Au XIème siècle, l'arbre de noël, garni de pommes rouges, symbolisait l'arbre du paradis. C'est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en Europe, plus précisément en Alsace. On le mentionne pour la première fois comme « arbre de noël » en Alsace vers 1521.
Un sapin de Noël est un arbre décoré pour Noël. Héritier des célébrations païennes de Yule, la fête du solstice d'hiver, et de plusieurs croyances de la mythologie nordique, ce sapin est associé par les chrétiens à la Nativité du Christ depuis le Moyen Âge.
Le sapin, c'est une tradition païenne, ça remonte aux celtes et c'est directement lié aux fêtes du solstice d'hiver. Le passage de l'automne à l'hiver. Les Romains aussi mettaient des branchages pour décorer leurs maisons. Bref, rien à voir au départ avec la religion chrétienne.
UN SAPIN AUX ORIGINES ALLEMANDES
Le sapin de Noël tel que nous le connaissons serait plutôt apparu au 16e siècle en Alsace selon Carole Cusack. (À l'époque, la région française faisait partie du territoire allemand).
Une fête aux origines païennes
Pour la religion chrétienne, la fête de Noël n'existait pas. Ce n'est qu'à partir du IIe siècle, que l'Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ. La date du 25 décembre fut fixée vers l'année 300 par Rome, afin de christianiser les rites issus de la culture populaire.
Avant d'être une fête chrétienne, Noël était un rite païen qui célébrait le solstice d'hiver, son nom : Yule, en langage viking. C'était l'une des huit dates importantes ponctuant l'année dans les cultures nordiques. Chacune correspondait à un moment important du cycle des saisons et donnait lieu à des célébrations.
Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.
Symbole du renouveau de la vie, il est un thème traditionnel païen que l'on retrouve dans de nombreuses religions archaïques. Il rappelle également l'arbre de vie de la Genèse. Le sapin et l'épicéa étant des conifères à feuilles persistantes, ils sont symbole de renaissance lors du solstice d'hiver.
Explications. Non, ce n'est pas la marque de boisson Coca-Cola qui a donné naissance à la couleur écarlate des habits du père Noël. L'idée selon laquelle les vêtements qui enveloppent la silhouette enrobée du Santa Claus sont passés au rouge après une campagne de publicité pour le fameux soda, n'est pas exacte.
The Twelve Days of Christmas (Les Douze Jours de Noël) est un chant de Noël très connu dans les pays anglophones. Il s'agit d'une comptine à récapitulation où sont énumérés douze cadeaux qu'une personne dit avoir reçus de son amoureux/se durant les douze jours consécutifs du temps de Noël.
Du latin sappīnus (« sorte de sapin »), issu du croisement du gaulois * sappos (« sapin ») (cf. ancien français sap, breton sap, cornique sab), et du latin pinus (« pin »).
Parce que les anges sont apparus haut dans le ciel le premier Noël, les gens ont commencé à placer des anges au sommet de leurs arbres pour célébrer la naissance de Jésus.
Les catholiques, les protestants et les orthodoxes considèrent Noël comme une fête importante, car elle marque la naissance de Jésus. Pour ces trois religions, Jésus est le fils de Dieu venu dans le monde pour aider tous les hommes.
Du latin natalis «de naissance», le mot «noël» est l'élision de la locution natalis dies «jour de naissance». La formule est d'abord employée en latin ecclésiastique pour désigner la Nativité du Christ, indique Le Trésor de la langue française.
La dinde remplaça l'oie au menu de Noël, car elle représentait un volatile exotique qui, du fait de sa rareté, était dégusté en temps de grandes fêtes. La première dinde servie lors d'un repas en France aurait eu lieu lors du banquet de noces de Charles IX en 1570.
Ensuite, c'est en Allemagne que la coutume a véritablement pris naissance. Vers 1520, on décorait les arbres avec des confiseries, des pommes et même des petits gâteaux et on plaçait déjà, à cette époque, une étoile au sommet pour rappeler celle de Bethléem.
De Saint Nicolas de Myre au Père Noël rouge pétant de Coca, puis vert païen, le bonhomme à la longue barbe blanche a "muté" plus d'une fois. Voici les secrets de son origine... Le personnage du célèbre Père Noël vêtu de rouge du XXIe siècle est issu de croyances et de rites... antiques (!)
Le Père Noël est le Père Noël ! Non, s'il a une barbe blanche, c'est parce qu'un jour le Père Noël a eu des enfants.
Nicolas de Myre
Le nom de Santa Claus (père Noël) est en fait une déformation du terme néerlandais Sinterklaas (saint Nicolas).
Le Cyprès. Cet arbre sacré chez de nombreux peuples, grâce à sa longévité et à sa verdure persistante, est également nommé "Arbre de vie", à l'instar du Thuya. Chez les Grecs et les Romains, le Cyprès est en rapport avec les divinités de l'enfer.
La couronne fait partie des symboles de Noël, elle est traditionnellement accrochée sur la porte d'entrée de la maison pendant les fêtes de Noël et a une signification païenne aussi bien que chrétienne.
Fixation du jour de Noël
Avant la christianisation de l'Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l'empereur romain Aurélien en 274, comme grande fête du culte de Sol Invictus (le soleil invaincu).
La mère Noël est un personnage fictif traditionnel, épouse du père Noël. Elle est généralement présentée comme une femme âgée, corpulente, aimable et patiente, alors que le père Noël est souvent plus exubérant.
Un des plus grands quotidiens norvégiens a annoncé dans sa rubrique nécrologique la mort du père Noël. Le journal s'est excusé pour cette blague de mauvais goût, assurant que le gros bonhomme en rouge est bien vivant. Que les petits et grands enfants se rassurent, le père Noël est bien en vie.
Le légendaire vieux bonhomme est reconnaissable par sa barbe et sa tenue rouge et blanche. Néanmoins, issue de la récupération commerciale d'une grande marque de boisson, la couleur vestimentaire du père Noël était avant cela verte.