La bulle d'emphysème est définie comme une distension supérieure à 1cm d'un espace aérien situé au-delà des bronchioles terminales [1].
Il n'existe aucun traitement curatif mais l'arrêt du tabac, certains traitements (bronchodilatateurs) et la réhabilitation respiratoire peuvent ralentir la progression de la maladie. Le traitement peut également être chirurgical dans les cas d'emphysème très sévères (greffe de poumon).
L'emphysème est une maladie grave qui peut provoquer de graves problèmes respiratoires, pulmonaires et cardiaques.
L'opération (pleurectomie) est relativement simple et consiste à réséquer la bulle responsable (ce qui emporte une quantité de poumon) et à faire un geste qui «colle» le poumon à la paroi - en général on irrite mécaniquement la plèvre par simple abrasion. Cette opération se fait le plus souvent par thoracoscopie.
L'emphysème est caractérisé par l'existence de bulles d'air en nombre et en taille variables entravant l'échange alvéolo-capillaire. Au-dessus d'une certaine taille, l'emphysème est dit bulleux, et peut avoir un effet délétère sur la fonction respiratoire.
Les patients non-fumeurs ont une espérance de vie moyenne de 67 ans avec un emphysème. Elle est de 48 ans pour les fumeurs.
Parmi les agonistes-bêta2, on trouve le salbutamol (Ventolin®) et la terbutaline (Bricanyl®), à courte durée d'action (4 à 6 heures), et le formotérol (Oxeze®) et le salmétérol (Serevent®), à longue durée d'action (12 heures).
Une étude confirme les intrications entre emphysème et cancer du poumon. Selon une méta-analyse néerlandaise, l'emphysème diagnostiqué au scanner thoracique et évalué visuellement ou quantitativement serait associé à un risque de 2,3 fois plus élevé de cancer du poumon.
Dans ces deux pathologies, les premiers symptômes sont un essoufflement, une sensation d'oppression dans la poitrine et une fatigue chronique, altérant la qualité de vie. Ces signes peuvent longtemps passer inaperçus, c'est ce qui fait que l'emphysème est peu connu car il se voit peu.
C'est "le grand emphysème". Le poumon est distendu, peu élastique, il se "dégonfle" peu à l'expiration L'emphysème siège dans la totalité du poumon mais est plus sévère aux lobes inférieurs.
Les symptômes de l'emphysème pulmonaire les plus courants, et plus généralement des bronchopneumopathies chroniques obstructives, sont un essoufflement lors d'activités quotidiennes (une dyspnée), une sensation de manquer d'air et d'oppression au niveau de la poitrine, une respiration sifflante, une toux chronique ...
une sensation d'oppression thoracique parfois douloureuse ; une respiration accélérée avec une diminution des mouvements respiratoires (parfois avec une phase d'expiration plus longue) ; la cage thoracique qui se rétrécit et une mobilité très faible.
L'emphysème peut faire partie d'une maladie pulmonaire appelée maladie pulmonaire obstructive chronique ou MPOC. L'emphysème résulte habituellement de l'exposition à des toxines provenant des cigarettes ainsi que de la pollution, de la poussière, des vapeurs chimiques et de substances irritantes.
Pour rester en bonne santé, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande de faire trente minutes d'exercice modéré cinq jours par semaine. Il peut s'agir d'un sport comme la marche à pied, la natation, le yoga, le vélo ou encore un programme de renforcement musculaire adapté.
Stade I léger : le Volume Expiratoire Maximal par Seconde (VEMS) est supérieur ou égal à 80 % de la valeur prédite. Stade II modéré : le VEMS est compris entre 50 et 80 % Stade III sévère : le VEMS est compris entre 30 et 50 % Stade IV très sévère : le VEMS est inférieur à 30 %
L'air est alors piégé dans le thorax. Le poumon détruit se distend, augmente de volume ce qui diminue l'efficacité des muscles respiratoires, notamment du diaphragme. Au fur et à mesure de l'évolution de la maladie, la gêne respiratoire devient permanente.
Emphysème primitif : le taux d'invalidité sera évalué en fonction des critères d'insuffisance respiratoire définis au chapitre concerné. - asthme avec gêne intercritique et asthme à dyspnée continue : 70 à 100 %.
Le pamplemousse ou encore le pomélo sont connus pour être des sources importantes de flavonoïdes. 4 verres de jus de pamplemousse par semaine suffiraient ainsi à nettoyer efficacement vos poumons.
Le meilleur traitement contre l'emphysème est de cesser de fumer et de se tenir loin des endroits où il y a de la fumée. Vous pouvez ralentir la progression de l'emphysème en cessant de fumer. Il existe d'autres traitements contre l'emphysème, comme les médicaments et l'oxygène d'appoint.
L'emphysème est une maladie qu'on ne peut pas guérir. Les alvéoles touchées ne peuvent donc pas se régénérer. Par contre, il est possible de minimiser l'avancement et les complications de la maladie.
Parmi elles, figure l'HE d'Eucalyptus radié : anti-infectieuse, stimulante immunitaire et expectorante. Elle permet d'évacuer plus facilement le mucus broncho-pulmonaire. Le principe : en diluer 2 gouttes dans de l'huile d'amande douce puis appliquez le mélange sur votre sternum et le haut de votre dos en massant bien.
Introduisez la technique de respiration à lèvres pincées : inspirez par la bouche si vous n'êtes pas capable de le faire par le nez : pincez vos lèvres pour expirer. Ralentissez progressivement votre respiration en prenant plus de temps pour expirer que pour inspirer. Ne forcez pas vos poumons à se vider.
Il peut s'agir d'un sport, comme le jogging, la natation, le tennis ou le bowling, d'un programme d'exercice physique ou d'un loisir comme le vélo ou la marche. Citons également les activités physiques de la vie quotidienne, comme le jardinage, le ménage ou faire les magasins à pied.
Il s'agit d'un mélange de pamplemousse, de citron et d'ananas. En effet, ces aliments sont dotés de plusieurs vertus plutôt expectorantes. Elles sont donc très utiles pour la purification des poumons. Avant le petit déjeuner (environ vingt minutes), il est recommandé de boire le jus de pamplemousse et de citron.