Les voies d'études pour devenir palefrenier ou ses déclinaisons sont multiples : le CAPA soigneur d'équidés ou Bac Pro CGEH (conduite et gestion de l'entreprise hippique) sont des possibilités viables. En plus de ces formations, l'obtention d'un permis poids lourd est fortement recommandée.
En tant que débutant le salaire du palefrenier est de l'ordre du Smic : 1 445 € brut mensuels.
Rémunération : 1521,25€ bruts mensuels selon convention collective.
Le salaire peut varier selon le type d'écurie que vous intégrez. Le groom de haut niveau est rémunéré en moyenne : 400€/ semaine nourri et logé à l'étranger. 2500€ brut / mois en moyenne en France .
Assure les soins courants aux équidés et apprécie leur état de santé. Est associé au débourrage et au travail des équidés. Met en oeuvre les règles de sécurité et d'hygiène qui s'imposent.
Environ 1 500 € brut par mois pour un maréchal-ferrant débutant salarié. Entre 80 € et 100 € par intervention pour un indépendant itinérant.
A noter : le palefrenier doit impérativement être un bon cavalier, c'est pourquoi un niveau d'équitation Galop 3-4 est exigé pour entrer dans les formations du secteur. En fin de formation CAPA, les élèves doivent avoir un niveau Galop 6.
Combien gagne un Cavalier ? Le salaire d'un cavalier peut varier entre 1500 (début de carrière) et 2500 (fin de carrière) euros brut mensuel.
Salaires. Environ le S.M.I.C pour un éleveur de chevaux salarié débutant. Environ 1 600 € après quelques années d'expérience. Jusqu'à 3 000 € avec des formations complémentaires.
À la sortie de l'école de gendarmerie, vous passerez des tests d'aptitude équestre, puis bénéficierez d'une formation complémentaire de deux à cinq mois. Vous y apprendrez le métier de gendarme à cheval (apprendre à tirer à cheval, maîtriser un individu sans descendre de cheval, etc.).
Le palefrenier travaille dans des haras ou des exploitations d'élevage de chevaux, des centres équestres ou des centres d'entrainement de chevaux de course. Sa journée est dictée par les chevaux.
Le palefrenier n'exerce pas un métier d'équitation, mais plutôt de soins. Ceux qui croient le contraire seront déçus. Étriller les chevaux, les panser, curer leurs sabots, les soigner, les nourrir, entretenir les selles et les harnais, assurer le nettoyage de l'écurie : autant d'activités qui constituent son quotidien.
Il pose les fers aux chevaux et vérifie l'état des sabots, un cheval doit être révisé tous les deux mois. Chaque cheval a des fers sur mesure, le maréchal les chauffe puis les pose avec un marteau et des clous. Il s'agit de bien connaître les chevaux, et d'avoir un geste sur, il ne faut pas que le fer refroidisse !
Formations
Il n'y a pas de formation obligatoire pour être cavalier soigneur éleveur. Un bon niveau d'équitation validé par un galop 7 est nécessaire. Le métier est accessible avec un CAP Agricole palefrenier ou un bac pro CGEH.
Juste devant les cadres de la banque et des assurances, on retrouve les coiffeurs et esthéticiens, où le travail est jugé par les principaux intéressés comme “peu intense dans un contexte de faible insécurité de l'emploi, avec peu de conflits éthiques et une grande autonomie”, indique la Dares.
4. Rédacteur / écrivain. Les métiers de la rédaction sont également parfaitement adaptés aux personnes préférant le calme et la tranquillité. Le rédacteur web, par exemple passe beaucoup de temps à faire des recherches, se renseigner et croiser ses sources pour rédiger des articles complets.