- l'euthanasie indirecte, c'est-à-dire l'administration d'antalgiques dont la conséquence seconde et non recherchée est la mort ; - l'euthanasie passive, c'est-à-dire le refus ou l'arrêt d'un traitement nécessaire au maintien de la vie.
Patient majeur ou mineur émancipé, capable ou encore mineur doté de la capacité de discernement et conscient au moment de sa demande. Demande volontaire, réfléchie et répétée sans pression extérieure.
En France, aucun loi ne traite spécifiquement de l'euthanasie. La mort donnée à un patient (euthanasie active), quels que soient son état et sa volonté, est considérée comme un homicide : un acte de tuer volontairement selon le code pénal. Ces pratiques sont donc sévèrement punies par la loi.
L'euthanasie, du grec ancien « eu » (bon) et « thanatos » (mort), désigne l'acte médical consistant à provoquer intentionnellement la mort d'un patient afin de soulager ses souffrances physiques ou morales considérées comme insupportables, soit en agissant à cette fin, soit en s'abstenant d'agir.
- l'euthanasie passive, c'est-à-dire le refus ou l'arrêt d'un traitement nécessaire au maintien de la vie.
Dans une acception plus contemporaine et plus restreinte, l'euthanasie est décrite comme une pratique (action ou omission) visant à provoquer — particulièrement par un médecin ou sous son contrôle — le décès d'un individu atteint d'une maladie incurable qui lui inflige des souffrances morales ou physiques intolérables.
La différence résiderait surtout dans la temporalité : mettre fin à la vie tout de suite ou de manière plus lente ! Mais la sédation couperait la relation avec le patient, alors que l'euthanasie permet de maintenir la communication jusqu'aux dernières minutes de vie.
Légalement, l'euthanasie et l'aide au suicide sont interdites en France. Cela signifie donc qu'officiellement il y en a zéro, même s'il existe des estimations de ce type de décès.
La procédure collégiale peut être demandée par le médecin, l'équipe médicale mais aussi par la famille et les proches sur le fondement des directives anticipées dont ils seraient dépositaires. La décision finale appartient au médecin qui doit la motiver et l'inscrire dans le dossier médical du patient.
Je (nom, prénom) demande par la présente à mon médecin de mettre fin à ma vie, - soit par euthanasie - soit par assistance au suicide. Majeur capable et conscient au moment de la demande, je formule ma demande de manière volontaire, réfléchie et sans pression extérieure.
La « fin de vie » désigne les derniers moments de vie d'une personne arrivant en phase avancée ou terminale d'une affection/ maladie grave et incurable.
L′euthanasie en France est encadrée principalement par deux lois : la loi de 2002 sur le droit des malades, et la Loi Clayes-Léonetti du 2 février 2016 relative aux droits des patients en fin de vie.
L'obstination déraisonnable (anciennement appelée acharnement thérapeutique) est le fait de pratiquer ou d'entreprendre des actes ou des traitements alors qu'ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie.
Les soins palliatifs et d'accompagnement soulagent la douleur et les autres symptômes de la personne dont la maladie est en phase avancée ou terminale. Ils cherchent à soulager, apaiser dans un accompagnement personnalisé qui prend en compte la personne dans toutes ses dimensions et son entourage.
Loi relative aux droits des malades et à la fin de vie, dite loi Leonetti. Elle consacre le principe du refus de l'obstination déraisonnable et confirme le droit du refus de tout traitement.
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Le prix d'une euthanasie varie selon l'animal, son poids et la clinique. Il oscille généralement entre 60 et 120euros. A cela s'ajoute les frais pour le devenir du corps.
Son but est de diminuer ou de faire disparaître la perception d'une situation vécue comme insupportable par le patient, alors que tous les moyens disponibles et adaptés à cette situation ont pu lui être proposés et/ou mis en œuvre sans permettre d'obtenir le soulagement escompté.
En France, la fin de vie est règlementée par la loi Leonetti-Claeys du 2 février 2016. Celle-ci permet la sédation profonde mais interdit pour l'instant l'euthanasie ou le suicide assisté.
Le chien a envie de se dépenser, mais n'y arrive plus. Il arrive aussi qu'un chien, sentant qu'il va mourir, développe un trouble hyperactif mineur : il gémit, aboie excessivement, ne tient plus en place, mais est très vite rattrapé par son extrême fatigabilité.
Elle dure une dizaine de minutes et est sans douleur pour l'animal. A savoir : entre le moment de l'injection et le décès, votre animal peut être pris de contractions musculaires, de relâchement de la vessie ou de l'intestin. Si cela peut-être perturbant, sachez que votre animal est inconscient et ne souffre pas.
Regardez comment il est, comment il s'approche, à quelle vitesse, ce qui se dégage de lui. Ressentez-le. Et, lorsqu'il arrive à votre portée, prenez-le dans vos bras, enlacez-le comme vous le faisiez avant et savourez ce moment de partage d'amour. Tendez l'oreille, écoutez son message et transmettez le vôtre en pensée.
La fatigue physique mais surtout nerveuse, le stress et la douleur sont autant d'éléments qui épuisent le proche d'un patient en fin de vie. Parler, extérioriser, exprimer ses angoisses, ses peurs, ses doutes, etc.