John Graham, surnommé "Johnny le menteur" a gagné le concours annuel d'histoires mensongères, qui se tient dans une auberge de Santon Bridge, au coeur du Lake District, une région touristique du nord-ouest de l'Angleterre.
Eriberto : Son vrai nom est Luciano Orquera mais permettez-nous d'en douter. «Eriberto», ancien footballeur du Chievo Vérone brésilien, s'est fait pincer en 2002 pour avoir joué pendant six ans sous le faux nom Da Conceicao Silva Eriberto !
John Graham, surnommé "Johnny le menteur" a gagné le concours annuel d'histoires mensongères, qui se tient dans une auberge de Santon Bridge, au coeur du Lake District, une région touristique du nord-ouest de l'Angleterre.
Contrairement à l'escroc, au menteur dit « normal » qui trompe son interlocuteur consciemment, la personne atteinte de mythomanie croit à ses propres mensonges. Elle se convainc de la réalité qu'elle se crée, car autrement son monde s'effondre.
Par conséquent, si ce qu'il dit est vrai, c'est un menteur, et donc ce qu'il dit est faux. Si au contraire sa phrase est fausse, alors il ment, et la phrase dit bien la vérité! Le paradoxe du menteur remet en cause l'idée qui voudrait que toute phrase doive être soit vraie, soit fausse.
Écoutez comment ils se désignent eux-mêmes : Pour reconnaître un menteur, il faut aussi regarder comment il se désigne lui-même. En fait, un menteur évitera souvent d'utiliser des mots comme "je" ou "moi", ou tout autre mot faisant référence à lui-même. C'est ainsi qu'ils se distancieront mentalement d'un mensonge.
La mythomanie est une tendance pathologique au mensonge, qui relève de la psychiatrie.
Les indicateurs fiables d'un mensonge
Lorsque le menteur s'exprime, son discours contient généralement plus d'hésitations, moins de mots, moins de détails contextuels, plus d'omissions. Ses réponses sont plus évasives, moins plausibles, moins structurées et manquent parfois de cohérences.
Il croit en ses mensonges
Le mythomane adhère tellement de manière plus ou moins consciente à ses fabulations que la frontière entre réalité et mensonge devient flou.
En psychologie sociale, on considère ainsi qu'il existe cinq motivations au mensonge : valoriser notre image, éviter les conflits, ne pas peiner notre interlocuteur, persuader quelqu'un afin d'en tirer un avantage, et enfin dissimuler ou justifier un manquement...
Écoutez comment ils se désignent eux-mêmes : Pour reconnaître un menteur, il faut aussi regarder comment il se désigne lui-même. En fait, un menteur évitera souvent d'utiliser des mots comme "je" ou "moi", ou tout autre mot faisant référence à lui-même. C'est ainsi qu'ils se distancieront mentalement d'un mensonge.
Les indicateurs fiables d'un mensonge
Lorsque le menteur s'exprime, son discours contient généralement plus d'hésitations, moins de mots, moins de détails contextuels, plus d'omissions. Ses réponses sont plus évasives, moins plausibles, moins structurées et manquent parfois de cohérences.
Il croit en ses mensonges
Le mythomane adhère tellement de manière plus ou moins consciente à ses fabulations que la frontière entre réalité et mensonge devient flou.
- Soyez calme, confiant, en contrôle, regardez-le reculer sur sa chaise, s'agiter, se gratter la tête, agiter les pieds ou les mains, autant de signes qui montrent son inconfort et sa faiblesse. A la fin de l'entretien, proposez-lui une explication qui lui permette d'accepter le mensonge sans perdre la face.
Par conséquent, si ce qu'il dit est vrai, c'est un menteur, et donc ce qu'il dit est faux. Si au contraire sa phrase est fausse, alors il ment, et la phrase dit bien la vérité! Le paradoxe du menteur remet en cause l'idée qui voudrait que toute phrase doive être soit vraie, soit fausse.
S'ils sentent que quelqu'un se referme sur leurs mensonges et soulève des questions, les menteurs ont tendance à se mettre en colère et à se mettre sur la défensive.
Par ailleurs, le menteur peut avoir un regard fixe, il vous observe alors droit dans les yeux dans la volonté de paraître sincère, ou au contraire il peut avoir un regard fuyant pour se détourner de votre jugement.
La fameuse réponse à cette question. Roulements de tambours : NON ! Si vous avez en face de vous un manipulateur, un vrai de vrai, il ne changera pas. Il ne « possède pas » le module de la remise en question et donc du changement.
La mythomanie est une tendance pathologique au mensonge, décrite pour la première fois par le psychiatre allemand Anton Delbrück en 1891. Relevant d'un trouble du comportement, elle peut être difficile à appréhender pour l'entourage de ceux qui en souffrent.
Mentir, c'est cacher sciemment la vérité que l'on connaît et que l'on pourrait dire : le mensonge met donc en cause l'idée même de vérité, et le comble du mensonge est de dire qu'il n'y a pas de vérité, qu'on ne peut pas la chercher ensemble, qu'il n'y a rien à chercher ou rien à contester, et cela, par un calcul même ...
« Quand quelqu'un est un mythomane, c'est ce qu'on appelle un menteur pathologique, donc c'est quelqu'un qui ment au-delà de l'entendement habituel. [...] Les mensonges sont répétitifs, c'est presque compulsif.
Le pire mensonge est de se mentir à soi-même. Chacun de nous est une lune, avec une face cachée que personne ne voit. Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures. Parfois, le mensonge explique mieux que la vérité ce qui se passe dans l'âme.
Inutile de tourner autour du pot. Dites-lui simplement que vous savez qu'il n'a pas été sincère et que cela vous inquiète. Gardez un ton calme et maintenez le contact visuel. Au lieu de l'appeler menteur, pensez à utiliser des exemples spécifiques de comportements mensongers que vous avez jugés inacceptables.