Les principaux polluants dans les sols sont les métaux lourds (cadmium, cuivre, mercure, plomb, zinc) et les polluants organiques (dioxines et furanes, HAP, PCB). Des teneurs élevées en polluants peuvent avoir des effets sur l'homme, les animaux et les plantes.
Les éléments les plus pollueurs sur la planète
En effet, les gaz émis par les voitures, les déchets quotidiens, les fumées des usines ainsi que les déchets dans les égouts et ceux abandonnés en pleine nature, constituent les principales causes de la pollution.
Les diverses activités humaines (de l'agriculture aux industries) ont appauvri les sols en matières organiques, en éléments minéraux, les ont transformés, pollués : les engrais et produits chimiques pour lutter contre les mauvaises herbes et les parasites contiennent des éléments qui ne sont pas tous dégradables.
Autrement dit, la pollution du sol est comprise comme altération du biotope constitué par l'humus (ou tous autres types de sols) par l'introduction de substances toxiques, éventuellement radioactives ou d'organismes pathogènes entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
La pollution agricole
Seulement, entre les engrais et le fumier dont la production a augmenté de 66 % en moins de 60 ans avec la multiplication des élevages, les taux d'azote dans la terre ont atteint des seuils critiques. À ce stade, cela modifie l'acidité des sols et le type de plantes capables de s'y développer.
L'érosion par l'eau qui provoque la perte de la partie supérieure du sol par ruissellement superficiel. La dégradation chimique : Perte des éléments nutritifs, pollution, acidification, salinisation ... La dégradation physique : Compaction, croute de batance, engorgement , aridification.
limiter le lessivage et augmenter la biodiversité par la couverture des sols, valoriser l'eau de profondeur et limiter les apports d'eau par irrigation, limiter les apports en fertilisants minéraux en améliorant le fonctionnement racinaire, limiter au maximum le recours aux intrants non renouvelables et chimiques.
Ainsi, selon les calculs de Lucas Chancel, une personne appartenant aux 0,01 % les plus riches de la population mondiale – environ 771 000 personnes –, émettait en moyenne 2 332 tonnes d'équivalents CO2 en 2019, quand une personne appartenant à la moitié la plus pauvre de l'humanité n'en a émis que 1,4.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
Lecture : en 2021, le secteur d'activité du transport routier émet une quantité de gaz à effet de serre équivalant à 119,6 millions de tonnes de CO₂.
L'utilisation des terres pour l'agriculture, l'exploitation forestière et l'exploitation directe des ressources par la pêche et la chasse sont unes des premières raisons de la situation actuelle et les causes de la pollution de la planète.
Parmi les éléments polluants, on peut citer les gaz d'échappement des voitures et des camions, les déchets quotidiens (décharge), les fumées des usines et les déchets déversés dans les égouts, les détritus abandonnés dans la nature. Ces sources de pollution peuvent toucher différents milieux : le sol, l'eau, l'air.
Une pollution du sol aux métaux lourds est souvent constatée lorsqu'il y a eu des remblais ou des talus contenant des débris de démolition ou d'autres déchets de construction. La présence de cendres (ou de morceaux goudronneux) peut laisser présager une pollution aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).
Il existe deux sortes de pollutions : les pollutions organiques d'origine naturelle (gaz, substances minérales ou organiques, bactéries, virus, plancton, particules d'argile, déchets végétaux) et les pollutions chimiques ayant comme origine les activités humaines.
La pollution, c'est tout ce qui altère notre environnement ou notre santé, habituellement sous forme de substances, mais aussi sous forme d'ondes. La pollution s'attaque à l'air, à l'eau, au sol, à nos oreilles, à nos yeux… Prenons l'air. En ce moment, on parle beaucoup de la pollution par les gaz à effet de serre.
L'industrialisation, les guerres, les activités minières et l'intensification de l'agriculture ont toutes contribuées à la contamination des sols à travers le monde, tandis que l'urbanisation des villes a contribué à ce que le sol soit utilisé comme une sorte de déchetterie communale.
Le rapport porte sur les dix principales menaces aux fonctions des sols: érosion, perte de carbone organique, perte de nutriments, acidification, pollution, engorgement, tassement, imperméabilisation, salinisation et perte de biodiversité.
La dégradation des sols dans le monde est principalement due aux activités humaines : agriculture intensive, irrigation, déforestation, surpâturage, pollutions industrielles.
Essentiel pour l'environnement, le sol est une ressource fragilisée par les activités humaines. L'agriculture intensive et l'étalement urbain contribuent à son appauvrissement. L'érosion et l'imperméabilité sont les principaux risques en France.
L'agriculture est la première utilisatrice des sols. Aujourd'hui, 12 % des terres émergées dans le monde sont cultivées. Pendant longtemps, les hommes se sont adaptés au sol et aux climats pour cultiver ce dont ils avaient besoin. Les cycles naturels des végétaux étaient respectés, ainsi que la qualité des sols.