On les croyait créés par les grands mathématiciens arabes, en réalité les chiffres sont d'origine indienne. C'est en effet l'Extrême-Orient qui invente l'écriture décimale positionnelle au IIIe siècle avant J. -C.
Le système décimal, fondé sur les chiffres 0 à 9, est bien né en Inde. Il a été introduit à Bagdad, au début du IXe siècle, par le mathématicien Al-Khwarezmi. Ce savant ouzbek en a fait la promotion dans un ouvrage de vulgarisation intitulé Le Livre du calcul indien.
Pour effectuer des opérations sur les nombres, on a inventé des systèmes de numération qui permettent de les écrire rapidement, en chiffres. L'usage des chiffres pour l'écriture des nombres est lié à la pratique du calcul.
C'est dans le quatrième millénaire avant J. -C., que les Sumériens, utilisateurs de la plus ancienne écriture connue (pictographique puis cunéiforme), ont développé les premiers symboles représentant des chiffres et des nombres.
Un nombre premier est donc un nombre dont ses seuls diviseurs sont 1 et lui-même. Citons quelques nombres premiers : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, … et quelques plus grands : 22 091, 9 576 890 767 ou encore ce géant : 95 647 806 479 275 528 135 733 781 266 203 904 794 419 563 064 407.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
Un nombre égal à la somme de ses diviseurs propres est parfait. Un diviseur propre est un diviseur autre que le nombre lui-même. Le premier nombre parfait est 6. En effet 1, 2 et 3 sont les diviseurs propres de 6 et 1+2+3=6.
Les nombres sont apparus il y a très longtemps, aux environs de 30 000 av J. -C., durant les premières civilisations du Paléolithique. L'homme avant était incapable de compter : il était tout au plus capable de concevoir l'unité et la multitude.
À partir du IXe siècle, la civilisation islamique a emprunté à l'Inde de nouveaux signes pour écrire les chiffres de 0 à 9. Le mathématicien al-Khwarizmi est le premier à les décrire.
Dans le langage courant, les chiffres arabes désignent les 10 chiffres {1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 0} selon leur écriture occidentale, et le système décimal qui les accompagne. On les retrouve absolument partout, et notamment sur les cadrans de montres.
En tant que nombre, zéro est un objet mathématique permettant d'exprimer une absence comme une quantité nulle : c'est le nombre d'éléments de l'ensemble vide. Il est le plus petit des entiers positifs ou nuls.
Le plus petit nombre entier n'existe pas. En effet, les nombres entiers sont les nombres entiers relatifs, qui incluent les nombres entiers négatifs, jusqu'à la limite de l'infini négatif. En revanche, le plus petit des nombres entiers naturels est 0, et le plus petit nombre entier naturel non nul est 1.
Le zéro devient "un nombre nul" à partir du Ve siècle
Ce sont les mathématiciens et philosophes Indiens qui, au Ve siècle de notre ère, font évoluer le sens mathématique du zéro vers le sens moderne, celui que nous reconnaissons aujourd'hui en tant que nombre "entier", pouvant être additionné et multiplié.
En résumé, l'imagination mathématique de l'Homme n'a qu'une seule limite : l'infini.
1 est le seul nombre parfait d'ordre 1 (voir nombre parfait multiple). 1 est égal à la somme de ses chiffres dans tout système de numération de base différente, c'est un nombre Harshad complet. 1 est un nombre méandrique, un nombre semi-méandrique et un nombre méandrique ouvert.
Le score de la France en mathématiques pour les élèves de CM1 est de 485, en avant dernière position du classement, alors que la moyenne internationale est de 527. Le premier pays du classement, la Corée du Sud, récolte 600 points.
C'est dans la vallée du Nil que nous devons chercher les preuves de l'influence précoce des Égyptiens sur les mathématiques grecques. En ce qui concerne la géométrie, les égyptologues sont unanimes : les prêtres-mathématiciens de la vallée du Nil étaient les premiers.
I, V, X, L, C, D et M sont les principaux chiffres romains. Toute unité placée à droite est ajoutée : VI = V + I (c'est-à-dire 6). Toute unité placée à gauche est soustraite : IV = V - I (c'est-à-dire 4).
C'était le 18 octobre 1996 à 23 heures. La France entière changeait de numéros de téléphone, selon un nouveau plan instauré par France Télécom. Depuis, la numérotation en 10 chiffres permet de localiser géographiquement la personne qui vous appelle. Trop de demandes d'ouverture de lignes.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Propriétés. Le nombre 2 possède beaucoup de propriétés en mathématiques. 2 est le plus petit nombre premier ; c'est le seul pair. Malgré sa primalité, deux est aussi un nombre hautement composé, car il possède plus de diviseurs que 1.
Il a été sans doute découvert par des mathématiciens grecs de la haute Antiquité. Euclide (vers 300 av. J. -C.)
Le chiffre 7 est parfois considéré comme un « chiffre magique » ou sacré.
Dans le livre de Douglas Adams Le Guide du voyageur galactique, il est écrit que le nombre 42 est la réponse à « la grande question sur la vie, l'univers et le reste« , calculé par un ordinateur pendant des millions d'années.