et votre geste, mais je ne peux vraiment y donner suite. ' Vous avez donc plus ou moins neutralisé l'autre, qui plus est en le remerciant. Généralement, il n'insistera plus par la suite.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
Les phrases avec si doivent respecter la concordance des temps : Pour exprimer une quasi-certitude ou probabilité : Si + présent de l'indicatif → verbe 2 à l'indicatif (présent ou futur simple) ou à l'impératif. Si Muriel et Marcel suivent les conseils de Victor, ils réussiront leur mission.
Utilisez la fonction SI, une des fonctions logiques, pour renvoyer une valeur si une condition est vraie et une autre valeur si elle est fausse. Par exemple : =SI(A2>B2;"Dépasse le budget";"OK") =SI(A2=B2;B4-A4;"")