Troubles digestifs : vomissements, douleurs abdominales, diarrhées, appétit augmenté, amaigrissement. Troubles cardiovasculaires : tachycardie, arythmie par fibrillation auriculaire ou extrasystoles, hypertension, douleurs thoraciques, angor, insuffisance cardiaque congestive, collapsus cardiogénique.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans les observations sont : fatigue/asthénie, céphalées, insomnie, vertiges, dépression, douleurs articulaires et musculaires, alopécie.
Les médicaments qui contiennent des sels de fer ou de calcium, de la colestyramine, du kayexalate, du sucralfate et les pansements digestifs peuvent diminuer l'absorption de ce médicament ; il est nécessaire de respecter un délai de 2 heures entre la prise de ces médicaments.
Affections psychiatriques : insomnie (4,5 %) troubles du sommeil (1,2 %), irritabilité (1,8 %), dépression (1,5 %). Affections musculo-squelettiques : contractures musculaires (4,2 %), douleurs musculaires (2,8 %), douleurs articulaires (2,3 %). Affections gastro-intestinales : nausées (2,4 %), diarrhées (1,6 %).
quand on prend du Lévothyrox® ? Les réponses avec le Dr Fabrice Ménégaux, chirurgien endocrinologue : "Si le traitement est bien équilibré, il n'y a pas de risque majeur. Il faut surveiller un peu plus une possible apparition d'ostéoporose.
Le Levothyrox permet ainsi de compenser le ralentissement de certaines fonctions chez ces patients atteints d'hypothyroïdie : perte de mémoire, ralentissement du rythme cardiaque, intense fatigue, somnolence, frilosité, humeur dépressive, prise de poids, raideur musculaire… Voire des complications plus graves.
Vertiges, fatigue intense, maux de tête, prise de poids, problèmes digestifs... Suite au changement dans la composition du Levothyrox, un médicament prescrit pour les quelque 3 millions de patients ayant des problèmes de thyroïde, de nombreux patients se plaignent d'effets secondaires.
Il est préconisé dans les situations suivantes : · les hypothyroïdies (insuffisance de sécrétion de la glande thyroïde), · circonstances associées ou non à une hypothyroïdie où il est nécessaire de freiner la sécrétion de TSH (hormone qui stimule la glande thyroïde).
Une nouvelle formule de ce médicament est arrivée dans les pharmacies en mars 2017. Seuls les excipients changeaient, le lactose de l'ancienne formule étant remplacé par le mannitol et l' acide citrique. Ce changement de formule a été justifié par le souci d'avoir une meilleure stabilité du produit.
Ce médicament doit être pris le matin à jeun, au moins une demi-heure avant le petit déjeuner, car il est mieux absorbé lorsqu'il est pris à jeun que lorsqu'il est pris avant ou après un repas.
Il s'agit de L-Thyroxine Henning qui devrait être une alternative au Levothyrox sur le marché français, disponible à partir de mi-octobre. Attention, pour avoir ces nouveaux médicaments, le médecin doit indiquer la marque et non "levothyrox ancienne formule".
Les patients qui ne peuvent attendre 1 heure après la prise de la lévothyroxine pour prendre leurs repas pourraient la consommer au couché à conditions de respecter 2 heures d'intervalle au minimum entre le dernier repas et la prise du médicament.
En cas d'hypothyroïdie fruste, si le taux de TSH est > 10 mUI/l lors de 2 examens successifs, un traitement substitutif doit être discuté avec le patient pour prévenir l'évolution vers une hypothyroïdie avérée et ses conséquences.
Une TSH > 3 mUI/l doit faire renforcer la surveillance thyroïdienne : contrôle de la TSH à 1 mois et dosage des anticorps anti-TPO. Le traitement peut être justifié dès que la TSH dépasse 4 mUI/l, avec pour cible thérapeutique une TSH < 2,5 mUI/l.
Le coma myxœdémateux est une complication potentiellement mortelle de l'hypothyroïdie, le plus souvent observée chez des patients qui ont une longue histoire d'hypothyroïdie.
"Le Lévothyrox® est prescrit pour l'insuffisance thyroïdienne et 10% des femmes de 60 ans ont une insuffisance thyroïdienne. Souvent il y a très peu de signes. On conseille donc de faire des recherches de problèmes thyroïdiens. On va démarrer le traitement mais les patients ne vont pas maigrir grâce à ce traitement.
Comment traiter l'hypothyroïdie ? L'hormone de synthèse la plus prescrite est la thyroxine (T4) sous forme de lévothyroxine sodique en comprimé (Levothyrox®, Novothyral®, Levothyroid® ou Synthroid®). La majorité des personnes devront en prendre quotidiennement durant toute leur vie.
Le stress chronique a pour conséquence, un taux de cortisol élevé, une hormone qui peut causer certains dommages à la glande thyroïde et ralentir l'absorption des hormones thyroïdiennes.
Les niveaux d'hormones thyroïdiennes étaient légèrement élevés, mais restaient dans la fourchette des valeurs normales. Enfin, les sujets anxieux présentaient des anticorps dirigés contre la thyroïde. De tels résultats semblent indiquer que la fonction thyroïdienne serait impliquée dans le développement de l'anxiété.
En France, la TSH est considéré comme normale entre 0,5 et 5.0 mUI/l (TSH inférieure à 0,5 indiquant une hyperthyroïdie, supérieure à 5.0 indiquant une hypothyroïdie).
Il joue un rôle dans la conversion de T4 en T3 active. Le magnésium permet ainsi d'éviter la baisse de l'activité de la thyroïde notamment chez les sujets agés mais aussi chez les sportifs après des efforts intenses.
La douleur musculaire peut affecter tous les muscles du corps et est un symptôme d'hypothyroïdie. Les symptômes musculaires du corps tels que la raideur, la douleur, la faiblesse et les courbatures affectent 30 à 80% des personnes atteintes d'hypothyroïdie.