C'est l'entrepreneur John Elkington qui en 1995 explique qu'une entreprise devait considérer les “trois P” (“personnes, planète, profit”) comme aussi importants les uns que les autres pour assurer la réussite de l'entreprise sur le long terme.
Le terme ESG a été inventé en 2004 par l'ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan , et a abouti en 2005 à la première étude, "Who cares Wins", élaborée conjointement avec les plus grands investisseurs institutionnels et banques du monde.
Une façon de différencier la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et la gouvernance sociale et environnementale (ESG) est de considérer la RSE comme qualitative et déterminée par des considérations et des engagements internes à l'entreprise, et la GSE comme quantitative et déterminée par des exigences externes ...
Ce sigle désigne les critères Environnementaux, Sociaux et de bonne Gouvernance qui sont utilisés pour analyser et évaluer la prise en compte du développement durable et des enjeux de long terme dans la stratégie des entreprises.
Plusieurs organismes tiers, notamment S&P Global, MSCI et Refinity, ont mis au point leurs propres cadres et méthodes ESG en vue de mesurer la performance ESG de manière comparable. Le tableau ci-dessous présente un cadre d'évaluation qui peut aider à mesurer et à noter la performance ESG des entreprises.
L'acronyme ESG signifie Environnement, Social et Gouvernance et se rapporte aux trois principaux facteurs permettant d'évaluer le caractère durable d'un investissement. Il tire son origine du concept de « triple performance » également appelé « triple P », pour « Personnes, Planète, Profit » créé dans les années 1990.
Quand on parle de risque ESG, on fait référence aux risques auxquels sont exposées les entreprises qui ne respectent pas les critères ESG. Choisir d'investir dans ces entreprises représente pour les investisseurs un risque supplémentaire. C'est donc un risque pour l'entreprise mais aussi un risque pour l'investisseur.
Reconnue par l'Etat, l'ESG Finance prépare ses étudiants à l'obtention de diplômes d'Etat (BTS, DCG et licences professionnelles) et de titres de niveau 7 reconnu par l'Etat et inscrits au RNCP. Avec une volonté toujours plus accrue de favoriser l'employabilité de ses étudiant.
Une entreprise intégrant les critères ESG au cœur de son activité à moins de chance de connaître des dysfonctionnements liés à des problèmes environnementaux, sociaux et de gouvernance, ce qui en fait un investissement à risque plus faible pour les investisseurs.
Accéder à l'école
Depuis la rentrée 2022, l'ESG Finance est implantée à la Défense (70-73-75 Galerie des Damiers 92400 Courbevoie La Défense 1).
Les critères ESG ont de plus en plus d'importance dans la prise de décision des entreprises. Ces critères évaluent comment les organisations abordent les thèmes environnementaux, sociaux et de gouvernance, et à long terme, ils peuvent avoir un impact considérable sur les résultats financiers d'une entreprise.
Les critères dits “ESG” sont un ensemble de critères non financiers permettant d'analyser la dimension socialement responsable d'une entreprise. Ils forment l'approche la plus couramment utilisée par les sociétés de gestion d'actifs lorsqu'il s'agit de mettre en place une gestion socialement responsable (ISR).
Un master est un diplôme de deuxième cycle universitaire, il délivre un niveau bac+5 et valide 300 crédits ECTS. Un master d'ingénieur peut être l'équivalent des deux dernières années du diplôme d'ingénieur qui lui aussi relève du bac+5.
Pour arriver fin prêt le jour du concours, entraînez-vous depuis votre smartphone. L'appli Bachelor ESG est disponible sur l'Appstore et sur Google Play pour Android. Vous y trouverez infos et conseils sur l'ensemble des épreuves, et des quiz d'entraînement pour les épreuves d'anglais et de culture générale.
Cette année, le classement ressemble à celui des années précédentes, et on retrouve une bonne partie des entreprises habituées au podium de la réputation RSE. Dans le top 3, on retrouve les mêmes entreprises que les années précédentes : Lego, Disney et Rolex.
Principalement destinée aux grandes entreprises, la RSE est définie selon la norme ISO 26 000, un consensus international de responsabilité sociétale. Depuis la loi « NRE » de 2001 sur les nouvelles régulations économiques et la loi « Grenelle II » de 2010, la Responsabilité Sociétale des Entreprises a fait du chemin.
Le concept de RSE apparaît pour la première fois (1953)
Howard Bowen utilise cette notion dans l'ouvrage The Social Responsabilities of the Businessman. Cet économiste américain est également pasteur.
La RSE toujours confrontée à des freins
Les directions RSE sont également confrontées à un manque de ressources humaines, freinant leurs actions. Autre problématique : le besoin de méthodes ou d'outils pour évaluer l'impact ou le ROI des actions RSE. L'engagement des salariés est quant à lui un élément qui divise.
Pas d'obligation RSE stricto sensu pour les PME et TPE
L'obligation de reporting concerne uniquement : les entreprises cotées en bourse (loi NRE de 2001) les entreprises au chiffre d'affaires supérieur à 100 millions d'euros ou de plus de 500 employés (Grenelle II de 2010)