Fatigue extrême, vertiges, problèmes digestifs, insomnies, douleurs physiques persistantes (au niveau du dos par exemple), migraines, problèmes de poids, éruptions cutanées ou infections fréquentes (rhumes, otites, sinusites, bronchites) : si vous présentez l'un de ces signes en plus de ressentir un important niveau de ...
Les signes physiques du surmenage
Lorsque vous êtes surmené, vous pouvez ressentir des symptômes du surmenage comme des douleurs diffuses, des tensions musculaires, mal de dos (lombalgie), etc. D'autres symptômes du surmenage comme des vertiges ou des maux de tête peuvent apparaître.
Définition du surmenage
Il peut s'agir d'une activité physique, mais, dans certains cas, il peut être question d'un surmenage intellectuel. Au travail, cette pathologie peut résulter d'une pression hiérarchique trop prégnante, d'un management peu adapté ou d'objectifs de résultats inatteignables, par exemple.
Si le surmenage est d'origine physique, équilibrez en ayant un peu plus d'activité intellectuelle et du repos physique. S'il est d'origine psycho-émotionnel, mettez votre esprit au repos en pratiquant par exemple la méditation, la sophrologie, la pleine conscience, et ayez davantage d'activité physique.
Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
À la perte d'envie s'ajoutent des ruminations, la fatigue, la lassitude, le pessimisme, une diminution de la prise alimentaire et par conséquent un amaigrissement, de l'anxiété, des troubles de la concentration et de la mémorisation ainsi qu'un ralentissement général et des idées suicidaires.
Pour vous libérer de toute cette fatigue mentale, commencez par vous éloigner des environnements bruyants au profit du calme et de la sérénité. Télévision, appareils électroménagers… Tenez-les à distance quelque temps et profitez-en pour vous essayer à des activités plus zen comme le yoga ou la méditation.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
psychiques profondes mais également parce que l'on a oublié que le corps a aussi des limites. Si c'est l'esprit qui “lâche” en premier, la dépression complique le burn-out. Si c'est le corps, c'est une fatigue sans fond que l'esprit et la volonté de l'individu ne peuvent combattre facilement.
Veillez à vous organiser le mieux possible. Prenez de l'avance si vous le pouvez, c'est toujours un confort appréciable. Prenez des pauses régulièrement dans la journée, même si vous avez un peu de retard. Profitez-en pour vous détendre avec des collègues, ne serait-ce que quelques minutes ou le temps d'un café.
Il recommande une consommation accrue de 10 composants sains, parmi lesquels les légumes à feuilles vertes, le poisson, les baies, les noix… et la limitation de 5 composants néfastes comme le fromage, les viandes rouges, les beurre et margarine, les aliments frits, les pâtisseries et sucreries.
A titre indicatif : Les principales sources d'oméga-3 et d'acides gras polyinsaturés sont les poissons gras (le thon, la sardine, le maquereau, le saumon, le hareng) et les huiles de noix et de soja.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.
La tristesse peut créer une fatigue intense, l'impression d'être en décalage, comme si le monde allait à un autre rythme. Dans le mal être, la perte d'énergie et la sensation d'épuisement sont importants et s'accompagnent d'un manque de concentration et de difficultés de mémorisation.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
On l'appelle burn out, ou syndrome d'épuisement professionnel. Peut-être parce que cette pathologie est multiforme. Grosse fatigue physique, émotionnelle, voire intellectuelle, elle peut cumuler les trois maux et avoir des conséquences parfois graves.
La fatigue émotionnelle au niveau de l'individu
Intérieurement, le sujet fatigué émotionnellement ressent une fatigue chronique au travail, physique et mentale, un sentiment d'être vidé et d'une difficulté à être en relation avec les émotions des autres, ce qui rend le travail de plus en plus difficile.
Une baisse d'énergie, soudaine ou progressive, peut avoir des causes très variées. Elles peuvent être internes, externes, relatives à l'hygiène de vie ou à votre mode de vie. Notre alimentation influe beaucoup sur notre état de fatigue, et sur notre vitalité !
Du côté du cortex préfrontal, le stress chronique ralentit l'activité et vient altérer la prise de décision, la résolution de problèmes, la concentration et la planification. L'activité dans l'amygdale quant à elle, augmente en conséquence au stress. La régulation des émotions s'en trouve alors affectée.