Sacrifice agréable (à Dieu, aux dieux); sacrifice privé, public, rituel, solennel; sacrifices païens; sacrifice d'animaux; sacrifice d'action de grâces, d'adoration, de communion, de louange; sacrifice expiatoire, propitiatoire; appareil, apprêts, rites du sacrifice; autel, couteau, parfum, sang, viande, victime du ...
On peut, certes, offrir à Dieu de l'or, de l'argent, des bijoux, des vêtements (voir, par ex., Nb 7, 84-86 ; 31, 50-54 ; Esd 2, 69). Mais on ne peut lui sacrifier que des animaux et des végétaux.
304.. Le but du sacrifice est de renvoyer les choses, et surtout les choses les plus sacrées ; de congédier les Dieux qui, sans le sacrifice, pèseraient indéfiniment sur le sacrifiant ; de détourner les dieux, en faisant ce qu'on doit pour eux.
Palmes de la victoire : symbole du sacrifice et de la victoire. Elles sont aussi le symbole du martyre. Rameau d'olivier : symbole de paix et de Gloire Rameau de chêne : symbole universel de force, de puissance, de majesté, de longévité et de résistance.
Il n'a un sens « technique » et religieux que secondairement. « Sacrifier », c'est faire monter une fumée d'agréable odeur vers les dieux, comme il est également dit dans la Bible. Le sacrifice étant un échange, il est un partage.
Renoncer à ses propres besoins et objectifs ne fait que briser l'amour et la relation de couple - en plus de sa propre identité. Les sacrifices ne sont absolument pas des compromis basés sur la communication, mais des renoncements personnels qui peuvent avoir un coût psychologique et vital très élevé.
« On sacrifie pour une cause ou une idée qu'on juge supérieure. C'est le cas dans la religion, ou encore du parent qui fait table rase de ses désirs personnels – et de ses nuits ! – au service d'une cause supérieure, en l'occurrence, assurer la survie de son enfant, explique la psychanalyste.
Du latin sacrificium dérivé de sacrificare (« faire sacré, sacrifier »).
L'Eucharistie est un sacrifice d'action de grâce au Père, une bénédiction par laquelle l'Église exprime sa reconnaissance à Dieu pour tous ses bienfaits, pour tout ce qu'il a accompli par la création, la rédemption et la sanctification.
Le sacrifice signifie donner au Seigneur tout ce qu'il requiert de notre temps, de nos biens terrestres et de notre énergie pour faire avancer son œuvre.
abandon, abnégation, dévouement, renoncement. – Littéraire : renonciation.
Les offrandes étaient en grande partie des produits agricoles : blé, orge, huile, animaux et la quantité correspondait au dixième de leur revenu, la dîme. Dans le Nouveau Testament, notamment dans l'Épître aux Galates au chapitre 6, Paul de Tarse rappelle l'engagement des croyants envers leur pasteur et les démunis.
Les deux secrets de la réussite seraient alors : Apprendre à attribuer ses réussites et ses échecs à l'effort et donc redoubler d'effort. Développer une attitude mentale optimiste en relativisant ses échecs et en s'interdisant tout discours pessimiste.
La tradition antique est unanime sur un point: les Carthaginois sacrifiaient leurs enfants par le feu pour s'attirer la faveur des dieux. Des recherches récentes remettent en question l'interprétation traditionnelle de ces rites peu compréhensibles aujourd'hui.
Réussir à tout prix inclut une notion de sacrifices pour soi mais aussi pour les autres. L'être humain est inséparable de son environnement. Aujourd'hui avec les problèmes liés au non-respect de la nature on prend conscience de l'imbrication de soi, de l'environnement et des autres.
Le sacrifice a pour but de reproduire de quelque façon la manifestation de Dieu au Sinaï, événement unique, fondateur de la relation entre le Seigneur et son peuple.
Sacrifice perpétuel, sacrifice par lequel on offrait tous les jours quatre agneaux en holocauste, deux le matin et deux le soir. Depuis le temps que le sacrifice perpétuel aura été aboli, et que l'abomination de la désolation aura été établie , Sacy, Bible, Daniel, XII, 11.
sacrificateur n. Prêtre ou prêtresse qui offrait les sacrifices dans l'Antiquité.
La voix même de la nature répond pour nous à la question : il est vrai que rien ne mérite le sacrifice de la vie. LE « CONATUS » OU EFFORT DE L'ÊTRE. Rien ne va au néant. Le nihilisme est absurde : « Nulle chose ne peut être détruite, sinon par une cause extérieure » (Éthique, III, P.
Les pratiques rituelles recommandées au sacrifiant sont : 1) réciter la bismillâh ; 2) faire la salât 'ala l'nabî, la bénédiction sur le Prophète ; 3) se tourner vers la qibla, la niche qui marque pour les fidèles la direction de la prière ; 4) prononcer un triple takbir (la formule « Allah est très grand ») ; 5) ...
Sacrifice total au bénéfice d'autrui de ce qui est pour soi l'essentiel : Faire preuve d'abnégation.
Qui a un grand regret de ses péchés et prend la résolution de ne plus offenser Dieu à l'avenir. Un cœur contrit. Il se dit aussi, par une espèce de plaisanterie, pour Qui est plein de repentir.