Le principal risque que support un travailleur indépendant se situe au niveau financier. Un retard de paiement, ou pire la faillite d'un client, peut vite devenir problématique et générer des difficultés de trésorerie. Les situations de dépendance économique (présence d'un seul client) accentuent ce risque.
Les avantages du statut de travailleur indépendant
Le travailleur indépendant bénéficie d'une situation ultra-flexible. Il choisit ses horaires comme bon lui semble. Personne ne lui impose de cadre de travail. Par ailleurs, il ne doit rendre de compte à personne hormis aux associés, pour sa gestion.
Plus de flexibilité, de liberté et un meilleur équilibre entre vie professionnelle et personnelle, sont les principaux avantages de la vie de freelance. Choisir ses missions est l'un des arguments qui incite de plus en plus de salariés à se mettre à leur propre compte dans le secteur de l'IT.
Zoom sur : la problématique des créances impayées, ce fléau
Il s'agit souvent du risque numéro 1 chez les indépendants. Dans ce type de situation, il est important de garder la tête froide. Vous aurez bien souvent intérêt à préserver la relation commerciale avec votre client.
Définition. L'auto-entrepreneur est un « freelance », c'est-à-dire un travailleur indépendant, ayant choisi de créer une Entreprise Individuelle (EI) sous le régime simplifié de l'auto-entreprise. Contrairement au terme de freelance, il correspond donc à une réalité juridique particulière.
Tous les travailleurs indépendants ont en commun les cotisations suivantes : maladie/maternité, allocations familiales, CSG-CRDS et formation professionnelle. Les artisans et commerçants cotisent également pour les indemnités journalières, la garantie invalidité-décès, la retraite de base et la retraite complémentaire.
Le principal avantage d'opter pour la SASU en tant qu'indépendant est de bénéficier du statut d'assimilé salarié de l'entreprise. Dès lors, l'entrepreneur bénéficiera de tous les acquis sociaux du régime de la protection sociale des salariés à l'exception de l'assurance chômage.
Moins de sécurité – Vous devrez assumer la responsabilité de toujours trouver du travail à faire. Cela signifie que vous serez parfois sans travail et, par conséquent, sans revenu.
La première grande différence entre un salarié et un freelance est la manière de gagner de l'argent. Alors que le salarié touche un salaire généralement fixe pour le travail qu'il a effectué durant le mois écoulé, le freelance gagne un chiffre d'affaires plus ou moins fixe en fonction de son travail.
Le travailleur indépendant exerce une activité économique en étant à son propre compte. Il est autonome dans la gestion de son organisation, dans le choix de ses clients et dans la tarification de ses prestations.
Vous pouvez bénéficier d'une allocation dont le montant varie en fonction de vos derniers revenus d'activité : Elle est d'un montant forfaitaire égal à 26,30 € par jours pendant 182 jours (6 mois environ) à partir de la date de l'inscription à Pôle emploi.
Le travailleur indépendant et le salarié ne sont pas soumis au même régime. Comment les distinguer ? Le critère principal qui permet de les distinguer est le lien de subordination juridique. Le travailleur indépendant exerce une activité économique en étant à son propre compte.
Les motivations à travailler en indépendant sont généralement : la quête de liberté : la possibilité de mieux concilier vie personnelle et vie professionnelle, l'aménagement des horaires. la possibilité de travailler partout (travail nomade), chez soi, en clientèle, à l'étranger, au café...
désagrément, embarras, ennui, importunité.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
Le salariat restreint les possibilités de choix : bureau ou télétravail (plus rarement) tandis que le freelance peut être flexible et choisir son lieu de travail. « Tout travail mérite salaire », un freelance ne déroge pas à la règle. Lorsqu'il effectue une mission pour un client, il est rémunéré à sa juste valeur.
Pour se déclarer travailleur indépendant, il faut tout d'abord s'immatriculer auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE) de son secteur géographique, afin d'obtenir un numéro SIRET de l'INSEE.
Juridiquement, une personne est considérée comme travailleur indépendant lorsqu'elle est immatriculée auprès des organismes compétents : Urssaf, Assedic, impôts et qu'elle exerce une activité conforme à celle qui a été déclarée. Précisons que cet article n'a pas pour vocation de traiter du statut d'auto-entrepreneur.
Avantages de l'entreprise individuelle
Le travailleur autonome travaille pour son propre compte. Il offre ses services ou ses produits à des clients avec lesquels il peut signer des contrats de service. Il peut également embaucher des employés pour l'aider à réaliser ses contrats.
Les avantages sont : on échange nos idées, on peut s'exprimer librement, développer et montrer notre créativité. Aucunes des journées de travail ne se ressemblent. Les inconvénients sont : on travaille beaucoup et quelque fois on travaille le soir et le week-end au détriment de notre vie privée.
L'entrepreneur est chef de sa propre entreprise, commercial, gestionnaire de clientèle et parfois même comptable, juriste, développeur, graphiste...
Qu'est-ce qu'une profession libérale ? Lorsque vous exercez une profession libérale, votre activité est celle d'un travailleur non salarié (TNS). Vous êtes un indépendant. Votre activité est soumise à votre seule responsabilité et vous exercez dans l'intérêt d'un client ou d'un public (clientèle ou patientèle).
Il n'existe donc pas de véritable différence avec le « travailleur indépendant » classique, si ce n'est que le terme de freelance désigne le plus souvent des professionnels qui proposent à une société ou à une entreprise des prestations de service dans le cadre de missions bien définies, sans contrat à long terme.