Le protoxyde d'azote peut entraîner des effets indésirables, qui disparaissent généralement 15 minutes après l'arrêt de l'inhalation mais qui peuvent persister quelques heures, voire quelques jours, en fonction de la dose consommée : nausées et vomissements. maux de tête. crampes abdominales.
de troubles neurologiques graves causés par une carence en vitamine B12. Elle peut entraîner des fourmillements ou picotements des membres, des vertiges ou troubles de l'équilibre et parfois des difficultés motrices (pouvant aller jusqu'à la paraplégie)
La consommation du protoxyde d'azote présente des risques.
Des risques immédiats : asphyxie par manque d'oxygène, perte de connaissance, brûlure par le froid du gaz expulsé, désorientation, vertiges, chutes notamment.
Celle-ci entraîne une euphorie, un fou rire, une distorsion des sons et de légères hallucinations, qui culminent après une vingtaine de secondes pour rapidement se dissiper. Les usagers se sentent souvent parfaitement normaux dans les deux minutes qui suivent l'inhalation.
Elimination Très volatile, le protoxyde d'azote est rapidement éliminé par les poumons, sous forme inchangée ; de faibles quantités passent dans les urines ou diffusent à travers la peau. L'élimination cutanée ne compte que pour 6 à 7 % de la quantité quittant les alvéoles.
Une des substances les plus consommées par les jeunes
Dans un cadre médical, le protoxyde d'azote est généralement utilisé mélangé à de l'oxygène pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques. Il est également utilisé pur par certaines industries, ou en cuisine pour la confection de siphons.
C'est une nouvelle drogue qui séduit de plus en plus d'adolescents. Le protoxyde d'azote, surnommé « gaz hilarant », voit sa consommation grimper en flèche. Dans certaines villes, les cartouches métalliques contenant le gaz se retrouvent par dizaines, voire par centaines, sur les parkings ou dans les parcs.
diarrhées. somnolence et légère baisse de la vigilance dans les 30 minutes qui suivent la prise. vertiges. acouphènes (perceptions de bourdonnements en l'absence de bruit extérieur)
Assurez-vous de bien fermer l'embout du ballon pour que le gaz ne s'échappe pas. Inspirez ensuite de l'air, placez l'embout du ballon dans votre bouche, libérez-en le contenu lentement dans votre bouche, puis inhalez.
Le protoxyde d'azote est un gaz anesthésique utilisé depuis plus de 160 ans pour induire une anesthésie et maintenir les patients sous anesthésie pendant toute la durée d'une opération.
À forte dose, le «proto» peut entraîner une confusion, une difficulté à s'exprimer ou à coordonner ses mouvements, voire un ralentissement ou une irrégularité du rythme cardiaque. L'inhalation récréative de protoxyde d'azote peut aussi provoquer aussi une asphyxie par manque d'oxygène.
Inhalé à travers un ballon de baudruche, il provoque une euphorie, mais peut aussi générer des troubles de la santé. C'est un produit de plus en plus prisé dans les soirées étudiantes: le protoxyde d'azote, aussi appelé gaz hilarant, séduit les fêtards par la facilité avec laquelle on peut s'en procurer.
Une drogue très accessible.
Les jeunes gens vident le contenu d'une cartouche de siphon à chantilly dans un ballon de baudruche avant d'aspirer le gaz par la bouche. Les effets "hilarants" sont alors immédiats et se dissipent après quelques minutes.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de « proto » et « gaz hilarant » par le grand public, est un gaz utilisé couramment dans les produits culinaires pour sa fonction de propulseur (dans les siphons de chantilly) et pour ses qualités anesthésiantes dans le milieu hospitalier.
Depuis quatre ou cinq ans environ, les jeunes s'en sont emparés et s'amusent avec ce gaz qui, une fois inhalé, provoque des fous rires. Une consommation d'autant plus ludique qu'elle est servie dans des ballons de baudruche, amplifiant le «trip» régressif.
Le protoxyde d'azote, aussi appelé « gaz hilarant » ou « proto », est initialement un gaz utilisé dans le milieu médical pour ses propriétés anesthésiantes et analgésiques, et couplé à de l'oxygène. Il est également contenu dans de petites cartouches à chantilly ou dans des bonbonnes.
Ils sont remplis d'un gaz hilarant (qui, une fois inhalé, provoque notamment des rires et un sentiment euphorique) que l'on appelle le protoxyde d'azote et son geste n'a rien d'anodin : il peut provoquer de nombreux effets secondaires dangereux, voire la mort dans certains cas.
L'arrêt conventionnel face au ballon- Allez au-devant du ballon avec votre pied d'appui. - Serrez bien les 2 mains. - Collez les 2 pouces afin d'éviter toute faute de mains. L'arrêt de la balle dans la niche- Allez au-devant du ballon.
La vitamine B12 joue un rôle essentiel dans le système nerveux. Le protoxyde d'azote inactive la B12 par un phénomène d'oxydation. Les symptômes sont une sensation d'engourdissement et des fourmillement au niveau des mains et des pieds.
La myélopathie provoquée par la prise répétée de protoxyde d'azote peut entraîner des troubles dans la coordination motrice, notamment des troubles de la marche, jusqu'à des chutes, des déficits dans l'habileté manuelle, mais aussi des désordres cognitifs comme une perte mnésique et une difficulté de raisonnement”.
DOMAINE D'APPLICATION. Le MEOPA est administré sur prescription médicale par des soignants (paramédicaux et médicaux) spécifiquement formés à l'administration du MEOPA. L'administration de MEOPA n'entraîne pas d'anesthésie générale.
Le protoxyde d'azote, ou monoxyde de diazote, oxyde nitreux, hémioxyde d'azote ou gaz hilarant, est un composé chimique de formule N2O.
Mettre la bouteille en positon verticale ; elle le restera durant tout le soin. Vérifier le niveau du manomètre : s'il est à 50 bars, il reste environ 35 minutes de MEOPA pour un débit de 9L /mn (débit prescrit chez l'adulte) et 50 mn pour un débit de 6L/mn (débit prescrit chez l'enfant ou chez le sujet âgé.)