Consommation de matières fécales. 2. Habitude, propre au lapin et au lièvre, de réingérer ses propres crottes d'origine cæcale. (Elle permet une seconde digestion des aliments, comparable à la rumination.)
Par exemple, la femelle du chat va manger les excréments des chatons et les laver jusqu'à ce que ces derniers puissent marcher et déféquer dans un endroit adéquat. De même, de nombreuses espèces d'oiseaux ingèrent les déjections des oisillons contenues dans des sacs fécaux quand ils nettoient leur nid.
Le scarabée bousier (Scarabaeus laticollis) est un insecte invertébré appartenant à l'ordre des coléoptères et à la famille des scarabéidés. Sont appelés “bousiers”, les scarabées partiellement ou exclusivement coprophages, c'est-à-dire qui se nourrissent d'excréments.
La copromanie désigne la tendance à manipuler ses excréments et à en barbouiller murs et objets, tandis que la coprophagie correspond à un comportement qui consiste à ingérer ses excréments.
Principe. Le porc est un animal omnivore, qu'on nourrit couramment avec des déchets alimentaires, mais qui peut manger des cadavres et éventuellement des excréments contenant encore des matières organiques digestibles.
Ce comportement s'appelle de l'auto-coprophagie. C'est rare chez le chat mais plus fréquent chez le chien. Il s'agit d'un comportement normal chez la chienne après la mise bas pour maintenir de bonnes conditions d'hygiène dans le nid.
Les chatons apprendront bien vite, par la suite, à enfouir leurs excréments lorsqu'ils commenceront à devenir autonomes. Mais il faut aussi noter que les chats cachent leurs excréments en les recouvrant de terre ou de sable pour que leur territoire ne soit pas localisé par leurs congénères.
En général, ce comportement est le symptôme d'un déséquilibre, soit alimentaire, soit comportemental. En cas de carence alimentaire (manque de vitamines, d'oligoéléments ou insuffisance de la ration), le cheval peut avoir tendance à manger ses crottins ou ceux des autres chevaux.
D'abords définissons la coprophagie : c'est l'action d'ingérer ses propres fèces ou celles d'un autre animal. C'est un trouble comportemental qui traduit un problème de fond chez votre compagnon. Technidog vous propose de faire le point sur cette affection comportementale.
Les causes les plus couramment évoquées sont : l'ennui, le manque de minéraux et la mauvaise manie. Les solutions proposées sont variables, mais ,en général, il sera conseillé de donner un mauvais goût au bois. Le comportement disparaît alors, mais, bien souvent, le problème demeure.
Dans le cas d'un ulcère, le cheval va être plus agressif et présenter des troubles de l'alimentation spécifiques. Par exemple, manger de la terre ou du crottin, comme pour se faire lui-même une sorte de pansement.
Ce sont les toilettes du blaireau ! Une crotte de blaireau peut avoir bien des formes, mais vous la trouverez toujours dans ces WC sauvages. Ce mammifère est un animal très propre. Il fait toujours ses besoins dans des petits trous circulaires qu'on appelle des petits pots.
Les blaireaux sont des omnivores qui préfèrent manger des insectes ou de petits crapauds pour se nourrir. Ils n'attaquent donc pas les chats pour les manger, mais plutôt pour se défendre s'ils se sentent menacés. Les attaques de blaireau surviennent lorsque son terrier se situe à proximité du territoire d'un chat.
Les chats cachent leurs déjections pour ne pas attirer l'attention par l'odeur. En liberté, ils évitent ainsi leurs ennemis ou des conflits avec le chat dominant. Celui-ci n'enterre pas ses crottes, mais les dépose bien en vue pour montrer qu'il est le chef. Ces comportements font partie du langage des chats.
Du coup, une autre explication est mise en avant par l'anthropozoologiste Hal Herzog dans Psychology Today : les excréments humains. Très nutritifs, ces derniers auraient constitué une importante source de nourriture pour nos ancêtres chiens.
L'enfermement, l'anxiété, l'ennui et de manière générale tous les éléments générateurs de stress peuvent entraîner la coprophagie. Même une éducation de la propreté mal dirigée peut pousser un chien à ingérer ses selles, dans le seul but de les dissimuler.
Le chien peut manger ses crottes pour attirer l'attention (même négative) de son propriétaire, il peut chercher à éliminer ses selles suite à une punition ou du stress. Enfin les très jeunes chiots peuvent le faire, de façon normale, par imitation de son maître ou de sa mère qui élimine les selles du nid.
Rencontres entre chats et renards
Il peut arriver qu'un renard hardi vienne titiller un chat par jeu ou qu'un chat mette en fuite un renard en feulant et en faisant le gros dos. Il n'existe aucune preuve d'attaque de renards sur des chats.
Deux chercheurs italiens ont analysé des excréments de renards pendant une année complète en Toscane, confirmant qu'ils mangeaient bien des chats, notamment des chatons. Ils constituaient même la plus grande partie de leur menu en hiver. Les renards mangent bel et bien des chats, c'est désormais attesté par la science.
Le blaireau, animal nocturne.
Les indices de la présence d'un hérisson dans son jardin sont : - Ses crottes : déposées au hasard, cylindriques jusqu'à 10 mm de diamètre et 4 cm de long, d'un noir brillant, avec des restes d'insectes et d'élytres.
En attendant, voici une description des crottes de hérisson : Les crottes de hérissons sont en général plutôt noires, assez brillantes, et contiennent beaucoup de restes d'insectes (mais bien sûr, cela peut varier en fonction de la nourriture de l'individu en question).
De même, ses crottes sont à peu près de la taille d'une crotte de chat (1,2 cm de diamètre sur 8 - 10 cm de long), mais en général torsadées, et souvent regroupées en " crottoirs ".
Pensez-vous que c'est un signe d'affection ? Léa Lansade: Des études scientifiques ont montré que ce comportement de léchage reflète le tempérament des chevaux : certains ont une prédisposition naturelle à être très proches de l'homme, à le lécher ou le mordiller, tandis que d'autres restent toujours très éloignés.
La cause n'est pas toujours claire, mais peut conduire à une carence en minéraux ou en sels. Ç'est aussi possible que le cheval ait trop peu de fourrage, qu'il commence à manger du sable simplement par ennui, ou que quelque chose ne va pas.