En français, la règle générale pour la formation du pluriel d'un nom ou d'un adjectif est de rajouter un s à la fin du mot. Les exceptions concernent les mots finissant par : -s, -x, -z, -al, -ail, -ou, -eau, -au, -eu, -œuf et -os.
Il y a 7 exceptions qui prennent un -x au pluriel : des bijoux, des cailloux, des choux, des genoux, des hiboux, des joujoux, des poux. Attention aux exceptions : des bals, des carnavals, des chacals, des étals, des festivals, des récitals, des régals.
Sauf les noms : le bal - le carnaval - le festival - le chacal - le régal - le cal - le serval - l'étal qui font leur pluriel en "-als".
– Parce qu'ils désignent une pluralité d'êtres ou d'objets.
Certains noms ne s'emploient qu'au pluriel : ils ne changent donc jamais de forme. C'est le cas des noms suivants : gens, fiançailles, funérailles, représailles et victuailles.
Avec un trait d'union. Dans mort-né, mort demeure invariable alors que né varie en genre et en nombre : des enfants mort-nés, une petite mort-née.
Plur. : des carnavals.
Difficultés. Plur. : des chacals.
Prend un s au pluriel : un confetti, des confettis. À l'origine, confetti est un pluriel (confetto = boulette de plâtre frais roulée, confectionnée à la main, remplacée plus tard par un petit rond en papier dans les festivités du carnaval). Ce mot niçois et italien s'est imposé en français comme un singulier.
Les noms en –eau font leur pluriel en –eaux.
Au sens courant de « activité, effort, métier », travail a pour pluriel travaux, mais au sens technique de « appareil servant à maintenir les grands animaux domestiques pour les ferrer ou les soigner », travail fait au pluriel travails.
Le masculin pluriel peut être glacials ou glaciaux.
nouveau-né, nouveau-née, nouveau-nés, nouveau-nées.