C'est lui qui met en place le traitement médical. En cas d'échec il vous adressera à un chirurgien orthopédiste ou un neurochirurgien pour une intervention. Un chirurgien orthopédiste spécialisé dans la chirurgie spinale.
La prise en charge initiale est réalisée par le médecin généraliste, le rhumatologue ou le neurologue. Elle passe par la prescription de traitements médicamenteux de kinésithérapie, voire d'infiltrations de manière à faire taire les symptômes le temps que le corps résorbe la hernie.
L'opération de la hernie discale est proposée seulement lorsque la hernie comprime une racine nerveuse, provoquant une sciatique, et que le traitement médical composé d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires, de décontractants musculaires et d'infiltrations, ne soulage pas la douleur.
Complications post-opératoires retardées :
Des douleurs lombaires chroniques par insuffisance discale qui seront surtout améliorées par de la rééducation. Récidive de la douleur dans le membre inférieur pouvant faire craindre une récidive retardée qui s'observe dans moins de 10% des cas.
Si l'examen confirme la présence d'une hernie inguinale, votre médecin traitant vous adresse à un chirurgien digestif : si la hernie ne cause pas de symptômes ou s'ils sont minimes, le chirurgien peut, dans certains cas, recommander une simple surveillance.
La hernie discale est une affection qui touche la colonne vertébrale. Particulièrement douloureuse, elle se soigne par du repos, des antidouleurs et de la kinésithérapie qui vous permet de retrouver votre mobilité.
Une hernie discale a tendance à régresser toute seule en quelques semaines. Le disque peut reprendre sa place naturellement. Mais une prise en charge est parfois indispensable pour soulager notamment la douleur et l'inconfort de la personne touchée.
Après l'opération, vous restez en position allongée sur le dos au minimum pendant six heures, puis un membre de l'équipe soignante vous aide à vous tourner sur le côté en respectant les positions ci-dessous.
marcher, éviter les terrains accidentés. éviter les mouvements brusques du dos et le port de chaussures à hauts talons de plus de 5 cm. limiter le port de charge à 5 kilos au maximum et porter au plus près du corps. respecter la position allongée sur le dos lors des activités sexuelles.
« Il existe trois indications absolues à l'opération : un déficit moteur sévère, subit ou qui s'aggrave rapidement ; des douleurs intolérables et irradiantes en dépit d'un traitement antalgique et le syndrome de la queue-de-cheval.
Le plus souvent, il n'est pas nécessaire d'opérer. Des médicaments antalgiques, des anti-inflammatoires et des myorelaxants permettent de surmonter la crise douloureuse. On peut aussi y associer de la kinésithérapie et des infiltrations. Avec de tels traitements, la hernie disparaît d'elle-même huit fois sur dix.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
La clinique est classée meilleur établissement de France pour la chirurgie de la colonne vertébrale, une pathologie qui grandit avec l'âge.
Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l'inflammation à l'aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
Professeur Jérôme Allain. Professeur des Universités de Paris, Lauréat de la Faculté de Médecine de PARIS, Médaille d'or du Collège des Chirurgiens Orthopédistes, Président de la Société Française de Chirurgie du Rachis (2020-2021) et de l'Institut du Rachis Parisien (2015-2021).
Cette intervention se fait sous anesthésie générale. Le chirurgien pratique une micro-incision, de moins de 2 cm, dans le dos pour accéder au canal vertébral où siègent les nerfs et, le cas échéant, la hernie. Une fois les nerfs mis à distance de la hernie, cette dernière est ouverte et enlevée délicatement.
Dans 8 % des cas, la hernie discale survient au niveau des vertèbres cervicales (entre la 5e et la 6e, ou entre la 6e et la 7e) et provoque des douleurs dans une épaule et un bras ("névralgie cervico-brachiale").
Quelles sont ses modalités de cette prise en charge ? Lors de la première séance post-opératoire (3 à 4 semaines en post-opératoire pour un patient opéré d'une hernie discale lombaire), le kinésithérapeute procède à un bilan initial.
La voiture comme passager est possible 2 semaines après l'intervention pour de courtes distances. La voiture comme conducteur est possible 6 semaines après l'intervention. La rééducation sera prescrite par votre chirurgien lors de la consultation de contrôle 2 mois après l'intervention.
N'oubliez pas de vous lever ou de vous coucher tel que le kinésithérapeute vous l'a appris : ne vous redressez pas brusquement. Couchez vous sur le coté, sur le rebord du lit, vous vous redressez en vous appuyant sur le coude, puis sur la main. La position est acquise en faisant pivoter les jambes vers le sol.
Choisissez des chaussures avec une semelle à air ou à gel amortissant. Éviter de se pencher en avant : pour récupérer un objet par terre, pliez les genoux et descendez en maintenant votre dos le plus droit possible.
Les hernies discales qui n'induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l'âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l'effort ou le fait de se pencher en avant.
Ensuite on rapporte cette sciatique, cette douleur à un phénomène. Et dans 95% de cas, ce phénomène est une hernie discale. "La hernie discale n'est pas identifiable sur des radiographies. Elle est identifiable sur un scanner, sur une IRM ou alors avec un examen plus ancien : la saccoradiculographie."
Il n'est pas nécessaire de l'opérer! Comparable à une déchirure d'un ligament ou à une blessure, la hernie inguinale guérira d'elle-même après que l'aine a été positionnée correctement. On peut y arriver par un changement alimentaire et l'application d'un bandage herniaire spécial.