Une épiphore (substantif féminin), du grec epi (« en plus ») et pherein (« porter, répéter, ajouter ») est une figure de style consistant en la répétition, à la fin de deux ou de plusieurs groupes de phrases ou de vers qui se succèdent, d'un même mot ou d'un même groupe de mots.
L'anaphore fonctionne avec la répétition, sauf que cette répétition est judicieusement placée : le même mot ou la même expression revient systématiquement au début de chaque phrase ou de chaque paragraphe.
Définition de la palilalie
La palilalie est un trouble de la parole où une ou plusieurs syllabes, mots ou courtes phrases sont répétés involontairement. On privilégie le terme paraphasie à palilalie lorsqu'il s'agit de groupe de mots ou de phrases.
L'effet de l'anadiplose
L'anadiplose, qui est une figure de style de répétition, permet à l'auteur de fixer l'attention du lecteur sur un mot en particulier. Elle permet de donner de l'emphase à un discours. L'anadiplose est aussi un procédé d'oralisation : elle permet à l'auteur de rendre plus réelle une conversation.
anaphore
Reprise du même mot au début de phrases successives. (Exemple : Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire, / Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire [Corneille].)
Explétif (mot qui n'est pas nécessaire au sens de la phrase).
● «Monter en haut»
Le verbe «monter» indique toujours l'action de se déplacer de bas en haut. Et c'est inéluctable. De la même façon, «descendre en bas» ne se dit pas.
La stéréotypie, étymologiquement le « caractère figé », est en psychiatrie un des symptômes, le principal, du syndrome catatonique. Il se caractérise par une « itération » ou par une « fixation invariable » soit d'un ou plusieurs gestes soit d'un ou plusieurs mots sans but utile ni intention significative.
Répétition de un ou de plusieurs mots, de syllabes, d'onomatopées, sur un rythme parfois très rapide, dans les démences, les troubles schizophréniques et certaines affections neurologiques.
Une anaphore est la répétition d'un mot, d'un nom ou de plusieurs mots en début de phrase. Elle permet de mettre l'emphase sur une idée, un objet, une personne… Elle rythme un énoncé, souligne un mot, une idée, une obsession...
Psittacin, -ine, adj. Qui répète machinalement.
Définitions linguistiques. Une anaphore consiste à répéter un ou des mot(s) identique(s) au début ou à la fin de vers ou de phrase.
Une figure de style est un procédé d'expression qui s'écarte de l'usage ordinaire de la langue et donne une expressivité particulière et un caractère figuré au propos.
Demandez à la personne d'écrire les chiffres aux bons endroits. Demandez-lui ensuite de tracer les aiguilles de l'horloge pour qu'elles indiquent 21 h 15. (Si la personne n'est pas familière avec le système 24 h, dites-lui plutôt « 9 heures et quart ».)
L'anosognosie signifie l'absence de prise de conscience ou une prise de conscience amoindrie des troubles. Elle est fréquente chez les patients souffrant de maladie d'Alzheimer ou d'autres types de démences.
Figure de style réunissant deux termes antinomiques (opposés, de sens contraire). Exemple : Un "silence assourdissant" est un oxymore. Tout comme la citation de Voltaire : "Le superflu, chose très nécessaire."
Le pléonasme est une figure de style où l'expression d'une idée est soit renforcée soit précisée par l'ajout d'un ou plusieurs mots qui ne sont pas nécessaires au sens grammatical de la phrase, et qui sont synonymes.
L'oxymore, aussi appelé « oxymoron », réunit des mots de sens opposé, souvent un nom et un adjectif.
Selon les travaux du lexicologue Etienne Brunet, le verbe être est le mot le plus utilisé de notre langue. Le chercheur a extrait 1500 mots d'un ensemble de textes littéraires des XIXe et XXe siècles. L'auxiliaire être y apparaît 351 960 fois.
Ayt (alright): Ok!
Exemples. Antanaclase classique : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » (Blaise Pascal, Pensées) ; c'est également une diaphore.