La désinhibition, qu'est-ce que c'est ? Opposée de l'inhibition qui signifie contrôler la façon dont vous réagissez à ce qui se passe autour de vous, la désinhibition consiste à dire ou à faire quelque chose sur un coup de tête, sans penser à l'avance à ce que pourrait être le résultat indésirable ou même dangereux.
La personne désinhibée fait preuve d'un comportement démonstratif ou euphorique. Elle a des difficultés à contrôler son discours ou à l'adapter à son environnement. Elle dit tout haut ce qui se pense habituellement tout bas, se montre familière envers des personnes étrangères, parle fort, etc.
Certaines activités comme le yoga, le théâtre ou la psychologie positive peuvent aider la personne à se libérer de son mal-être.
La désinhibition est un symptôme de nombreuses maladies neurodégénératives, en particulier celles touchant les régions frontales du cerveau comme les dégénérescences fronto-temporales (DFT). Ces dernières sont la deuxième cause de démence la plus fréquente après la maladie d'Alzheimer.
Les troubles du comportement se manifestent par une action ou une réaction, qui ne correspond pas à l'attitude qu'il conviendrait d'avoir. Ils peuvent s'exprimer de différentes manières (par excès ou par défaut) et concerner différentes sphères : alimentaire, humeur, sexe…
Les symptômes sont notamment les suivants : idées délirantes récurrentes, hallucinations, pensée désorganisée, comportement très désorganisé ou agitation extrême.
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences. Elle est source de difficulté de prise en charge et d'augmentation du fardeau de l'aidant.
Pour être qualifié de trouble du comportement, la personne qui en est sujette doit être en souffrance (parce qu'elle est stigmatisée, parce que son attitude lui fait peur, etc.). Ce comportement est répétitif, il dérange, et a des conséquences sur la personnalité de l'individu en question.
L'apathie peut être la conséquence d'un traumatisme, de troubles psychologiques, et de lésions neurologiques ou cérébrales.
moteurs aberrants
Activités répétitives et stéréotypées, sans but apparent ou dans un but inapproprié : déambulations, gestes incessants, attitudes d'agrippement, etc.
N°3 – Le bon moment, faire des câlins
À l'instar du sexe, n'importe quel câlin, pression rassurante de la main ou caresse permet de produire des neurotransmetteurs à l'effet positif. Émotionnellement et physiquement, par exemple, le contact avec un animal domestique peut s'avérer rassurant et réduire le stress.
En effet, l'alcool a des effets désinhibiteurs. Autrement dit, on ne voit plus les choses de la même façon, on oublie certaines règles de la vie en société, on se comporte différemment, un peu comme si on n'était plus soi-même.
L'inhibition est définie comme une restriction ou une interruption de l'activité d'un organe par stimulation d'une partie éloignée par voie nerveuse ou hormonale. L'autre définition étant un état caractérisé par un ralentissement ou une diminution d'une activité physique ou psychique.
∎ L'apathie et l'état dépressif comprennent des symptômes similaires : diminution ou perte d'intérêt, ralentissement psychomoteur apparent, asthénie, apparente diminution des capacités introspectives, sentiment de manque d'énergie.
difficulté à comprendre les autres. changement d'humeur et de comportement. perte de coordination motrice. désorientation dans le temps et l'espace.
Appelé banalement "double personnalité", le trouble dissociatif de l'identité n'a pourtant rien de banal. Vulgarisé à travers la littérature et le cinéma, ce mécanisme de protection reste rare et mal diagnostiqué. Lorsque l'on pense dédoublement de personnalité, on se plaît à imaginer Docteur Jekyll et Mister Hyde.
LES TROUBLES DE LA PERSONNALITÉ : QU'EST-CE QUE C'EST ? Les troubles de la personnalité sont caractérisés par des schémas omniprésents et persistants de pensées, de perception, de réaction et de relations entrainant une souffrance pour la personne et/ou nuisent considérablement à sa capacité à fonctionner.
Les principaux comportements fondamentaux sont les comportements alimentaire, sexuel, maternel, social, d'agression, de défense ou fuite et d'inhibition de l'action lorsque la lutte ou la fuite est impossible.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs « tachy », qui signifie rapide et « psyche » qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie, mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
L'agnosie se caractérise par une incapacité à identifier un objet en utilisant au moins l'un de ses 5 sens. Le diagnostic est clinique, souvent complété par des examens complémentaires neuropsychologiques, associés à l'imagerie cérébrale (p. ex., TDM, IRM) pour déterminer la cause.
Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Une maladie méconnue
Mais cette douleur est souvent assimilée à un besoin d'attention, un manque de confiance en soi. Les personnes présentant des troubles somatoformes sont nombreuses à avoir un jour entendu cette phrase cash de la part de médecins surchargés ou simplement démunis.
Quels que soient les symptômes exprimés, les schizophrènes ont beaucoup de mal à effectuer les tâches de la vie quotidienne. Leur pensée n'est pas claire, leurs rapports avec les autres deviennent difficiles, ils ont des difficultés à contrôler leurs émotions et à prendre des décisions.