Cette dégradation est due au déclin rapide des habitats de ces espèces (forêts, zones humides, pâturages, récifs coralliens…) couplé à d'autres facteurs : pollution, surexploitations des terres, surpêche, gestion non durable des ressources, urbanisation…
Les conflits armés et la guerre, les séismes et autres catastrophes naturelles, la pollution, le braconnage, l'urbanisation sauvage et le développement incontrôlé du tourisme posent des problèmes majeurs aux sites du patrimoine mondial.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
une limitation des projets et de l'urbanisation, La création de la réserve naturelle permettra de limiter les projets de développement et d'aménagement contradictoires avec l'objectif de préservation du patrimoine naturel. Cet effet contribuera à réduire la pression foncière existant sur la Plaine.
Il comprend les aires naturelles protégées privées et publiques, les zoos, les aquariums et les jardins botaniques, les habitats naturels, les écosystèmes marins, les sanctuaires, les réserves, etc.
l'urbanisme. Cette démarche permet, au moment où un document d'urbanisme est réalisé, de mettre en évidence tous les éléments qu'ils soient arbres, haies, clôtures, bâtiments,... qui constituent des éléments identitaires forts pour la commune et que celle-ci souhaite préserver.
Alors que le patrimoine culturel est relié symboliquement au passé, à son monde d'origine et à la culture qui l'a produit, le patrimoine naturel est incorporé concrètement dans un contexte socio-économique présent et à venir.
Les champs du patrimoine
Pour résister à la finitude, son objectif est de prendre soin de ce qui nous entoure, de s'intéresser, de désigner, de préserver, de mettre en valeur, de conserver, le cas échéant de transmettre des valeurs d'héritage.
Elle consiste en une destruction matérielle, le risque de voir les monuments tomber en ruines étant de plus en plus grand. Mais elle consiste également en une dégradation fonctionnelle liée à l'encombrement du centre.
Reconnu par les recherches contemporaines comme construction sociale, le patrimoine naturel est le fruit d'une action aménagiste délibérée. Il puise dans l'imaginaire les sources de sa légitimation afin de conserver ou protéger les espaces jugés pertinents.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Les types de pollutions les plus connus et étudiés sont la pollution du sol, la pollution atmosphérique, hydrique et acoustique, mais il y en a d'autres moins connus comme la pollution lumineuse, visuelle, thermique, électromagnétique, radioactive ou génétique.
Des initiatives politiques inadéquates de gestion des terres (subventions accentuées, mauvaise gouvernance et faible attention portée à la protection et à l'utilisation durable des ressources naturelles) font aussi partie des facteurs qui provoquent la dégradation et la perte des ressources naturelles dans les zones ...
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
Actuellement, l'homme a un effet plutôt destructeur sur la nature : il rase des forêts, construit des routes, utilise des produits chimiques qui tuent massivement certains insectes, pêche plus que nos océans ne le permettent… La biodiversité souffre de ces activités et décline fortement.
Perte de biodiversité
En raison de la surpêche, de la déforestation, de la destruction des habitats, de la pollution et d'autres facteurs, un plus grand nombre de plantes et d'animaux sont en voie d'extinction.
– les pesticides et assimilés (engrais, insecticides) ; – les pollutions atmosphériques (gaz des usines, fumées des véhicules, odeurs) ; – la pollution des eaux et des sols (pollution radioactive, chimique et biologique) ; – les nuisances diverses (bruits et émissions sonores, fumées des cigarettes et pipes).
La dégradation peut être de trois formes : physique chimique ou biologique. Elle contribue à l'affaiblissement de la structure du sol induisant l'encroûtement, la compaction, et l'érosion. L'encroûtement est le résultat de la réorganisation des particules de la surface du sol, sous l'effet du vent ou de la pluie.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.
le patrimoine agricole et le patrimoine rural ; le patrimoine vernaculaire ; le patrimoine maritime.
améliorer la prévention des risques ; former les professionnels à intervenir lors d'une catastrophe et après ; organiser des ateliers de sensibilisation et de formation ; promouvoir l'élaboration de plans d'urgence au sein des institutions patrimoniales (bibliothèques, archives, musées, monuments historiques, etc.).
Les indicateurs du patrimoine sont une collection nationale où sont rassemblées les données informatisées recueillies par les services patrimoniaux.
Le patrimoine culturel a le potentiel de favoriser l'accès et la jouissance de la diversité culturelle. A travers l'élaboration d'un sens d'appartenance individuel et collectif, il peut aussi enrichir le capital social et contribuer à soutenir la cohésion sociale et territoriale.
Des sites culturels ou naturels y sont inscrits, interdisant toute destruction ou modification. Le patrimoine mondial de l'humanité (monuments, paysages) constitue un héritage à protéger afin de le transmettre sans dégradation. Dans ces conditions, leur préservation devient une priorité nationale et internationale.
En 1994, le Comité du patrimoine mondial lançait la Stratégie globale pour une Liste du patrimoine mondial équilibrée, représentative et crédible. Son objectif est de s'assurer que la Liste reflète bien la diversité culturelle et naturelle des biens de valeur universelle exceptionnelle.