Notre énergie et passion commune nous donne ou nous donnent l'envie de réussir ! Dans cette phrase il y a deux sujets coordonnés : l'énergie et la passion. Le verbe est donc naturellement à la troisième personne du pluriel. Notre énergie et notre passion commune nous donnent l'envie de réussir !
Je te les donne, conserve-les bien pour toi! I give them to you -- take care to keep them to yourself.
Ils nous ont donnés avec un s
La règle qui s'applique, c'est que le participe passé donné ne peut s'accorder qu'avec le complément d'objet direct du verbe donner (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'ils ont donné), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
Lorsque le verbe est utilisé avec le pronom relatif qui comme sujet, le verbe s'accorde avec l'antécédent (c'est-à-dire l'élément remplacé) du pronom relatif. Ce sont ces filles qui étaient parties avant la cloche.
Quand le pronom interrogatif qui est attribut du sujet (« Qui sont-ils ? », « Qui étaient ces gens ? »), le pluriel ne choque pas le moins du monde. Il en va autrement quand qui est sujet, comme c'est le cas dans la question, ô combien iconoclaste, qui me sert ici de titre.
Le participe passé placé s'accorde au COD me, masculin singulier → cela m'a marqué.
Lequel est généralement employé après une préposition. Lorsque l'antécédent est une personne, on emploie plus souvent le pronom relatif qui, bien que lequel soit possible dans pareil cas.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
Notre énergie et passion commune nous donne ou nous donnent l'envie de réussir ! Dans cette phrase il y a deux sujets coordonnés : l'énergie et la passion. Le verbe est donc naturellement à la troisième personne du pluriel. Notre énergie et notre passion commune nous donnent l'envie de réussir !
Les adjectifs qui se terminent par -eux au masculin, se terminent en -se au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -er au masculin, se terminent en -ère au féminin. Les adjectifs qui se terminent par -et au masculin, se terminent en -tte au féminin.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Bonsoir, Emilie ! La forme usuelle est : * Donne-le-moi. On peut donc accepter : * Donne-moi-le. Le COI doit en effet avoir ici la forme disjointe : moi.
Accorder quelque chose à quelqu'un. Synonyme : accorder, concéder, consentir, décerner, doter, octroyer, pourvoir de, prêter.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Lequel, laquelle, lesquels, lesquelles sont des pronoms relatifs composés. On utilise ces pronoms généralement après une préposition. Exemples : Je pose mes affaires sur une table.
La réponse simple
On peut écrire : « elle m'a conseillée » ou « elle m'a conseillé » selon la personne à laquelle s'adresse le conseil et selon la construction de la phrase. Exemples : Elle m'a conseillée pour ma lettre de motivation.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit appelé . Si m' désigne une femme, on accorde appelée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin.
Exemple : Elle m'a informée de votre venue. Ici, le pronom m' est le complément d'objet direct du verbe informer. Il représente une personne de sexe féminin. Étant placé avant l'auxiliaire avoir, il impose l'accord au féminin : informée.
L'accord se fait selon le sens ou l'intention au pluriel ou au singulier , mais c'est plutôt le pluriel qui l'emporte. L'un des plus beaux étés que j'ai vécus. Cela signifie : parmi les étés que j'ai vécus, celui-ci est le plus beau. (mais ils sont bien tous vécus).
lorsqu'on désigne une chose ou une personne en particulier. Exemple : Léna est la copine de François. lorsqu'on se réfère à une personne ou une chose déjà identifiée ou bien lorsqu'on opère une généralisation.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.