Qu'est-ce qu'il y a ou Qu'y-a-t-il ?

Interrogée par: Marianne du Dijoux  |  Dernière mise à jour: 26. Oktober 2022
Notation: 4.2 sur 5 (37 évaluations)

Règle 1 : on ajoute un « t » euphonique dans les formules interrogatives pour faciliter la prononciation et éviter que deux voyelles se suivent. On écrira donc « a-t-il ». Toutefois, si le verbe conjugué se finit par un « t », alors il n'est pas nécessaire d'ajouter un « t » euphonique.

Est-ce qu'il y a où Y-a-t'il ?

« Y a-t-il » est la bonne formule

On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.

Qui y A-t-il ou Qu'y-a-t-il ?

Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.

Comment écrire Qu'y-a-t-il ?

Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».

Qui y A-t-il définition ?

Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ?

KESKILYA

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A-t-il A-t-il ?

Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».

Pourquoi on dit il y a ?

Locution qui signifie qu'il existe quelque chose ou quelqu'un dans une situation donnée. Exemple : Il y a deux chaises à la cuisine. Locution qui introduit une notion de temps passé.

Qui qu'il qu'y ?

QUI ou QU'Y ? Dans QU'Y vous avez QU' pronom interrogatif 'que' élidé devant le Y. QUI, pronom interrogatif ne s'emploie que pour les animaux et les personnes.

Quel est Qu'est-ce que ?

Qu'est-ce que est la tournure servant à introduire une question posée directement. La phrase se termine alors par un point d'interrogation.

Est-ce-t-il ?

Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.

Qui il Y-A T-IL ?

Réponses. Bonsoir. *Qu'il y a-t-il est une tournure du langage populaire parlé, incorrecte du point de vue de la syntaxe, même si elle se rencontre fréquemmentdans la presse et sur le Net. C'est tout aussi incorrect que si l'on disait, par exemple, *qu'il faut-il au lieu de que faut-il.

Qu'est-ce qu'il m'arrive ou Qu'est-ce qui m'arrive ?

Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.

A-t-il dit ?

Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».

A-t-il Y ?

Ainsi, dans la formule interrogative « y a-t-il », on n'ajoutera pas de trait d'union entre « y » et « a » mais seulement entre « a » et « il » afin d'encadrer le « t » euphonique. On écrira donc toujours « y a-t-il » et non « y a t-il » ou « y-a-t-il ».

Est-il où est T-IL ?

On ajoute un « t » dans les formules interrogatives pour faciliter la prononciation et éviter que deux voyelles se suivent. on écrira donc « est-il». si le verbe conjugué se finit par un « t », alors il n'est pas nécessaire d'ajouter un « t » .

Qu'est-ce que c'est qui ?

Pronom interrogatif. Pronom interrogatif du sujet inanimé. Qu'est-ce qui fait courir ces gens ? Qu'est-ce qui se passe ?

Qu'est-ce que ça veut dire en arabe ?

exp. ما المقصود بذلك؟

Est-ce que ou Qu'est-ce que ?

Avec est-ce que, on pose des questions fermées. Exemple : Est-ce que vous prenez du vin ? => La réponse est « oui » ou « non ». Avec qu'est-ce que, on pose des questions ouvertes.

Est-ce que Où es ce que ?

Quand écrit-on « est-ce que » ? On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral.

Quelle est la phrase pour retenir les conjonctions de subordination ?

Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.

Qu'est-ce qu'il t'arrive ou qui t'arrive ?

Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".

Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?

Résumé Une petite fille s'est cassé le poignet et tout le monde lui demande « Qu'est-ce qui t'est arrivé ? ». Elle explique sa mésaventure à sa copine : je sortais de la boulangerie quand soudain un oiseau m'a emportée au sommet d'une montagne.

C'est quoi Jamais deux sans trois ?

Locution adverbiale

Un évènement qui survient deux fois se reproduit très souvent une troisième, les évènements ayant tendance à se répéter.

Qui dit jamais deux sans trois ?

L'expression "Jamais deux sans trois" est utilisée pour signifier une croyance selon laquelle un évènement, bon ou mauvais, qui s'est produit deux fois va nécessairement se produire une troisième fois. Elle s'utilise aussi pour prévenir qu'une bonne ou une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule.

Pourquoi on dit jamais 2 sans 3 ?

Cette expression signifiait que, pour qu'une chose soit bien faite, il fallait la réaliser trois fois. Il ne fallait donc pas s'arrêter après la deuxième fois, mais répéter l'action une troisième fois pour que celle-ci soit totalement réussie.