il est recommandé de consulter un algologue, médecin spécialiste de la douleur.
Les rhumatologues peuvent aussi être consultés en cas d'algodystrophie. "Pour se rendre dans un centre anti-douleur, il faut être adressé par son médecin traitant ou par un service hospitalier.
Si les douleurs sont trop aiguës, ou si beaucoup d'oedème apparaît suite au traitement alors le DLM Vodder reste une meilleure option. La masso-kinésithérapie peut commencer à être utilisée. Les traitements seront TRÈS progressifs.
Malheureusement, pour environ 1 personne sur 5, selon une étude récente, la pathologie évolue vers une phase « séquellaire » avec un handicap définitif.
La scintigraphie osseuse
Toutefois, il faut s'aider du contexte clinique pour affirmer l'algodystrophie en cas d'examen négatif à l'inverse se méfier aussi des diagnostics différentiels comme la fracture de fatigue.
Le membre affecté est froid, la peau devient pâle et lisse, l'œdème régresse. Il peut n'y avoir qu'une phase ou, dans certains cas, les phases peuvent alterner. L'algodystrophie régresse lentement jusqu'à une guérison généralement sans séquelles après 6 à 24 mois. Le syndrome peut revenir après quelques années.
Il se peut que l'algodystrophie se redéclare plus ou moins rapidement. Votre ostéopathe de Champhol Chartres vous accompagne afin d'atténuer les douleurs et de favoriser la circulation des fluides afin d'accélérer la rémission.
Lorsque cette pathologie s'installe dans la durée, elle peut provoquer des troubles du sommeil et de la concentration, de l'anxiété, de l'irritabilité, une grande fatigue et un isolement social, comme en témoigne Siana, 10 ans : « L'algodystrophie me fait passer presque toutes les semaines en béquilles.
Malgré ces aspects qui peuvent paraître inquiétants, l'algodystrophie est une maladie bénigne, avec une durée d'évolution variable, de 6 à 24 mois. On décrit habituellement 3 phases ; une phase chaude, une phase froide puis la guérison.
L'algodystrophie se caractérise par l'association de douleur, oedème, raideurs articulaires, modification de température et d'aspect de la peau, des ongles, des poils. Les signes cliniques se manifestent au-delà de la zone opérée ou traumatisée mais restent latéralisés et limités au seul membre.
L'évolution de l'algodystrophie se caractérise par une phase dite "chaude" : c'est la phase inflammatoire évoluant en quelques semaines et parfois jusqu'à 6 mois. S'ensuit une phase, dite "froide", qui s'étale jusqu'à la guérison de l'algodystrophie après 6 à 24 mois.
Vivre avec une algodystrophie n'est pas aussi facile car les signes évoluent sur plusieurs mois ; le patient doit être strict dans le respect d'une bonne hygiène de vie (alcool, produits toxiques par exemple, repos) ainsi que dans l' éviction des facteurs de risque de la maladie.
La phase de séquelles : elle se caractérise par un enraidissement des articulations des doigts et/ou du poignet (parfois même de l'épaule), avec parfois un aspect « fibreux » ou « cireux » des doigts. Les doigts sont enraidis en flexion. Ces séquelles peuvent être douloureuses.
Les douleurs provoquées par une algodystrophie deviennent très souvent chroniques et peuvent impacter l'état psychologique du patient avec une altération de l'humeur, de l'irritabilité, de l'anxiété, ou encore des troubles du sommeil.
Ca entraîne également des troubles vasculaires, les vaisseaux ne se dilatant et ne se contractant plus normalement. Enfin on voit à la radio un os déminéralisé. Avoir mal par intermittence durant des mois a bien sûr des répercussions sur le moral et les personnes touchées sont souvent déprimées.
En homéopathie, on conseillera des granules de bryonia, arnica et symphitum des laboratoires Boiron. En phytothérapie, la prêle d'Arkopharma (Arkogélule prêle) est conseillée pour son action reminéralisante. Des séances de kinésithérapie douce ou d'osthéothérapie ont de très bons résultats.
Il s'agit d'un ensemble de symptômes atteignant plusieurs articulations du membre supérieur après un traumatisme ou une intervention chirurgicale mais sans réelle relation avec l'acte lui-même. L' algodystrophie peut arriver après : un traumatisme comme une luxation ou une entorse.
L'algodystrophie, encore appelée l'algoneurodystrophie ou le syndrome douloureux local complexe, se définit par l'apparition et l'évolution d'un syndrome douloureux au niveau d'une ou plusieurs zones d'articulation.
Mobilisation précoce. Suite à une fracture, les personnes qui observent une immobilisation de courte durée et entament rapidement une rééducation des membres après une fracture réduisent leurs risques de développer une algodystrophie ou le syndrome régional douloureux complexe.
L'algodystrophie, ou syndrome douloureux régional complexe de type I (SDRC I), est un syndrome douloureux régional d'origine mal déterminée, le plus souvent secondaire à un traumatisme (entorse, fracture, chirurgie). Elle associe des douleurs de type neuropathique à des troubles vasomoteurs et trophiques.
Il existe deux facteurs principaux pouvant déclencher une algodystrophie : un traumatisme (une fracture du poignet, une luxation, une entorse...) ou une intervention chirurgicale (opération du canal carpien, opération de l'hallux valgus, chirurgies orthopédiques...).
Bains écossais
Remplir l'une avec de l'eau chaude (entre 37° et 40°), l'autre avec de l'eau froide, telle qu'elle coule du robinet (entre 12° et 15°). Plonger la main dans l'eau chaude pendant 4 minutes, puis immédiatement après dans l'eau froide pendant 1 minute. Renouveler l'opération 4 fois.
L'algoneurodystrophie se signale par une douleur continue, avec hyperalgésie (sensibilité exagérée à un stimulus douloureux) ou allodynie (sensation douloureuse à un stimulus non douloureux) ; un enraidissement progressif ; des troubles vasomoteurs (hypersudation, œdème, troubles de la coloration cutanée).