Il y a d'abord un certain nombre de pays qui ne reconnaissent pas Israël : Algérie, Tunisie, Mali, Niger, Mauritanie, Djibouti. De façon classique, ceux-ci ont exprimé leur soutien aux Palestiniens. D'autres pays reconnaissent Israël mais ont une vision double de leur relation.
Les pays n'ayant pas de telles relations avec Israël sont généralement des pays musulmans à l'exception de la Turquie, de l'Égypte et de la Jordanie puis de ceux ayant signé les accords d'Abraham. Il faut aussi citer parmi les pays sans relations diplomatiques avec Israël, Cuba et la Corée du Nord.
Aujourd'hui, l'ennemi d'Israël a changé. C'était l'Égypte et la Syrie il y a 50 ans. C'est principalement l'Iran aujourd'hui, et son bras armé au Liban, le Hezbollah, qui multiplie les provocations à la frontière.
Le Caire, tout d'abord, occupe une place particulière dans le monde arabe vis-à-vis d'Israël : l'Egypte est en effet le premier pays à avoir officiellement reconnu l'Etat hébreu en 1979 à la suite des accords de Camp David et joue, à ce titre, le rôle traditionnel de médiateur lors de l'éclosion de violences entre ...
Malgré les critiques, le gouvernement obtient la confiance de l'assemblée constituante. Après l'accession au pouvoir en 2019 de Kaïs Saïed, les relations entre les deux pays déjà au point mort deviennent inexistantes, ce dernier assimilant la normalisation avec Israël à de la « haute trahison ».
La République algérienne démocratique et populaire ne reconnait pas Israël et interdit toute entrée sur son territoire aux voyageurs munis d'un passeport israélien ou à tous citoyens possédant un tampon de visa israélien.
La coopération entre Israël et la Turquie est extrêmement vaste et recouvre de nombreux domaines, comme l'économie, la technologie militaire, le tourisme, la culture. Les liens politiques et diplomatiques sont très forts, le partenariat israélo-turc étant largement soutenu par les États-Unis.
Dès lors, les vagues d'immigration vers la Palestine s'intensifient et les Juifs se mobilisent pour la création d'un foyer national. Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
Le territoire actuel sur lequel s'est constitué l'État d'Israël est celui appelé Filastin (ou Palestine) par les Arabes et Eretz Israël (ou «Terre d'Israël») par les Juifs. Avant la Première Guerre mondiale, la Palestine était sous domination de l'Empire ottoman et comptait 590 000 habitants, dont 57 000 Juifs.
La France ne fait pas partie des pays reconnaissant l'Etat de Palestine, néanmoins elle a toujours prôné une solution à deux États, comme rappelé sur le site officiel du gouvernement.
Les Émirats arabes unis et le Bahreïn, qui ont tous deux normalisé leurs relations avec Israël dans le cadre des accords d'Abraham, ont initialement condamné les attaques du Hamas.
L'Irlande se distingue des autres pays de l'Union européenne par son intérêt historique et son soutien inconditionnel à la cause palestinienne.
Israël est un pays du Proche-Orient. L'hébreu est la langue officielle, alors que l'arabe a un statut spécial.
Les forces sionistes revendiquent un État juif et une levée de l'immigration afin de faire venir en Palestine les survivants de la Shoah. Incapables de régler le conflit avec les Juifs, les Britanniques décident de porter la question palestinienne devant l'Organisation des Nations unies.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
Dans la déclaration d'indépendance de 1948, l'État juif proclamé par le conseil national représentant la communauté juive de Palestine et les mouvements sionistes prend pour nom Israël, rejetant les possibles autres noms de Sion, Judée ou Eretz Israel (« Terre d'Israël »).
Le Tétragramme (YHWH) Article détaillé : YHWH. Le nom le plus important de Dieu dans le judaïsme est le Tétragramme, le nom à quatre lettres de Dieu, Youd-Heh-Waw-Heh, יהוה (l'hébreu se lisant de droite à gauche).
Il s'agirait d'un peuple venu de la mer d'Egée d'origine indo-européenne appelé les « Philistins », arrivé à peu près en même temps que les Hébreux sur les côtes ouest des Territoires.
Aujourd'hui, la Palestine compte une portion de territoire près de la Méditerranée, la bande de Gaza (360 km²), et une autre partie, la Cisjordanie (5800 km²), appelée en anglais West Bank, sans oublier le fait qu'il existe de nombreux villages palestiniens en Israël même.
L'identité nationale palestinienne d'avant 1948 s'inscrit dans la mouvance nationaliste arabe régionale de la période de l'entre-deux-guerres. La grande différence réside dans le fait même de la naissance des États arabes voisins et dans l'échec de la création d'une Palestine arabe.
Dans son livre, il affirmait que le mélange des Cananéens et des Philistins, qui ont émigré des îles grecques vers 1500 avant notre ère, a finalement formé le noyau de la population arabe palestinienne actuelle.
Les premières installations en Palestine
En 1880, on compte 24 000 Juifs en Palestine – principalement des religieux – pour 482 000 habitants. Dans les années 1880-1890, le mouvement Hibbat Zion organise les premières alyas (émigration de Juifs vers Israël) : près de 30 000 Juifs s'installent en Palestine.
Le Dôme de fer (en hébreu : כיפת ברזל, prononcé kipat barzel, anglais : Iron Dome) est un système de défense aérienne mobile israélien, développé par la société Rafael Advanced Defense Systems, conçu pour intercepter des roquettes et obus de courte portée (Counter Rocket, Artillery, and Mortar, ou C-RAM).
Aujourd'hui, l'Iran et la Turquie coopèrent dans de nombreux domaines, tels que la lutte contre le terrorisme et le narcotrafic afin de promouvoir la stabilité en Irak et en Asie centrale. Les deux pays sont membres de l'Organisation de coopération économique (ECO).
La gauche turque, au nom de l'anti-impérialisme et du tiers-mondisme, témoigne d'une certaine sympathie pour la cause palestinienne. Quant à la droite, notamment religieuse, c'est au nom d'une solidarité islamique qu'elle se mobilise pour la cause palestinienne et pour Jérusalem, troisième lieu saint de l'islam.