Qu'est-ce qui se passe ou qu'il se passe ?

Interrogée par: Aimée Alves  |  Dernière mise à jour: 15. Oktober 2022
Notation: 4.2 sur 5 (29 évaluations)

On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.

Qui ou qu'il se passe ?

Oralement, les deux structures sont très proches ; elles sont même identiques dans un niveau familier, où « il » est réduit à « i » : « ce qui se passe ». « Qui » est le sujet habituel d'une construction personnelle : « Prends ce QUI te plaît ».

Qu'est-ce qui s'est passé Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.

Qu'est-ce qui arrive ou Qu'est-ce qu'il arrive ?

Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.

Qui ou qu'il ?

Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.

Dit-on "Qu'est-ce qui se passe" ou "Qu'est-ce qu'il se passe" ?

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Qu'est-ce qui se passe là ?

* Qu'est-CE QU'IL se passe ? (Il se passe quelque chose.) * Qu'est-CE QUI se passe ? (Quelque chose se passe. Selon Grévisse, 1 On emploie QU'IL lorsque le verbe est ESSENTIELLEMENT impersonnel.

Qui fait ou qu'il fait ?

Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.

Comment ça se passe où ce passé ?

Ce qu'il se passe -> Il se passe « ce » (un événement, une situation, etc.) « Ce » a dans cette phrase la fonction grammaticale de COD, mais « ce » est le sujet réel du verbe se passer. Dans les deux cas, personnel ou impersonnel, c'est « ce » qui se passe.

Qui reste ou qu'il reste ?

Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.

Qu'est-ce qui t'arrive ou Qu'est-ce qu'il ?

Bonjour, "Qu'est-ce qui t'arrive ?" est parfaitement correct. Quelque chose est en train de t'arriver. "quelque chose" est le sujet réel, on peut donc parfaitement dire "qu'est-ce qui t'arrive".

Comment savoir si on écrit C'est où s'est ?

Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».

Comment écrire tout s'est bien passé ?

Comment s'écrit la phrase tout s'est bien passé ? Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.

Est-ce que ça s'est bien passé ?

Pourquoi n'écrit-on pas « ça c'est bien passé » ? Parce que « s'est passé» correspond au verbe passer, employé à la forme pronominale (se passer) et conjugué à la 3e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. « ça » pronom démonstratif, est employé en langage familier à la place de ceci, cela.

Qu'est-ce qui ou que ?

Qui est-ce que ? Les 2 expressions se terminent par « que » ( ou qu'), elles indiquent la fonction complément des 2 éléments recherchés. La première commence par qui -> l'élément recherché est une personne. Qui est-ce que tu écoutes ?

Qu'est-ce qui lui prend ou Qu'est-ce qu'il lui prend ?

Dans les autres constructions (« ce qu'il lui reste [ne pèse pas lourd] », « ce qu'il lui prend », « ce qu'il en est résulté »…), le que du ce qu'il occupe la fonction de sujet réel du verbe impersonnel ; le pronom il en étant le sujet apparent.

Qui puisse ou qu'il puisse ?

C'est comme si on avait : Ils voulaient quelque chose […] qui puisse perdurer et affronter toutes les éventualités climatiques. La question qui se pose alors est celle de l'emploi de l'indicatif (y compris du conditionnel) ou du subjonctif dans une proposition relative (introduite ici par le pronom relatif qui).

Qui lui manque ou qu'il lui manque ?

Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.

Qui lui ou que lui ?

«Qui» est un pronom relatif sujet. «Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend !

Est-ce que c'est possible ou Est-il possible ?

On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»

Où et ou règle ?

On écrit « ou » lorsqu'il est possible de remplacer la conjonction de coordination par « ou bien ». Si le remplacement par « ou bien » ne fonctionne pas, alors on écrit « où ». « Ou » sans accent et « Où » avec accent grave sont des homophones grammaticaux.

Quand on utilise SE ?

Le mot se n'a qu'un seul usage dans la langue française : il s'agit d'un pronom personnel réfléchi. Il est systématiquement employé devant un verbe à sa forme pronominale. En sa qualité de pronom réfléchi, il renvoie au sujet du verbe, qui est forcément au troisième rang personnel du singulier ou du pluriel.

Comment on écrit es ce que ?

On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral. Elle comporte toujours un trait d'union entre le verbe « est » et « ce ».

Qui me ou qu'il me ?

Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.

Qui te dis ou qui te dit ?

Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».

Est-ce que tu penses qu'il faille ou qu'il faut ?

On emploie « qu'il faille », verbe falloir au présent du subjonctif, lorsque le sens de la phrase marque une possibilité, lorsque l'action peut être soumise à discussion, l'événement être mis en doute ou lorsqu'une condition nécessaire n'est pas certaine d'être réalisée.

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