L'encéphalite japonaise (EJ) est due à un flavivirus apparenté aux virus de la dengue, de la fièvre jaune et au virus West Nile, transmis par les moustiques. C'est la principale cause d'encéphalite virale dans de nombreux pays d'Asie, avec 68 000 cas cliniques estimés chaque année.
La primo-vaccination se réalise en deux injections de 0,5 ml à J0 et J28. Une dose de rappel (3ème dose) doit être administrée au cours de la seconde année (c'est à dire 12 à 24 mois) après la primo-vaccination, avant une exposition potentielle au virus de l'encéphalite japonaise.
L'encéphalite est une inflammation du cerveau causée par une infection directe (l'encéphalite aiguë) ou par une réaction immunologique à une infection (encéphalite postinfectieuse ou encéphalomyélite démyélinisante aiguë).
La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aiguë qui peut se transmettre par le biais d'une piqûre de moustique du genre Aedes infecté. La maladie sévit dans les régions intertropicales d'Amérique du sud et d'Afrique. Le terme « jaune » fait référence à la jaunisse présentée par certains patients.
Qui doit se faire vacciner et pourquoi ? En France, la vaccination contre la fièvre jaune est obligatoire chez les enfants de plus de 12 mois et les adultes voyageant ou résidant en Guyane. Elle est recommandée chez les voyageurs âgés de plus de 9 mois qui se rendent dans des pays où sévit la maladie.
Administrer une dose partielle du vaccin contre la fièvre jaune est efficace et pourrait permettre de vacciner des millions de personnes supplémentaires en situation d'urgence, selon les résultats récents d'un essai mené par Epicentre, le centre de recherche épidémiologique de Médecins Sans Frontières (MSF), publiés le ...
Le paludisme est une maladie causée par un parasite dont cinq espèces infectent les humains. La fièvre jaune est une maladie causée par un virus. Bien que l'infection de l'une ou l'autre maladie puisse être fatale, les taux de mortalité dus au paludisme sont nettement plus élevés.
La fièvre jaune est une maladie virale, parfois mortelle, transmise par les moustiques. Dans les 3 à 6 jours suivant l'infection survient une fièvre importante, des frissons, des maux de tête et des douleurs musculaires, des nausées et des vomissements.
La fièvre jaune, anciennement appelée fièvre amarile, typhus amaril, ou vomito negro (vomi noir), est une zoonose due à un flavivirus, le virus de la fièvre jaune. C'est une arbovirose des singes de la forêt équatoriale et elle est transmise de singe à singe par divers moustiques du genre Aedes.
Transmission. Le virus de la fièvre jaune est un arbovirus appartenant au genre Flavivirus et il est transmis par certaines espèces de moustiques des genres Aedes et Haemogogus.
L'encéphalite est le plus souvent due à des virus, tels que l'herpès simplex, l'herpès zoster, le cytomégalovirus ou le virus du Nil occidental. Elle peut survenir des manières suivantes : Un virus infecte directement le cerveau.
L'infection virale, bactérienne ou fongique elle-même peut endommager des zones du cerveau : les cellules nerveuses sont détruites et ne peuvent être remplacées. Un même processus de destruction peut résulter de l'oedème lié à l'inflammation.
D'une manière générale, l'encéphalite peut se présenter par des maux de tête, des raideurs dans la nuque, des troubles de la conscience ou du comportement, des convulsions, des signes neurologiques, de la fièvre ainsi que des troubles digestifs (nausées et vomissements).
Les encéphalites auto-immunes sont des affections rares du système nerveux central. Elles se caractérisent par une atteinte neurologique aiguë ou subaiguë qui prédomine au niveau des régions limbiques, à l'origine d'une amnésie antérograde, d'une épilepsie temporale interne et de troubles psychiatriques.
Le premier rappel doit être réalisé entre 11 ans et 13 ans.
A l'âge adulte, le 1er rappel s'effectue à 25 ans. Il sera suivi d'un rappel à 45 ans et d'un rappel à 65 ans. Après 65 ans, un rappel de vaccin Repevax ou Boostrix doit être fait tous les dix ans.
Comme dans le reste de l'Indonésie, il n'existe pas de vaccins obligatoires pour Bali. Toutefois, vous devez veiller à la mise à jour de certaines vaccinations. Celles contre la fièvre typhoïde, les hépatites A et B, la diphtérie, tétanos, poliomyélite, sont concernées.
Depuis l'entrée en vigueur de l'amendement au Règlement sanitaire international le 11 juillet 2016, tous les certificats internationaux de vaccination contre la fièvre jaune sont considérés valides à vie, incluant les certificats délivrés il y a plus de 10 ans.
L'obligation vaccinale pour la Tanzanie
La seule contrainte imposée pour les voyageurs souhaitant se rendre en Tanzanie concerne la fièvre jaune.
Le paludisme (ou malaria) est une maladie causée par un parasite du genre Plasmodium, essentiellement transmis à l'humain par la piqûre d'un moustique, l'anophèle femelle.
Il n'existe aucun traitement spécifique contre la fièvre jaune. Hormis la prévention par vaccination, les seules armes pour combattre la maladie une fois qu'elle a été contractée sont le repos, la réhydratation et l'administration de médicaments visant à limiter la fièvre, les vomissements et la douleur.
La maladie débute ensuite très brutalement par une fièvre élevée, des frissons et des douleurs intenses de la tête (céphalées), musculaires, surtout au niveau du dos (dorsalgies) et articulaires (arthralgies).
La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l'eau ou les aliments contaminés. On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
En plus de cette anémie, la malaria de type Plasmodium falciparum modifie la paroi des globules rouges et cause des « bouchons », et trouble la microcirculation de certains organes - comme le cerveau, les poumons ou les reins - ce qui augmente le risque de mortalité.
La chloroquine est le médicament de choix pour traiter le paludisme à P. falciparum et le paludisme à P. vivax sensibles à la chloroquine, ainsi que toutes les infections à P.
Les auteurs ont mis en évidence l'action d'un composé disulfuré, présent dans l'ail les oignons ou encore… l'acajou. Comme ils l'ont montré lors de précédents travaux, cette substance aurait la particularité d'inhiber le processus d'infection des cellules par le parasite du paludisme, plasmodium falciparum.