Le Hamas est principalement actif à Gaza. Créé en 1987 par Sheikh Ahmed Yassin, Abdel Aziz al-Rantissi et Mohammed Taha, tous trois issus des
Le Hamas aujourd'hui dirigé par Khaled Mechaal, depuis son exil à Damas, se refuse toujours à reconnaître l'existence de l'État d'Israël, ainsi que les accords d'Oslo de 1993.
Mais comment le Hamas, enclavé à Gaza et soumis à un blocus israélien, trouve-t-il tout l'équipement nécessaire ? En fait, trois pays lui fournissent du matériel et des armes : la Libye, la Syrie et l'Iran.
Les objectifs du Hamas sont de détruire Israël, de ne pas aider la population de Gaza. Cette organisation terroriste islamiste ne se soucie pas du nombre de vies palestiniennes qu'il doit sacrifier pour atteindre cet objectif.
La bande de Gaza et la Cisjordanie constituent les territoires revendiqués par l'Autorité palestinienne pour l'établissement d'un État palestinien.
"Une attaque préventive" d'Israël contre le Jihad islamique
L'armée israélienne a présenté son opération comme une "attaque préventive" contre le Jihad islamique, la justifiant par leurs craintes de représailles du Jihad islamique après l'arrestation de Bassem al-Saadi.
Des motivations religieuses sont à l'origine d'affrontements autour du Kotel ou Mur des Lamentations à Jérusalem en 1929 et amènent à l'aggravation brutale de la situation avec de violentes émeutes antijuives à Hébron, Jérusalem et Safed, qui font près de 150 victimes juives.
Cependant depuis le début des années 1990 le Hamas est largement financé par l'Iran.
Les membres sympathisants du Fatah se trouvant à Gaza sont arrêtés et emprisonnées par le Hamas, tandis qu'en Cisjordanie, le Fatah traque, arrête et emprisonne les membres du Hamas. À Gaza, le gouvernement de facto du Hamas a créé le délit de « coopération avec Ramallah et l'Autorité palestinienne ».
L'Iran soutient le Hezbollah en moyens financiers et en armes, il est son principal donateur et selon certaines sources influence ses décisions.
Les États-Unis sont le plus grand fournisseur d'armement à Israël. Selon l'U.S. Congressional Research Service, entre 1998 et 2005, les États-Unis ont fourni la quasi-totalité de l'approvisionnement de l'État juif pour des contrats portant sur plus de 9,5 milliards de dollars.
Premier fournisseur : les États-Unis dont l'incommensurable aide militaire est inscrite dans des accords solides. Suit l'Union européenne qui reste une source d'approvisionnement secondaire – avec la France en numéro un et la Belgique en quatrième place – mais dont la signification politique ne peut être éludée.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
En raison, de la surpopulation et du manque de moyens quant aux infrastructures notamment, les territoires palestiniens ne sont pas auto-suffisants. Ils n'ont donc aucune indépendance car en plus de leur déficit de production économique, leur approvisionnement est sous contrôle Israéliens.
Les frontières officiellement revendiquées par le gouvernement de l'État de Palestine sont celles de la Cisjordanie, gouvernée partiellement depuis 1994 par l'Autorité palestinienne, et de la bande de Gaza, sous contrôle du Hamas depuis 2007.
Septembre noir (arabe : أيلول الأسود) est le nom qu'un groupe terroriste palestinien fondé en 1970. Il s'est donné ce nom à la suite des événements sanglants de septembre 1970 en Jordanie, appelé Septembre noir.
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
La France a reconnu l'Etat d'Israël le 20 mai 1949 mais ne reconnait pas à ce jour l'Etat de Palestine. Pourtant, le 2 décembre 2014, l'Assemblée Nationale a adopté une résolution demandant au Gouvernement français de reconnaitre l'Etat de Palestine par 339 voix contre 151.
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
L'histoire des Arabes en Palestine débute avec les premiers pèlerinages Ghassanides en Terre sainte, durant la période byzantine. À la suite de la conquête musulmane, des Arabes s'installent en Palestine.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.