L'armistice général intervient le 15 février 1871 . L'ordre est alors donné à la place fortifiée de Belfort de se rendre, ce qu'elle fait le 18 février , l'ennemi lui rendant les honneurs de la guerre. Le traité de paix, signé le 10 mai 1871 à Francfort-sur-le-Main, entérine définitivement la victoire allemande.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis. Fin de l'empire colonial italien et accélération de la décolonisation dans les empires britannique et français.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Figure phare de la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin est le plus jeune préfet de France en 1937. Il s'opposa à l'occupant allemand dès 1940 et créa, sous l'égide du général de Gaulle, le Conseil National de la Résistance.
Quand la défaite tourne à la débâcle, Pétain demande l'armistice tandis qu'un général inconnu allume la flamme de l'espoir. C'est un coup de dés comme l'Histoire n'en a jamais connu en France.
Le 24 octobre 1940, la poignée de main échangée entre Hitler et Pétain sur le quai de la gare de Montoire scelle l'entrée de la France dans la Collaboration. Après la guerre, les uns ont prétendu que cette politique avait été imposée à la France par l'Allemagne nazie.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Le général von Choltitz, dernier gouverneur militaire du Paris occupé, reçut des ordres sans nuance, dont celui du 22 août : "Paris est à transformer en un monceau de ruines.
La Russie a alors sauvé Paris et la France de la défaite. Depuis 1905, la stratégie allemande reposait sur le plan Schlieffen, qui visait à écraser la France en quarante jours, par une attaque massive.
Alors, pourquoi la défaite allemande ? Parce que le pays ne tient plus : plus assez de fer pour les obus, plus assez de pain pour nourrir la population, plus assez d'hommes pour remplacer ceux qui sont tombés, de main-d'œuvre, d'argent… l'Allemagne est au bout du rouleau.
Ses dirigeants (les membres du Conseil de sécurité) sont les grands vainqueurs de la guerre : les États-Unis, le Royaume-Uni, l'URSS (aujourd'hui la Russie), la France et la Chine (à l'époque Chine nationaliste).
Victoire des forces alliées sur l'Allemagne nazie et fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, le 8 mai 1945 marque une date importante.
Les trois principaux partenaires de l'Alliance de l'Axe sont l'Allemagne, l'Italie et le Japon. Ces trois pays reconnaissent la domination de l'Allemagne et de l'Italie en Europe continentale, et celle du Japon à l'est de l'Asie.
Craignant un débarquement dans le Sud de la France, alors encore libre, ainsi que le ralliement de la flotte de cette dernière aux Alliés (ce qui arrivera quand même, à l'exception – majeure – des bâtiments sabordés), Hitler décide, le 11, d'envahir et d'occuper la zone libre.
C'est donc une question politiquement chargée, aujourd'hui encore.” L'événement déclencheur de la Grande guerre est connu de tous les écoliers : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand, héritier du trône d'Autriche-Hongrie à Sarajevo le 28 juin 1914 par des nationalistes serbes.
Ces nouvelles études ont permis de revoir le rôle qu'a réellement joué le général Dietrich von Choltitz vis-à-vis de la volonté hitlérienne de détruire Paris.
«Je suis convaincu qu'aucun autre général n'aurait voulu agir autrement, qu'aucun n'aurait vraiment approuvé la destruction de Paris». Après la guerre, le général Dietrich von Choltitz, dernier commandant militaire dans le Paris occupé, raconte dans Le Figaro pourquoi il n'a pas détruit Paris et a désobéi.
"Choltitz aurait bien exécuté l'ordre, mais son propre état-major ne lui en donne pas les moyens. On lui refuse la dynamite dont il a besoin et on lui interdit l'accès aux avions du Bourget pour faire bombarder Paris.
Les historiens sont toutefois unanimes : l'Allemagne nazie a été vaincue par l'Armée rouge. Jacques Pauwels, historien et auteur d'un ouvrage sur la question, revient sur cette période et explique quand et comment la guerre a basculé vers la défaite inéluctable de l'Allemagne nazie.
Le régime de Vichy est un régime politique mis en place en France au lendemain de la défaite face à l'Allemagne de 1940. Mené par Philippe Pétain, ce régime de collaboration avec le Troisième Reich prend fin avec la victoire des Alliés.
La France est activement impliquée dans des relations de défense très étroites avec ses alliés les plus proches que sont, en Europe, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ainsi que les États-Unis.
Les réticences de Paris s'expliquent d'abord par un aspect logistique : le petit nombre des blindés. Si l'armée de terre possédait environ 400 Leclerc au début des années 2000, des coupes budgétaires successives ont entraîné une réduction du parc.
Bataille d'Azincourt : l'une des plus grandes défaites françaises en 5 chiffres.
Après l'Anschluss et le démembrement de la Tchécoslovaquie, la Pologne constitue la cible suivante d'Hitler dans sa volonté de réviser le traité de Versailles (supprimer le couloir de Dantzig et rattacher la Prusse orientale) et de construire une "Grande allemagne" (agrandie vers l'Est).