Personne qui compose ou chante des psaumes. Exemple : Le roi David est considéré comme le plus important psalmiste de la Bible.
PSALMISTE, subst. masc. A. − Auteur de psaumes.
Asaph, l'auteur du Psaume 73, était chantre, un lévite dont la charge était de présider au service du chant dans le temple de Salomon (1 Chroniques 25. 1). Il a été aussi l'auteur inspiré de 12 psaumes, et la Bible nous rapporte par ailleurs qu'il était également prophète (2 Chroniques 29. 30 ; voir Matthieu 13.
Le psaume 73 (72 selon la numérotation grecque) est attribué à Asaph.
Le psaume 121 a souvent été mis en musique. Il a été mis en motet sous sa version latine par Roland de Lassus, Herbert Howells et Vytautas Miškinis. Felix Mendelssohn a composé le célèbre Hebe deine Auge auf (lève les yeux), qui était originellement un trio pour l'oratorio Elias (op. 70, 1846).
Seigneur, mon ombrage, mon gardien. Comme tu as couvert la Vierge Marie de ton ombre à l'Annonciation, couvre moi de ta grâce Saint Esprit, que je puisse marcher en ta présence, toujours. Que les dangers du jour et de la nuit n'aient aucun pouvoir sur moi.
L'origine de ce nom tient probablement aux circonstances dans lesquelles ces psaumes étaient chantés : quand le peuple montait à Jérusalem pour assister aux festivals de pèlerinage, ou quand les prêtres (les kohanim) montaient les quinze degrés du temple de Jérusalem, pour effectuer leur ministère.
D'après 1 Chroniques 9.16 ; 1 Chroniques 16.38 ; 1 Chroniques 16.41 et suivant 1 Chroniques 25.1 ; 1 Chroniques 25.3 ; 1 Chroniques 25.6 ; 2 Chroniques 5.12, etc., Lévite, un des principaux chantres du temple, et voyant du roi (2 Chroniques 35.15) sous David ; on devrait alors l'identifier avec Éthan (1 Chroniques 6.44 ...
Les enfants de Coré sont : Assir, Elqana et Abiasaph (dont un descendant est le prophète Samuel).
Utilisation religieuse
Une longue tradition attribue ce psaume au Roi David qui a été selon les Écrits Hébraïques lui-même berger dans sa jeunesse.
Psaume de David.] Mon Dieu ! mon Dieu !
Ce psaume fut choisi par saint Benoît vers 530, en tant que troisième psaume lors de l'office solennel aux laudes du dimanche (règle de saint Benoît, chapitre XI).
De ce fait, la parabole montre un prêtre et un lévite légalement irréprochables : ils ont respecté la loi à la lettre. Par contraste, le samaritain n'est pas tenu par cette loi, mais a été « saisi de compassion » par la scène.
Il y a en effet 11 psaumes entre 42 et 49 puis entre 54 et 88 qui sont dits « des fils de Qoré ». Bien des commentaires disent que c'est juste que Qoré et ses descendants faisant partie de la tribu de Lévy étaient attachés au service du temple et donc pourquoi pas des chantres.
++ Psaume 121 "Je lève les yeux vers les montagnes, d'où me viendra le secours ?"
1 Celui qui demeure sous l'abri du Très-Haut Repose à l'ombre du Tout-Puissant. 2 Je dis à l'Éternel : Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! 3 Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages.
Parmi les Lévites, les plus notoires sont Moïse, fils d'Amram et Yokébed. On distingue parmi eux les descendants d'Aaron, frère de Moïse, les cohanim (cohen) c'est-à-dire sacrificateurs, chargés de présenter les offrandes (sacrifices d'animaux et offrandes d'encens parfumés) au Temple.
Membre de la tribu sacerdotale de Lévi voué au service du temple pour remplir des offices annexes au culte, sans avoir accès à l'autel.
Les termes hébreux pour le désigner sont mishkan (משכן), c'est-à-dire la Demeure, ou Tente d'Assignation (de Rencontre) (אוהל מועד).
Chant liturgique de la religion d'Israël passé dans le culte chrétien et constitué d'une suite variable de versets.
Psaume 121 (122)
Comme je l'ai déjà évoqué, le corps du Psaume 57 s'ouvre sur une double prière : « Aie pitié de moi, Élohim, aie pitié de moi » (v. 2a). La structure de la prière - la répétition et la mise au centre de l'invocation (22) - rend l'urgence visible tant au niveau poétique qu'au niveau audible.
Cette dernière parole est la toute dernière parole de Jésus avant de mourir, du moins dans l'évangile de Matthieu. Il ne faut pas minimiser ce cri de douleur. En plus de la souffrance physique, il dit la détresse de se sentir seul, comme abandonné au moment ultime. Peut-être nous sentons-nous troublés.
Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal, * car tu es avec moi : ton bâton me guide et me rassure. Tu prépares la table pour moi devant mes ennemis ; * tu répands le parfum sur ma tête, ma coupe est débordante.