La fin justifie les moyens. mais qu'est-ce qui justifiera la fin [...] - Albert CAMUS.
"La fin justifie les moyens" : une phrase souvent attribuée au penseur italien Nicolas Machiavel, auteur du livre "Le Prince".
Locution-phrase
Signifie que l'on est prêt à utiliser tous les moyens à sa disposition pour atteindre ses fins indépendamment que les fins ou les moyens soient considérées injustifiables, inacceptables, condamnables ou immorales pour d'autres.
En résumé, pour que la fin justifie les moyens, il faut que la fin soit elle-même juste. Et même dans ce cas, les moyens doivent bien sûr respecter la loi. Si ce n'est pas dans son formalisme à la lettre, c'est au moins dans son esprit c'est-à-dire ce qu'elle vise.
La faim justifie les moyens, mais on a rarement les moyens quand on a faim.
Pour parvenir à un objectif, il faut accepter de s'en donner les moyens. Et ce, même si ces moyens sont avilissants, immoraux ou peu nobles. La fin justifie les moyens.
Locution-phrase
Pour atteindre son but, il faut s'en donner les moyens, et cela même s'ils sont dégradants ou immoraux.
Locution nominale
But ultime se trouvant au sommet de la hiérarchie de tous les objectifs de l'existence. Note : souvent employé par exagération.
Terme, limite extrême dans l'espace et le temps. Interruption. Objectif, ce qu'on se propose d'atteindre. Intention, représentation subjective d'un but.
Caractère de ce qui est inévitable. Evénement malheureux, fâcheux.
La première chose que je dirai est que le mariage est une fin en soi! C'est une bénédiction divine, c'est un cadeau et c'est l'une des meilleures choses dans la vie qu'un homme et une femme puissent faire pendant leur parcours terrestre.
Énonciation brève et frappante d'une règle de conduite, empruntée au droit coutumier ou écrit (par exemple Nul n'est censé ignorer la loi).
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
INDULGENT, ENTE. adj. Qui pratique l'indulgence, qui pardonne aisément les fautes, les défauts. Un maître indulgent.
Le sens actuel de l'expression date du début du XVIIIe siècle. Elle fait référence à la chasse au loup, qui est une pratique dangereuse, et donc qui nécessite une certaine expérience. Ainsi, quand la jeune fille a des relations sexuelles, cela a une connotation dangereuse.
Le commanditaire paye un exécuteur pour effectuer sa commande. Synonymes : client, maître d'ouvrage (en architecture) ; mécénat, parrain, bailleur de fonds, soutien, sponsor (anglicisme).
Cette expression signifiait que, pour qu'une chose soit bien faite, il fallait la réaliser trois fois. Il ne fallait donc pas s'arrêter après la deuxième fois, mais répéter l'action une troisième fois pour que celle-ci soit totalement réussie.
► Quel est le plus célèbre des proverbes connus ? Le proverbe connu le plus célèbre est : « Quand tout va bien on peut compter sur les autres, quand tout va mal on ne peut compter que sur sa famille. » (Proverbe chinois).
Si quelqu'un est en mesure de travailler à des tâches laborieuses et pénibles, il est capable d'exécuter sans difficultés les plus simples. On retrouve cette expression dans l'œuvre d'Aristote. Celui qui accomplit de grandes choses ne rechigne pas devant de menues dépenses.
Le fatalisme (mot formé à partir du latin fatum : le « destin ») est une doctrine selon laquelle le monde dans son ensemble, et l'existence humaine en particulier, suivent une marche inéluctable (fatalité), où le cours des événements échappe à la volonté humaine.
nécessité, détermination. caractère inéluctable d'un évènement.
Adepte du fatalisme. 2. Qui s'abandonne aux événements, qui les accepte avec résignation ; passif, résigné.
Le fatalisme est une doctrine morale et métaphysique qui défend l'idée selon laquelle tous les évènements sont fixés à l'avance. Le fatalisme se distingue du déterminisme, lequel porte sur les évènements de la nature, selon un point de vue scientifique.
Dérivé du latin fatum (« le destin »), le fatalisme est une doctrine qui estime que ni l'intelligence ni la volonté humaine ne peuvent modifier le cours des événements.
La fatalité est liée aux dieux et aux forces divines et surnaturelles. De nombreuses expressions désignent ce fait d'inéluctabilité, comme : « C'était fatal », cela signifie que tel était son sort. La notion de destin s'oppose à celle du libre arbitre.