L'uretère est le conduit urinaire qui conduit l'urine du bassinet du rein à la vessie. L'uretère est le conduit urinaire qui conduit l'urine du bassinet du rein à la vessie. C'est un organe pair (uretère droit et gauche).
L'uretère est animé de mouvements réguliers qui permettent à l'urine de progresser vers la vessie. À ce niveau, la jonction au travers de la paroi musculaire permet d'éviter que l'urine ne remonte de la vessie vers le rein (mécanisme anti-reflux).
Les maladies liées à l'uretère lui-même : dans les cas les plus fréquents, ce sont des tumeurs de la vessie qui ont un potentiel très agressif lorsqu'elles arrivent au niveau du pyélon et de l'uretère. Elles se manifestent généralement par l'hématurie, c'est-à-dire la présence de sang dans les urines.
Urétral (ou uréthral) est l'adjectif correspondant (noter le changement d'accent sur le e). Le sphincter de l'urètre est le muscle qui permet le contrôle volontaire sur la miction. Il ne faut pas confondre l'urètre et l'uretère, qui est le conduit qui part des reins et transporte l'urine vers la vessie.
L'urètre féminin est un conduit excréteur de l'urine exclusivement. Il prend naissance au niveau de l'ostium interne de l'urètre situé au niveau du col de la vessie, entourée d'un sphincter lisse, pour se terminer au niveau de la vulve, où il s'ouvre par l'ostium externe de l'urètre.
L'orifice urinaire ou méat urétral
Le méat urétral est l'orifice externe de l'urètre. Son rôle au sein de l'appareil urinaire est d'évacuer l'urine au moment de la miction.
Chez l'homme, les brûlures urinaires intenses associées à un écoulement de l'urètre, l'orifice de sortie des urines et à une pesanteur de la vessie orientent vers une inflammation ou une infection de l'urètre (urétrite) dont la cause est généralement une maladie sexuellement transmissible.
Il existe 2 types de traitement endo-urétraux : les urétrotomies et les dilations de l'urètre. Les urétrotomies : cette intervention est réalisée sous anesthésie, et on sectionne la partie rétrécie de l'urètre par l'intérieur du canal sur toute sa longueur jusqu'en tissu sain.
On fait habituellement la résection segmentaire de l'uretère seulement pour enlever une petite tumeur située dans la partie inférieure de l'uretère la plus près de la vessie. Le chirurgien enlève la partie de l'uretère qui contient la tumeur ainsi qu'une marge de tissu sain juste au-dessus de la masse.
Les symptômes sont : d'envies fréquentes d'uriner comme une cystite avec brûlures ou douleurs à la miction. d'une sensation de pesanteur dans le bas ventre. d'une inflammation et de démangeaisons au niveau de la vulve et du vagin.
Les symptômes de l'urétrite sont des douleurs au moment d'uriner, des besoins fréquents d'uriner, un écoulement clair ou purulent par le méat urinaire (orifice de sortie de l'urine), une rougeur et des démangeaisons du méat urinaire. Il n'y a pas de fièvre.
Le diagnostic d'urétrite s'étaye par la recherche de leucocytes et une PCR pour C. trachomatis et N. gonorrhoeae dans le premier jet mictionnel.
L'urine fabriquée dans les reins s'achemine dans les uretères, s'accumule dans la vessie puis est excrétée en passant par l'urètre.
Le traitement de l'urétrite se fait alors par antibiothérapie. Dans certains cas, des corticoïdes et des antalgiques peuvent également être prescrits.
L'urine est produite par les reins à partir du sang circulant. Celui-ci est filtré en permanence par des éléments du rein appelés glomérules qui ne laissent passer que l'eau et les molécules dissoutes de petite taille. Le liquide qui en résulte est appelé urine primitive.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
Le principal symptôme du cancer des os est la douleur, notamment une douleur qui est plus vive la nuit. La douleur peut varier selon la taille et l'emplacement de la tumeur dans l'os. Les autres symptômes incluent les suivants : enflure dans la région où se trouve la tumeur.
Avec un traitement adapté, le taux de survie à 5 ans est de 80 à 90% lorsqu'il a été détecté au stade non invasif et un peu moins de 50% lorsqu'il était déjà profond au moment du diagnostic. Une fois guéri, le cancer de la vessie est sujet à la récidive dans 50 à 70% des cas de tumeur non invasive.
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
Une envie pressante et récurrente d'uriner et des douleurs à la miction sont les symptômes typiques de la cystite. Les symptômes de la cystite microbienne de la femme surviennent brutalement : Envie fréquente d'uriner, mais peu d'urines évacuées à chaque tentative. Brûlures en urinant et après.
Le calibre de l'uretère est d'environ 4 millimètres, donc les calculs dont le diamètre est inférieur peuvent s'éliminer spontanément dans la majorité des cas (environ 95% des cas) par les voies naturelles, certes, quelquefois au prix de quelques coliques néphrétiques.
Bien qu'aucun nombre fixe ne soit considéré comme "normal", une personne en bonne santé urine en moyenne six ou sept fois toutes les 24 heures. Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne.
Boire beaucoup d'eau permet de laver la vessie et de nettoyer l'urètre. Entretenir une bonne hygiène assure l'élimination des microbes. S'essuyer vers l'arrière après la selle est très important : cela évite de transporter les germes vers l'urètre. L'hygiène intime, si elle doit être régulière, doit aussi rester douce.
Une inflammation de la vessie est souvent d'origine bactérienne. Elle se caractérise par des symptômes tels que des envies pressantes d'uriner, des douleurs dans le bas-ventre et parfois du sang dans les urines.