Qui peut être touché par le syndrome de Diogène? Dans la plupart des cas, cette pathologie concerne principalement les personnes âgées de 70 à 80 ans, et qui vivent seules. La gent féminine est plus touchée que les hommes. La raison est que l'espérance de vie de la femme est plus longue que celle de l'homme.
Le syndrome de Diogène n'étant pas une maladie, il ne peut pas être traité en tant que tel. Pour mettre fin à ce trouble, il faut prendre en charge la pathologie sous-jacente, à l'origine du syndrome, et cela ne peut se faire que dans un cadre médical.
La solitude voulue ou l'isolement subi, semble le facteur de déclenchement principal. Néanmoins, ce trouble du comportement se manifeste de plus en plus régulièrement us les jeunes.
Outre une prise en charge médico-sociale du patient, il n'existe pas aujourd'hui de traitements spécifiques pour guérir du Syndrome de Diogène. Une thérapie comportementale est mise en place, associée à la prise de médicaments utilisés pour d'autres pathologies comme l'anxiété, la dépression, ou encore la démence.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
des troubles cognitifs, liés à la déshydratation, la dénutrition, la fatigue et la dépression. l'opposition aux soins, avec parfois de l'agressivité. un repli sur soi progressif allant vers une disparition complète de la communication.
Une pathologie rare qui touche l'os qui se situe à l'intérieur du pied, sous la cheville. C'est ce qu'on appelle dans le jargon médical "une ostéonécrose de l'os naviculaire". Dans les cas les plus graves, l'os peut se fragmenter, se désagréger. A ce moment-là, la douleur devient insupportable et le pied se déforme.
Ce trouble peut toucher aussi les personnes âgées qui viennent de vivre un deuil (perte d'un conjoint de longue date, par exemple.) Chez presque tout le monde, le syndrome apparaît après un choc émotionnel important ou trouve sa source dans l'enfance.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Trouble mental caractérisé par la diminution ou la privation de la volonté, c'est-à-dire par l'incapacité d'orienter et de coordonner la pensée dans un projet d'action ou une conduite efficiente : 1. Le déficit, plus ou moins profond, de la volonté, représente l'aboulie; ... H.
La syllogomanie est la maladie qui définit les accumulateurs compulsifs. Être attaché à certains objets, c'est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
La difficulté à jeter se traduit à divers degrés : un comportement plus ou moins lié à de la procrastination ou tout simplement une très mauvaise gestion de son quotidien jusqu'à un comportement pathologique nommé syllogomanie, ou le syndrome de Diogène pour des personnes qui s'entourent de telles quantités d'objets ...
Le syndrome des jambes sans repos (impatiences) se traduit par des picotements et un besoin de mouvement des jambes, survenant plutôt le soir et la nuit. Il nuit à la qualité de vie et au sommeil.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets. Une personne syllogomane accumule une grande quantité d'objets, même si ces derniers sont inutiles, encombrants, insalubres et/ou dangereux.
Les troubles les plus fréquemment rencontrés dans la population sont la dépression, les troubles bipolaires, la schizophrénie, les troubles anxieux et les addictions.
Signes et symptômes à repérer : Émotionnels : tristesse, peur, angoisse, irritabilité, sentiment de dépréciation de soi. Comportementaux : humeur labile, agressivité, difficultés à trouver de l'intérêt dans ses activités, à exécuter des tâches quotidiennes, abus de certaines substances.
Dans sa forme complète, mais rare, le syndrome de Cotard rassemble des idées délirantes de négation d'organes, de soi, du monde, ainsi qu'un délire de damnation et d'immortalité. Les formes incomplètes sont plus fréquentes, limitées par exemple à une négation d'organes ou à la conviction d'un châtiment éternel.
1. Le syndrome de Münchhausen direct. Dans ce cas, le patient provoque chez lui une pathologie organique, puis il fait appel au médecin sans lui dire ce qu'il a fait, ce qui entraîne des examens et des traitements inutiles voire dangereux, tels que l'amputation d'un bras à la suite d'une gangrène provoquée par lui.
Le syndrome de la queue de cheval se caractérise par une compression des racines des nerfs situés dans le bas du dos pouvant entraîner une perte de sensibilité des membres inférieurs. La maladie doit être traitée en urgence par une intervention neurochirurgicale.
À cela peut s'ajouter une diminution ou augmentation de l'appétit avec perte ou prise de poids, des troubles du sommeil, de la fatigue, un sentiment de dévalorisation ou de culpabilité, une baisse des facultés de mémoire et de concentration, et des pensées de mort.
Les réticences de la personne dépendante à être aidée pour sa toilette peuvent ainsi avoir plusieurs causes, variant selon la personne et souvent cumulées ou imbriquées : La pudeur. Le sentiment d'infantilisation. L'inconfort de la toilette, lié notamment à température de la pièce et/ou de l'eau.
Prendre ses rêves pour des réalités. Pour les mythomanes, plus qu'un proverbe c'est un mode de vie dont ils n'ont même pas conscience. Bien différente du simple mensonge, la mythomanie est une véritable pathologie qu'il faut savoir reconnaître pour permettre à la personne de se faire traiter.