Regarder la télévision nuit gravement à la santé: en regardant la télévision, vous augmentez vos risques de diabète, de maladies cardiovasculaires, de cancer, de bronchite obstructive chronique, de maladie de Parkinson, de grippe, de pneumonie…
Passer des heures devant la télévision augmenterait les risques de formation de caillots de sang et, par conséquence, d'embolie pulmonaire. Mauvaise nouvelle pour tous les fans du petit (ou grand) écran : regarder la télévision trop longtemps est dangereux pour la santé, voire létal !
Trop regarder la télé peut nuire à la santé : les yeux peuvent être affectés aussi bien que le corps qui lui manque d'activité et peut engendrer l'obésité et des maladies à cause de la sédentarité.
Une pratique excessive des écrans aurait également un impact sur le stress, les troubles de l'humeur et l'hyperactivité. Toute la difficulté réside dans le fait de savoir si ce sont les écrans qui génèrent ce type de troubles ou si ces troubles préexistent, entretenant le besoin irrépressible de se connecter.
La violence y est présentée sous un jour comique et ses conséquences réelles sont rarement exposées. Augmentation du comportement agressif Ceci est particulièrement vrai pour les jeunes enfants, qui sont plus susceptibles d'afficher des comportements agressifs après avoir visionné une émission ou un film violent.
Grâce à la télévision, on peut savoir plein de choses comme les nouvelles. 2- On peut se distraire. Maintenant voici deux inconvénients: 1- Après l'école, la télévision peut nous faire perdre du temps en nous empêchant de faire nos devoirs. 2- Elle peut aussi nous rendre insensible à la violence.
L'écoute excessive de la télévision contribue à un accroissement de l'incidence d'obésité juvénile (8,9). L'écoute excessive de la télévision peut avoir un effet nuisible sur l'apprentissage et le rendement scolaire (10). L'écoute de certaines émissions peut favoriser des comportements sexuels irresponsables (11).
Des dizaines d'autres études relatent une corrélation entre temps passé sur les écrans et baisse des capacités cognitives, d'une augmentation de l'anxiété, des troubles relationnels, des difficultés d'attention, de manque de sommeil, du risque de dépression ou encore d'obésité.
Une consommation excessive d'écrans peut entraîner des troubles du sommeil, de la vue ou encore de la concentration. À partir de 3 ans, les émissions adaptées peuvent stimuler certaines capacités de l'enfant, comme la mémoire ou la reconnaissance des lettres de l'alphabet.
3 à 6 ans : 20 min. 6 à 8 ans : 30 min. 8 à 10 ans : 45 min. après 10 ans : 1 h.
Passez moins de temps devant votre écran.
Par exemple, si vous avez tendance à écouter le journal télévisé le matin et le soir, n'allumez votre poste qu'une seule fois par jour. Si vous regardez quotidiennement le programme de la première partie de soirée, renoncez-y au moins un jour par semaine ou un jour sur deux.
L'exposition aux écrans chez un enfant dont la maturité cérébrale est toujours en cours, fait que l'enfant qui va être happé par l'image développe une attitude passive dans la réception des informations, facilitée par les images changeantes à volonté, les couleurs et les lumières.
Selon une étude, regarder davantage la télévision peut réduire le taux de cortisol. Le cortisol est surnommé « l'hormone du stress ». Il est préoccupant car il peut augmenter la prise de poids, le cholestérol et la dépression. Donc si le fait de regarder vos émissions préférées réduit ce taux, continuez !
Selon Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, si bébé regarde la télé avant 3 ans, cela risque de retarder son développement. Cette activité rend passif et, comme le rappelle la pédopsychiatre Catherine Jousselme, elle bloque le processus de développement sensoriel et psychomoteur de l'enfant.
Ce que disent les études
Des études récentes ont ainsi démontrées qu'une surexposition des enfants aux écrans impactait leur développement psychomoteur et cérébral, avec pour conséquences des troubles de l'attention, du langage, du sommeil mais aussi des troubles relationnels.
- un sentiment de vide ou de déprime loin des écrans ; - une agressivité en cas d'impossibilité d'accéder aux écrans ou au réseau ; - une absence d'intérêt pour toute autre activité, y compris les occupations habituellement appréciées (ex. : scolarité, travail, moments passés en famille ou entre amis).
À long terme, les écrans peuvent tout de même être responsables du développement des yeux secs et d'une vision fluctuante, entraîner de la photophobie (une sensibilité excessive des yeux à la lumière), causer ou aggraver un problème de coordination des yeux ou contribuer à favoriser la progression de la myopie.
Deux heures par jour d'exposition aux écrans serait un maximum. Moins pour un smartphone et un peu plus pour un ordinateur tenu à plus de 50 cm, car plus la source est éloignée, moins la lumière pénètre dans l'œil.
Se frotter les yeux, passer du temps devant les écrans, ou encore sortir se promener sans lunettes de soleil sont des mauvaises habitudes qu'on fait tous plus ou moins ! Certaines d'entre elles peuvent participer à la fatigue des yeux ou encore représenter un danger pour eux.
Combien de temps dois-je prévoir entre l'arrêt des écrans et l'heure du coucher ? Éteignez tout écran au moins 2 heures avant le coucher. Les enfants et les adolescents sont particulièrement sensibles à la lumière des tablettes, téléphones et ordinateurs. Celle-ci retarde l'endormissement.
Observations des chercheurs : consulter plusieurs médias en simultanée pouvait impacter le sommeil et engendrer des problèmes de comportement. En revanche, ceux qui n'utilisaient les écrans que pour les jeux vidéos n'avaient pas ces effets néfastes et avaient même une santé mentale bien plus épanouie.
crée de l'anxiété et même de la dépression chez certains et surtout chez les jeunes. C'est inquiétant lorsque l'on considère à quel point l'image de soi et de sa vie que les gens se créent sur les réseaux sociaux est « plus que parfaite » et reflète rarement la réalité.
Les risques éventuels de l'utilisation de réseaux sociaux sont les suivants : exposition à du contenu non désiré comme des messages haineux et de la violence ; cyber-harcèlement ; perte de vie privée en raison d'une perte de contrôle sur des informations personnelles.