Le parasitisme nécessite une existence cyclique (de reproduction et de développement des parasites). Il en existe deux types : cycle monoxène (ne faisant intervenir qu'un seul hôte) ; cycle hétéroxène ou cycle-de-vie complexe (qui implique le passage par un, deux ou plusieurs hôtes intermédiaires).
Ainsi, le parasitisme est une interaction biologique qui s'installe entre deux ou plusieurs organismes vivants, mais ici, l'un des partenaires vit totalement aux dépens de l'autre. Par exemple, le pou du corps humain se nourrit du sang qu'il y puise, mais n'apporte rien en retour.
parasitisme
Présence et mode d'existence des parasites dans certains organes ou tissus. 2. État d'un organisme qui vit aux dépens d'un organisme d'une autre espèce, que l'on appelle l'hôte.
Le parasitisme est une relation où une espèce (le parasite) profite d'une autre espèce (l'hôte) en lui étant nuisible. Le parasite peut vivre à l'intérieur de son hôte (endoparasite) ou sur celui-ci (ectoparasite).
Classification par les causes
On peut placer les parasitoses en trois groupes selon leurs agents (parasites) : les protozoaires (parasites unicellulaires) ; les métazoaires (parasites pluricellulaires : vers parasites par exemple) ; les arthropodes servent souvent de vecteur permettant le transport du parasite.
Le parasitisme nécessite une existence cyclique (de reproduction et de développement des parasites). Il en existe deux types : cycle monoxène (ne faisant intervenir qu'un seul hôte) ; cycle hétéroxène ou cycle-de-vie complexe (qui implique le passage par un, deux ou plusieurs hôtes intermédiaires).
Les parasites externes ou ectoparasites englobent de nombreux arthropodes parasites qui appartiennent à la famille des acariens (tiques et gales) ou des insectes [puces, poux broyeurs et poux suceurs, moustiques, mouches et phlébotomes (mouches des sables)].
Un parasite est un organisme qui vit sur ou dans un autre organisme (l'hôte) et qui profite (par exemple, en obtenant des nutriments) de l'hôte à ses dépens.
Parasitisme : sanction
Victime d'un parasitisme, l'entreprise ou le commerçant qui subit cet acte malveillant et subit un préjudice commercial peut en demander réparation auprès du juge.
Il existe trois formes principales de symbiose : le mutualisme - le commensalisme - le parasitisme.
Les modes de transmission des parasites sont très variés : voie orale, pénétration transcutanée (active ou par piqûre d'arthropode), voie sexuelle, voie transplacentaire, voie transfusionnelle...
Le mutualisme : les deux symbiontes tirent profit de la situation. Le commensalisme : un des deux symbiotes tire un avantage de la relation, sans nuire ni favoriser l'autre organisme. Le parasitisme : un seul organisme tire profit de la situation et vit aux dépens de son hôte.
Ces mutations sont en particulier soupçonnées de réduire la fonction de la protéine K13, protéine participant possiblement à la dégradation de l'hémoglobine dans le globule rouge infecté. Actuellement, en Asie du Sud-Est, les parasites résistants les plus fréquents portent la mutation C580Y.
Surnommée « mangeuse de cerveau », Naegleria fowleri est une amibe vivant dans les eaux chaudes des lacs, des marais ou des piscines mal entretenues. Elle est à l'origine d'une très grave encéphalite, la méningo-encéphalite amibienne primitive (MEAP), mortelle dans 95 % des cas.
Les parasites peuvent être catégorisés en fonction de plusieurs critères, par exemple l'endroit où ils vivent sur l'hôte. les ectoparasites vivent à l'extérieur de l'hôte, sur lui. Par exemple, les poux, les puces et les tiques sont des ectoparasites. les endoparasites vivent à l'intérieur de l'hôte.
« Les parasites stabilisent les écosystèmes dans la mesure où ils maintiennent leur population d'hôte à un niveau très bas. Ils ont pour ainsi dire une fonction régulatrice. Souvent, ils réduisent aussi la fertilité de leur hôte, ce qui crée des niches écologiques pour d'autres espèces. »
Quelques exemples de pathogène protozoaire non-mortel sont Cryptosporidium, Giardia et Entamoeba histolytica.
Parasites permanents : leur existence entière se déroulent dans un ou plusieurs hôtes (ex : Taenia trichine). Parasites temporaires : ils partagent leur vie entre une forme libre dans l'environnement et une forme parasitaire (ex : douves, anguillule).
Un virus est un parasite intracellulaire obligatoire, c'est-à-dire qu'il a besoin d'être présent dans une cellule, dont il utilise le matériel génétique, pour se répliquer (les virus ne se reproduisent pas, ils se répliquent).
L'hôte est plus ou moins fatigué ou affaibli selon l'ampleur de l'envahissement. Même si le parasite ne tue pas son hôte, il produit des effets négatifs. Ses métabolites peuvent être toxiques, il peut infliger des blessures internes ou externes, prélever de la nourriture (comme le ver solitaire).
Locution nominale
(Biologie, Médecine) Un parasitisme obligatoire c'est-à-dire dans lequel le parasite ne peut vivre qu'en présence d'une cellule hôte, il ne peut pas être libre.
Les parasites peuvent être rejetés dans le milieu extérieur soit par les excrétions : selles (œufs ou larves d'Helminthes), urines, soit par les sécrétions : les œufs de douve passent du poumon dans les sécrétions bronchiques, soit encore par une plaie cutanée : c'est le cas des larves filaires de Médine.
Lavez les fruits et les légumes à l'eau courante potable avant de les préparer. Évitez de manger des aliments périmés et faites bien cuire la viande avant de la manger (pour éviter le tænia). Ne mettez pas les bols et les litières de vos animaux domestiques à proximité des endroits où les repas sont préparés et mangés.