Les pays les moins avancés (PMA) correspondent aux États les plus pauvres et les plus vulnérables de la communauté internationale face aux aléas économiques, environnementaux, humains et épidémiques.
Les PMA, ou Least Developed Countries en anglais, sont le dernier étage de la fusée des pays en développement, soit selon l'ONU le « maillon le plus faible et le plus pauvre » de la communauté´ internationale. 33 de ces pays sont situés en Afrique, 9 en Asie, 3 en Océanie et un dans les Antilles.
L'assistance médicale à la procréation (AMP) peut permettre à un couple hétérosexuel ou à un couple formé de 2 femmes ou à une femme non mariée d'avoir un enfant. Il existe différentes techniques prises en charge, sous certaines conditions, par l'Assurance maladie.
Les pays les moins avancés (PMA) sont des pays qui se caractérisent par un faible développement, un faible revenu par habitant et une forte vulnérabilité économique. Une grande partie des habitants de ces pays vit dans la pauvreté extrême.
Un pays remplit les conditions requises pour être ajouté à la liste des PMA s'il atteint les seuils prévus à cet effet pour chacun des trois critères et si sa population n'excède pas 75 millions d'habitants. Cependant, il n'obtiendra le statut de PMA que si son gouvernement l'accepte.
les pays à faible revenu (moins de 1000 dollars par tête environ) ; les pays à revenu moyen inférieur (entre 1000 et 4000 dollars par tête environ) ; les pays à revenu moyen supérieur (entre 4000 et 12 000 dollars par tête) ; et enfin les pays à revenu élevé (supérieur à 12 000 dollars par tête).
On compte désormais l'Irlande, la Belgique, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Danemark, l'Espagne, le Portugal, la Finlande, la Suède, la Croatie et le Royaume-Uni. Les Françaises se tournent parfois vers leurs voisins, notamment l'Espagne et la Belgique où la PMA pour toutes est autorisée.
Comme la France, l'Italie, la Pologne, la Roumanie, la République tchèque, la Lituanie, la Slovaquie et la Slovénie ont autorisé la PMA, mais en la réservant aux couples hétérosexuels.
Les pays les moins avancés (PMA) sont une catégorie de pays créée en 1971 par l'Organisation des Nations unies (ONU), regroupant les pays socio-économiquement les moins développés de la planète. Au 25 mars 2023, 46 pays appartiennent à cette catégorie ; la plupart d'entre eux se situent en Afrique.
L'AMP (assistance médicale à la procréation), son nom officiel, est plus communément appelée PMA (procréation médicalement assistée). Son but : permettre à un couple qui ne le peut pas d'avoir un enfant, au moyen de différentes techniques médicales (insémination artificielle, fécondation in vitro, accueil d'embryon).
Le physiologiste britannique Robert Edwards vient d'être récompensé par le prix Nobel de médecine 2010 pour ses travaux pionniers sur la fécondation in vitro, qui ont abouti en 1978 à la naissance du premier bébé éprouvette, Louise Brown.
La première étape du parcours de PMA est la réalisation d'un bilan d'infertilité afin de déceler les éventuelle(s) cause(s) d'infertilité chez l'homme et/ou la femme. Au niveau du couple, le test de Hühner (ou test post-coïtal) est l'examen de base.
Commencer les examens
La clinique ou le CHU, dans la logique des choses, vous demandera de faire au minimum une échographie pelvienne et un bilan sanguin de fertilité, également une hystérosalpingographie dans le cas d'une méthode d'insémination.
Avantages de l´insémination artificielle
Lors de l'insémination, la stimulation hormonale est minimale, ce qui permet d'éviter les effets secondaires désagréables du traitement hormonal et la nécessité de recourir à la chirurgie pour le prélèvement des ovules.
Droit d'accès aux origines des enfants nés d'une PMA
À partir du 1er septembre 2022, tout donneur de gamètes devra donc consentir à la communication de ces données avant de procéder au don.
Le décret sur la procréation médicalement assistée (PMA) a été publié au Journal officiel le mercredi 29 septembre 2021. La procréation médicalement assistée, ou PMA, pour toutes les femmes est désormais autorisée en France.
Le CHU de Montpellier, meilleur centre français en matière de fécondation in vitro. Avec le plus de 32%, le service d'aide a la procréation du CHU de Montpellier détient le meilleur taux de réussite en matière de fécondation in vitro en France. Classement édité par l'Agence de biomédecine.
Il se situe en moyenne entre 1200 et 1400€ par cycle de stimulation. Les coûts sont donnés à titre indicatif. Chaque prise en charge étant personnalisée, les prix peuvent varier d'un patient à un autre, et pour un même patient, d'une tentative à une autre.
En effet certains critères d'éligibilités poussent les françaises à se rendre à l'étranger pour la PMA : la femme doit être âgée de moins de 43 ans et vivre en couple hétérosexuel depuis au moins deux ans. La 2ème raison qui pousse les françaises à pratiquer une PMA à l'étranger est le manque de donneuses d'ovocytes.
Les risques de la PMA
Le risque le plus important est celui du développement d'un nombre exagéré de follicules (hyperstimulation ovarienne constatée dans environ 1% des cycles). Ce risque est plus important chez les patientes jeunes ayant plusieurs kystes aux ovaires.
L'un des enjeux de l'ouverture de la PMA en France à toutes les femmes est l'établissement du lien de filiation dès l'origine, dès la naissance de l'enfant.
Un eugénisme obligé, via les banques de sperme
Ce principe confère aux praticiens l'énorme responsabilité du choix d'un père génétique pour chaque enfant ainsi conçu. Là aussi, le dysfonctionnement concerne déjà les couples hétérosexuels.